Child of Light
7
Child of Light

Jeu de Ubisoft Montréal et Ubisoft (2014PC)

L'hyper volcan a sue nous livré une surprise glacé

Un graphisme à l'aquarelle et une jaquette qui en jette. Au première abord se jeu me sembler être une stratégie commercial. La grande entreprise Ubisoft peut avoir parfois du mal a se séparer de cette image de gros éditeur avare et sans âme que les consommateurs concerner lui accorde parfois. Et se graphisme artistique «cliché» ainsi que le mot Art écrit en gros dans Ubiart lorsque l'on allume le jeu me faisais me dire que Child of light était un produit d'apparat. Comme quand mcdo peint le toit de ses fastfood en vert, pour que l'on ai une meilleure image d'eux.
J'étais donc très retissent a l'idée de jouer à ce jeux, résultat d'une multinational qui voudrais être aimer comme le marchant du coin.
Évidement je ne peut pas savoir se qu'il en ai réellement, comment se projet est née.
Mais quel qu’on pue être les ingrédients le plat et délicieusement bon.
J’étais septique face à se choix graphique, mais elle est finalement très bien exploiter, la profondeur, le mélange avec la 3D, les animations, très beau. La musique, encore plus, magnifique. Toujours dans le ton du jeu, elle est la première chose qui m'a fait oublier mes craintes fasse à cette « Ubiart ». Mais vraiment, la grande qualité qui me fait dire que se jeu est honteusement beau, c'est l’écriture. Des rimes, doux et simple, des explication légère mais précise, et de l'humour suffisamment subtile pour se fondre dans cette œuvre emplie de nostalgie et de rêverie.
Beaucoup de gens l'on dit avant moi, mais c'est un jeu pour grand enfant. Toute l'histoire repose sur la poésie des anciens compte de fée, en plus sombre mais sans être surligner. Il joue de finesse.
Donc l'image, le son et l’écrit sont excellent mais le gameplay n'a pas à rougir fasse a eux, il est excellent.
Il est le premier a me refaire vivre se sentiment de compagnie que pokemon rubis m'avait fait ressentir en sont temps, l’évolution des personnage et de notre expérience est vraiment bonne, il y a toujours à faire, les combat sont intense car, malgré l'apparence, il sont rapide et demande de gérer pas mal d'action simultanée. Bien que le bestiaire reste très sommaire pour de la fantaisie cela reste un belle univers, réapproprier. Et la découverte est extrêmement agréable grâce au déplacement très fluide de notre personnage volante.
Les deux seul reproche que je pourrait faire est qu'il est un peu trop facile. Mais peut être est ce pour que des enfant qui persévérer puisse y arriver...
Et le deuxième défaut, et qui est l'un des meilleure qu'une œuvre puisse recevoir, je n'en ai pas eu assez, j'aurais voulue continuer a voyager et a me battre dans se monde de fée.

Alan Poulain

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