Dishonored est un bon jeu, un excellent jeu même, mais il ne mérite pas toutes les éloges qu’ont peut lire un peu partout (15/10 dans canard PC entre autre) car aussi bon et bien écrit soit-il, il reste bourré de défauts.
Entre l’IA complètement aux fraises, une réalisation stylée peinture à l’aquarelle qui tente de justifier le manque de détails des environnements, des pouvoirs anecdotique (excepter le blink, je me suis servi quasiment d’aucun pouvoir) et une durée de vie courte si vous n’êtes pas un féru de la chasse aux collectables et aussi dû à une difficulté inexistante. On peut dire que le petit d’Arkane démarre mal dans la vie.
Pourtant la richesse du level design, la liberté qui nous est offerte quant au cheminement pour arriver à notre but, de l’exploration des niveaux qui réserve de belles surprise, de l’écriture des quêtes et du scénario principal qui offre de multiples rebondissement suffisent a faire passer quasiment tout ses défauts.
Alors pourquoi une note si basse ? Et bien parce que je m’attendais à une infiltration beaucoup plus poussée, qu’elle dommage de pouvoir faire la mission finale en courant et poignardant sans m’arrêter tout le monde jusqu’au bout du niveau sans me faire repérer ou déclencher l’alarme (véridique!). Et parce que je suis déçu qu’un garde ne soit pas capable de nous voir après qu’on l’ai agressé, simplement en se téléportant peu importe où et la hauteur du moment que ce soit au-dessus de sa tête.
Nota : La VF est vraiment magnifique.