Les hommes tombait tous au chômage, ou plutôt ils ne pouvaient pas le toucher.
Les femmes accouchaient, se laissaient engrosser à la volée.
Dans cette région ou il n'y avait que des locataires, du fait de la malfamie, ils durent tous habiter dans les caves et les sous sols pour survivre, ne pouvant vivre que de pillage.
Pour les gens de l'extérieur, chaque heure de la journée sonnait pour un règlement de compte, alors que pour les familles endogames ce n'était que la loi du plus fort, celui qui arriverait à arracher le pain moisi de l'assiette de son probable cousin : dans leur tete consanguine tout ca n'étant ressenti que comme un jeu pour les gens sans conséquences.
Donc tout le monde dort dans la même pièce, meme le chien, et tout le monde est à la limite du ravissement et du désir de ce genre d'aventures immobiles, recherches infertiles, incestuosité mal cachée du manque de confiance en ses capacités de l'exploration de.... l'autre.
Tant de factices égaiements simplement parce qu'il se passe des choses.... vers nulle part.
Alors on survit avec les mêmes gens que l'on connait depuis nos débuts à affronter les mêmes raclures que l'on voit depuis l'enfance en espérant gagner des pouvoirs surnaturels et des pièces d'or en réussissant un jour à leur casser la gueule en prenant la pelle qui trainait dans la cave.
Chacun son arc-en-ciel et son leprechaun selon chacun.