Critiques de Toutes les couleurs du vice

Ça commence comme un Bergman mon pote. Ni plus ni moins. Genre quarante deux secondes, faut quand même pas trop déconner, à la suédoise avec un plan fixe sur quelques arbres posés près d'un plan...

Après L'Etrange vice de Mme Wardh, Sergio Martino, qui vient de réaliser La Queue du Scorpion, remet le couvert et engage à nouveau Edwige Fenech, George Hilton et Ivan Rassimov pour un giallo hors...

Une jeune femme, encore marquée par le décès de sa mère et par la fausse couche subie à la suite d'un accident, est assaillie de visions cauchemardesques. De plus, un homme habillé en noir ne cesse...

Ça ne va vraiment pas fort pour Jane. Entre les souvenirs de l'assassinat de sa mère qui refont surface, et la perte récente de son foetus suite à un accident de voiture, la jeune femme est très...

Ce deuxième épisode de la trilogie du vice, réalisé par Sergio Martino et sorti en 1972, n'est pas mal mais sans plus. J'avoue également que j'avais de gros aprioris sur le film, n'ayant pas vraiment...

les effets prismes les fonds de couleurs verts et rouges le sang rouge tomate des travellings élaborés la peur "érotisée" par des actrices cultes une vision du satanisme plutôt excitante un léger...

Le film le plus surréaliste de Martino, lorgnant du côté de "Rosemary's baby". Un cauchemar délirant où Edwige Fenech est toujours aussi fantastique.

C'est filmé avec un certain talent comme un Giallo, ça a un titre français qui fait penser à un film érotique pour attirer les fans de Edwige Feneck mais ce n'en est pas un. c'est un film assez...

Un giallo romantique expressioniste et parano comme je les aime. Excessif, parfois sur le fil du kitsch, mais de cette sorte d'excès qui rend novateur. Peut être mon préféré après Suspiria.

Certes, je n'ai pas regardé ce film dans les meilleures conditions possibles: la demi-finale de CDM de Basket se déroulait en même temps. Le film ne s'est pas aidé lui-même en étant d'une étrangeté...