Décidément, les bateaux et les enfants de Bhaal, ça fait deux...
Ouais, parce qu'en deux jeux, elle fait s'échouer un navire deux fois.
La note est démesurément haute vis-à-vis du contenu de l'extension en elle-même. Je l'ai déterminée par rapport au plaisir que j'y ai éprouvé par rapport au jeu principal. C'est-à-dire légèrement moins. C'est-à-dire 9.
MERCI, les objets non identifiés sont BLEUS ! Je peux enfin les repérer dans mon inventaire.
Bon, l'apport principal de Tales of the Sword Coast, pour moi, c'est en termes de gameplay, de part ces petits détails comme celui que je viens de mentionner et qui facilitent quand même vachement la prise en main du jeu quand on a été habitués au gameplay de BG2 et qu'on retombe sur BG1 sans utiliser de mod type Tutu.
Le contenu du jeu est limite anecdotique. Mais bon, la tour de Durlag, c'était épouvantablement frustrant et marrant à parcourir. L'expression "équipe de bras cassés" a rarement trouvé autant son sens que face à quatre wyvernes géantes pendant que la totalité des membres de votre groupe (enfin moi, je joue en solo, héhé) saigne à mort. Ou quand il a fallu jouer aux échecs. Ouais, comme dans Harry Potter. Sauf que le roi noir, c'est ma petite chérie, et que si elle meurt, tout est perdu. Comme d'hab.
Et puis comme j'aime bien torturer mes personnages, surtout dans les Sims mais pas que, j'ai adoré voir ma petite chérie se faire draguer par un loup-garou historien (sous forme humaine, quand même), lequel va se faire dépecer par sa tribu pour la protéger pendant que cette petite ingrate fuit l'île de Balduran comme une grosse lâche (comme d'hab) avec pour seul souvenir du dit soupirant un bouquet de fleurs empoisonnées. Tout ça pour se faire attaquer par son employeur à la fin. Et aider, contre son gré, des gens d'un culte à faire ressurgir un démon des Neuf Enfers. Démon dont elle devra bien évidemment casser magistralement la gueule. (son premier démon... awww)
C'est moche la vie, hein, choupette. Allez, pour se détendre, on va re-casser la gueule au frangin.