Amnesia: The Dark Descent par KumaCreep

Comme il est dit dans la description le jeux sera sous un plan FPS, donc à la première personne, mais contrairement aux FPS cette fois nous n’aurons pas d'armes! Ou du moins nous ne pourrons pas nous défendre, les choses que nous ferons dans le châteaux devront être, fuit, esquive, cache-cache... Il ne faudra jamais rentrer en contact avec une ou plusieurs chose, tout l'intérêt du gameplay qui nous force, en quelques sorte, à nous faire peur!


Comme on nous conseille dès qu'on lance le jeux, c'est un soft avec lequel il faut jouer avec un casque... Et si possible la nuit quand personne ne peut nous déranger.
Jouer dans la pénombre car un survival horror se savoure bien mieux de la sorte, c'est bien connus... Mais surtout avec un casque, et j'insiste, car la bande sonore est terriblement terrifiante. Pas de musiques ou très peu, qui passerons pour la plupart inaperçu, mais les bruits que vous entendrez durant votre progression dans ces environnements sont à glacer le sang!
Une femme criant à moitié comme si elle agonisez, une parole brusque d'un homme qui demandera "Ha! Il... Il y a quelqu'un?", ou tout simplement les bruits des créatures... Il y a de quoi ramper et sortir ça lampe à huile à multiple reprise je peut vous l'assurer!

Revenons maintenant à ce qui fait la richesse du gameplay, s'adaptant à merveille à l'univers et surtout le type de jeux.
Commençons par les mécaniques directement reprise de Penumbra, de part les même développeurs donc:
On ouvrons les portes, les tiroirs, les armoires et tout se qui peut se faire coulisser en faisant coulisser la sourie. Cela dépend donc de comment on jauge le mouvement de la sourie on pourra ouvrir les choses rapidement, alors que dans des moments ou il faudrait mieux rester discret on pourra faire coulisser très lentement chaque chose.
Il y a aussi, un certain mouvement repris des anciens Medal of honor (il me semble...), le fait de pouvoir se pencher pour voir derrière quelque chose, sans pour autant s'exposer...
Croyez moi, rien que ces deux choses sont vraiment superbe pour un survival horror, déjà que ça nous mes dans l'ambiance ce peu de choses est terriblement adapté à notre survie!

Maintenant voyons les nouveautés, dans Penumbra il fallait éviter de regarder trop longtemps une créature ou alors notre personnage commence à respirer un peu fort et commence à s'emballer!
Maintenant il y a carrément un système en plus de la santé physique appelé tout simplement la santé mentale... Système tout simplement ingénieux, qui nous oblige à ne pas rester trop longtemps dans le noir et à assister à la présence d'une créature!
Selon notre niveau de santé mental, les déplacements de notre personnage se ferons assez difficilement car il ne marchera plus bien droit... Mais ça vision se verra déformé de plus en plus!
De quoi vous faire monter le stresse, en plus de la peur, en flèche!... Car le level-design est aussi sublime, les développeurs se sont vraiment amuser à nous faire bien peur, je n'en dirais pas plus pour vous laissez découvrir la chose.

Ce que je regrette sont ces phases d'aventures, on l'ont doit y résoudre des énigmes donc... Bon après elles ne sont pas bien compliqués, si même moi j'arrive à m'en sortir alors n'importe quel abruti sera aussi le faire, d'autant plus que dans les notes ramassé dans le jeux il y a pas mal d'indices! Je n'aime donc pas, seulement par goût, je n'ais jamais aimé ce genre de jeux et je suis allergique aux point&clic, si non je ne pense pas que cela vous gênera plus que ça... ^^


Pour conclure je survole brièvement qu'il est possible de se faire ces propres niveaux et de les partager, mais je n'ais pas pris assez connaissance de cette fonction qui semble est très bien foutu d'après les commentaires élogieux fait sur ce jeux...
à mon avis... De tout les survival horror, celui-ci est de loin le seul m'ayant VRAIMENT fait peur! Le terme "Survival" prend vraiment tout sont sens en jouant à ce jeux... L'histoire est aussi pas mal du tout, surtout au début, mais elle s'oublie plutôt vite face à ce à quoi on doit faire face.