Le jeu à un bon potentiel. Ubisoft à une nouvelle fois bien fait marché son imagination. Le seul problème, et non des moindres, est le côté rébarbatif de la chose.
Dès le premier assassinat on à fait le tour du jeu : espionnage, dérobade, défis d'informateurs, points d'observations. Un petit bonjour au chef de cellule et c'est partit pour trancher des gorges.
Mais la jouissance à courir de toit en toit, à se camoufler dans la foule et à se battre compense. Pas entièrement, je le reconnais, mais suffisamment pour apprécier l'expérience.
Abordons maintenant le contexte du jeu. A savoir Desmond Miles et Abstergo.
La première fois que j'ai finit le jeu, soit 2 mois après sa sortie, je n'ai eu que faire de cette histoire : "Oui Desmond est un assassin prisonnier des templiers. Oui Lucy est là pour m'aider. Oui il y à des dessins sanguinolents sur les murs. Mais ce que je veux, moi, c'est courir, sauter, frapper, tuer. C'est tout."
Puis vint le jour ou j'ai du le recommencer. Et cette fois, j'ai prit le temps de m'attarder au scénario. Et cela m'a plut. On découvre ici un bon travail de la part d'Ubisoft (travail bien plus aboutie dans ACII, certes). L'intrigue tiens parfaitement la route et est présentée de telle façon qu'elle en est intéressante.
Après il est vrai que l'interactivité quant on contrôle Desmond est plutôt réduite. Mais cela n'a pas suffit à me défaire de l'envie de découvrir la suite des aventures de Desmond dans ACII.
Pour conclure, je dirai que Assassin's Creed I est une ébauche. Une introduction. Une mise en bouche des merveilles que nous réserves Assassin's Creed II. Tant sur le plan graphique que fonctionnel.
J'oubliai : l'inutilité de la chasse aux templiers et drapeaux. On perd plusieurs heures à trouver tout les drapeaux et à tabasser tous les templiers pour, au final, rien de rien. La plus grande frustration du jeu.