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Once Upon A Time
Il était une fois la Productivité. Elle régnait sans égal sur le monde, et cela était bien. Certes, certains essayaient de s'élever contre son hégémonie mais leurs efforts restaient vains... Puis...
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le 15 déc. 2011
1 j'aime
Dungeons Drug
Cher lecteur, si tu tiens à conserver une certaine productivité au travail/dans tes études, cesse IMMEDIATEMENT de lire cette critique et oublie le nom de ce jeu... oublie le! MAINTENANT! ... regarde la lumière rouge, là... FLASH!!
Quoi tu es encore là? Tu tiens définitivement à devenir procrastin... glandeur professionnel (arrêtons d'être pédant veux-tu)?
Alors je te présente ta nouvelle occupation chronophage : DUNGEON DESKTOP!
Derrière ces quelques pixels, se cache un bijou effroyable d'efficacité : un jeu qui a su distiller toutes les mécaniques du donjon crawler (mais si... ce genre antédiluvien aussi appelé "tapermonstrechopertrésorsefairetuerparleboss" dans certaines contrées reculées) pour proposer une expérience hautement addictive.
La recette : UNE RACE - UNE CLASSE - UN NIVEAU - UN BOSS A BUTER
Pas de chichi ici, tout est simple et précis : on gagne de la vie et du mana en explorant le donjon, on gagne de l'xp en castagnant du streum (peu de hasard d'ailleurs : les résultats du combat sont affichés avant chaque coup) et on peut profiter de quelques bonus en suivant un style de jeu correspondant à une divinité.
De ce dogme de Game Design découle des parties oscillant entre 30 secondes et 3 minutes, où la grande difficulté du jeu (AULDESKOUL BABY comme le déclament avec un sourire lubrique les vieux rôlistes avec chips dans le bouc) ne frustre pas de par la rapidité et la simplicité du gameplay.
On a finalement plus à faire à un "puzzle stratégique" qu'à un véritable RPG!
Un poil de travail en plus sur l'esthétique n'aurait pas été de refus (les tiles ne sont pas très originaux, mais les ennemis, à l'image de la terrible chèvre niveau 100 ou des Super Meat Man compensent par leur charisme), tout comme une interface moins brut de décoffrage.
Enfin, le soft offre un max de contenu à débloquer, qu'il s'agisse de classes, de modes de jeux ou d'ennemis (quoique débloquer ces maudits serpents et ces satanés squelettes n'est peut être pas une si bonne idée...)
Trêve de bavardage, jetez vous sur cette perle indé (gratuite! et dispo sur Mac et PC) et vous ne pourrez que constater que le contrat est rempli : vous vous retrouverez à 3 heures du mat' à grommeler après une mort douloureuse "Allez! Encore une partie et j'arrête!"
Quoi tu es encore là? Tu tiens définitivement à devenir procrastin... glandeur professionnel (arrêtons d'être pédant veux-tu)?
Alors je te présente ta nouvelle occupation chronophage : DUNGEON DESKTOP!
Derrière ces quelques pixels, se cache un bijou effroyable d'efficacité : un jeu qui a su distiller toutes les mécaniques du donjon crawler (mais si... ce genre antédiluvien aussi appelé "tapermonstrechopertrésorsefairetuerparleboss" dans certaines contrées reculées) pour proposer une expérience hautement addictive.
La recette : UNE RACE - UNE CLASSE - UN NIVEAU - UN BOSS A BUTER
Pas de chichi ici, tout est simple et précis : on gagne de la vie et du mana en explorant le donjon, on gagne de l'xp en castagnant du streum (peu de hasard d'ailleurs : les résultats du combat sont affichés avant chaque coup) et on peut profiter de quelques bonus en suivant un style de jeu correspondant à une divinité.
De ce dogme de Game Design découle des parties oscillant entre 30 secondes et 3 minutes, où la grande difficulté du jeu (AULDESKOUL BABY comme le déclament avec un sourire lubrique les vieux rôlistes avec chips dans le bouc) ne frustre pas de par la rapidité et la simplicité du gameplay.
On a finalement plus à faire à un "puzzle stratégique" qu'à un véritable RPG!
Un poil de travail en plus sur l'esthétique n'aurait pas été de refus (les tiles ne sont pas très originaux, mais les ennemis, à l'image de la terrible chèvre niveau 100 ou des Super Meat Man compensent par leur charisme), tout comme une interface moins brut de décoffrage.
Enfin, le soft offre un max de contenu à débloquer, qu'il s'agisse de classes, de modes de jeux ou d'ennemis (quoique débloquer ces maudits serpents et ces satanés squelettes n'est peut être pas une si bonne idée...)
Trêve de bavardage, jetez vous sur cette perle indé (gratuite! et dispo sur Mac et PC) et vous ne pourrez que constater que le contrat est rempli : vous vous retrouverez à 3 heures du mat' à grommeler après une mort douloureuse "Allez! Encore une partie et j'arrête!"
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Créée
le 6 mai 2011
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