The Ancient Gods Part II est plutôt simple quand on le compare à son grand frère, rien de donné – quoique -, mais on sent bien une volonté de calmer le jeu. Si ID se lâchent, c’est sur une sorte de gourmandise de tous les instants, de la largesse des arènes au nouveau marteau du Doom Slayer, on sent qu’ils essaient de reposséder le joueur privé de sa Crusader dans Ancient Gods 1. On voit également la quantité de munitions de BFG, de charges de marteau ou même de power up – souvent mal utilisés d’ailleurs -, on sent cette sensation de puissance qui tente de nous monter à la tête.
Si cette gourmandise et la pseudo facilité qui vont avec ont du bon, difficile de nier le plaisir pris durant nos 3 parties de découverte de l’extension, c’est aussi ce qui fait du tort à cette apothéose qui manque d’incarnation plus concrète. Les arènes se suivent et se ressemblent, toutes bien ficelées mais souvent simplistes dans leur proposition, là où The Ancient Gods Part I surprenait plus, tentait plus, exploitait bien mieux ses précieux mètres carrés.
Notre critique complète ici : https://linfotoutcourt.com/test-doom-eternal-ancient-gods-part-ii/