Vision of suffering
Un film tordu pour le comprendre il faut sûrement être philosophe.
De par un mélange d'horreur et de sex il est plus indigeste qu'un kouglof.
Une qualité d'image étrange pour finir d'achever votre cerveau d'une rafale de kalashnikov.
Voici visions of suffering de Andrey Iskanov.
Bonjour a tous amis de l'angoisse, bon clairement monsieur Andrey Iskanov a décidément un univers bien particulier et ce film la est sûrement celui que j'ai le moins aimé. Pronant l'horreur et le sex a foison sans créer de réel histoire il plaira a certains je n en doute pas. Personnellement j avais aimé le côté historique de Philosophy of knife dans lequel l'horreur avait tout as fait sa place. J'avais apprécié Nails de par sa bizarrerie mais qui nous perdez progressivement. Visions of suffering m'as perdu et ne ma jamais repris, on dirait une compilation de scènes atroces d'un très mauvais cauchemard. La qualité visuel choisit est immonde je trouve se qui est dommageable lorsque l'on essaye de s'imprégner de la folie se déroulant devant nos yeux. Je ne suis d'ailleurs pas sur d'avoir tout compris au final mais bon je vais faire avec. Je ne conseille pas ce film hormis pour ceux qui aime voir des scènes choques entre horreur et sex. Allez tchuss crevez tous mouhaha 😈😈😈.
En Russie, un homme est victime de terrifiants cauchemars. A son réveil il entend des voies étranges et menaçantes provenant de son téléphone. Il fait venir un réparateur qui lui affirme que des démons également appelés vampires peuvent parvenir à s’introduire dans le subconscient lorsqu’il pleut et entraîner la victime dans leur monde. Mieux vaut ne pas s’endormir.