Le bourrin fappe encore.

Après le camping Onteniente va faire un tour dans les PMU, il faut croire qu'il va faire l’ensemble des endroits ou se réunisse les beaufs de France. Comme dans les autres productions du réalisateur ça ne va pas chercher bien loin, on est dans l'humour bas de gamme, qui sert de la merde comme dans une mauvaise cantine scolaire. Dans laquelle le boulot du chef cuisiner se résume à ouvrir des boites de conserves pour les balancer dans une gamelle. C'est comme ça que Onteniente voit son travail de réalisateur, il fabrique de la merde. Il doit certainement se dire qu'il n'a pas besoin de faire de la qualité vu qu'ils s'adresse aux beaufs, donc pourquoi s'emmerder à faire un truc de qualité.

Onteniente fait parti de cette catégorie de réalisateurs qui confondent populaire et populisme. On a droit comme toujours avec ce genre de film à des gags niveau caniveau. C'est avec plaisir que je vais donner l'exemple suivant: Dans une soirée les 4 persos principaux sont réuni, l'un d'eux va à l’intérieur de la maison, et totalement par hasard il tombe sur la meuf de l'un de ses potes qui fait pipi debout. Suit à cette découverte il accourt voir ses potes afin de les prévenir de cette scandaleuse vision d'horreur, mais à l'instant ou il leur annonce la nouvelle, il voit son pote embrasser goulument ce trans. C'est gros niveau humour ici vous l'aurez compris, pourtant on pourrait s'attendre avec des gens comme Edouard Bear ou Alain Chabat qu'ils aient quelques prétentions dans l'humour, mais non. Ces gens ont du lire ce scénario merdique et en le lisant ils ont bien du se rendre compte de la catastrophe qu'il annonçait ça ne les a pas empêchés de signer. Il faut dire qu'avec un gros chèque parfois on peut revoir son niveau d’exigence à la baisse.