Street Fighter
4.2
Street Fighter

Jeu de Capcom (1987Arcade)

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Après avoir retracé de fond en comble toute l’histoire de la saga de Tekken, il était temps que je m’attaque à l’autre pointure du genre du jeu de baston, et ce n’est pas peu dire ! Une saga qui est tout simplement à l’origine du genre à part entière, à une époque où les jeux de baston étaient plutôt des simulations d’arts martiaux un brin ennuyant on ne va pas se mentir. Cette saga, qui arrive en 1987, va tout changer. Je pose donc désormais mes guêtres dans le monde merveilleux de Street Fighter… Et putain, on peut dire que je ne m'attendais pas à ça pour le premier épisode !


Il est sympa, l’écran de sélection de personnage !


Bon, si en fait, je mens un peu, la réputation de ce premier jeu de la série n’est plus à prouver, car comme pour beaucoup, j’avais déjà entendu ou vu des extraits de cette énorme bouse, peut-être via une vidéo de JDG, je crois. Car on se doute bien d’un truc : quand le second jeu d’une série est légendaire, mais par contre, on n’entend jamais parler du premier, c’est qu’il y a une couille quelque part. Et cette couille, elle s’appelle Street Fighter 1. Mais rien à battre de ce que tout le monde raconte, j’ai parcouru le jeu en entier, et je voulais me faire mon propre avis sur la chose (spoiler : j’aurais dû écouter les gens).


Comme c’est un pur jeu d’arcade, pas de sélection de mode, juste à enfiler une pièce, et hop, sélection du perso… Ah bah non, on joue avec juste un personnage, et ce perso est bien sûr Ryu… Quoi que, attends, il est roux, wtf ? M’enfin oui, il s’agit bien de Ryu, qui en cette époque encore bien sombre, ne dispose d’aucun lore solide. Il s’agit juste d’un type voulant prouver sa force, et ça tombe bien, un tournoi a lieu, où tous les plus grands combattants du monde vont s’affronter, pour savoir qui est le plus fort. Bon, faut savoir que dans ce jeu, le monde se résume à 5 pays, car seulement 5 d’entre eux sont représentés, mais faut surtout comprendre qu’il y a des personnages bien plus forts dans l’univers du jeu, qui n’en ont rien à branler de ce tournoi. Mais quand bien même, au sommet de cette compétition, il y a déjà un nom bien connu, Sagat, l’empereur de la Muay Thai, qui est quand même reconnu pour être l’un des combattants les plus forts qui soient. Le jeu est donc principalement solo en enchaînant les boss, dans la plus pure tradition des jeux d’arcade du genre, et on était loin encore du versus fighting tel qu’on le connaît dans l’épisode 2. Bien qu’il y ait toutefois la possibilité de jouer en 1V1 avec Ken, mais j’y reviendrai plus tard.


Il faudra vaincre 10 adversaires durant le jeu pour le finir, et croyez-moi, putain que ça va être laborieux à faire. On peut choisir un pays pour combattre nos deux premiers adversaires (deux par pays), mais on finira toutefois obligatoirement par la Thaïlande, avec un Sagat totalement cheaté pour la fin, car le meilleur pour la fin comme chacun sait. Je recommande de commencer par la Chine, le premier adversaire est de loin le plus simple, et il peut se vaincre sans les coups spéciaux. Et au début ça va, on découvre le Gameplay, et ce n’est pas si mal. On a déjà le système de coup léger/moyen/fort pour pied et poing, qu’on connaît si bien dans la série. Même si tout de même, une des versions de borne d’arcade avait eu l’affreuse idée d’avoir des boutons pneumatiques, où il fallait taper comme un bourrin dessus (mais genre vraiment, gros coup de poing sa mère sur le bouton) pour pouvoir faire les différentes puissances de coups. Haha, quelle belle idée de merde, tu m’étonnes que ça n’est pas resté !


Wtf, on le sort comment le Hadouken ?!


Sinon, on y trouve toutefois quelques autres fondations de la série, comme le système de garde, qui était déjà là, avec la garde haute pour les coups sautés et hauts, et la garde basse, pour tous les coups au sol. On avait même les coups spéciaux, avec les trois coups légendaires de Ryu et Ken. Seul petit problème, mais alors très léger hein, pas grand-chose… ILS SONT PUTAIN D’IMPOSSIBLES À FAIRE PUTAIN DE MERDE ! Car oui, si tu rejoues à la version Arcade de Street 2 et que tu te plains de l’exécution un poil trop exigeante du jeu, oh putain mon pote, vient jouer au premier épisode, et ose encore te plaindre après. C’est simple, dans ce jeu, les coups spéciaux sont plus vus comme des coups cachés, des coups secrets surpuissants, jamais expliqués, et volontairement hardcore à reproduire, l’explication n’étant jamais donnée à l’époque sur comment les réaliser, c’est plus des coups vodou chanceux qu’autre chose quand on les sortait. On avait donc une tout autre philosophie de jeu avec ce premier Street, où tu jouais principalement avec les coups normaux, puis un peu avec les spéciaux quand ça voulait sortir… Oh bordel, je viens d’imaginer les pauvres gars qui devaient essayer de sortir les coups spéciaux à l’époque sur les bornes d’arcade avec les touches pneumatiques, l’enfer sur terre quoi !


Le seul problème avec tout ça, c’est que le jeu, dans sa seconde moitié, et surtout dans sa dernière partie avec la Thaïlande, devient totalement impossible sans les coups spéciaux, tant les boss deviennent sont surpuissants même dans la difficulté la plus basse (qui ne change que dalle par ailleurs), et spamment leurs propres coups spéciaux, nous vidant 40% de notre vie… Oui, c’est Elden Ring le bordel, sauf que tu n’as pas les potions de soins ici… Alors pas le choix, obligé de « maîtriser » le système de coups spéciaux pour s’en sortir car ceux-ci font des dégâts débilement forts, seul moyen de gagner et tenir la cadence. Et alors là, bon courage, tant c’est impossible. Les combinaisons restent pourtant simples et sont les mêmes que celles qu’on a toujours connues, genre quart de cercle bas vers l’avant et poing pour l’Hadouken, mais franchement, vous allez le réussir une fois sur vingt tant l’éxécution est atrocement difficile ! Et pendant ce temps-là, ou tu vas spammer des coups dans le vide en cherchant à faire une boule de feu magique, tu vas te faire sodomiser par une IA sous crack qui va spammer ses coups puissants sans vergogne. G-E-N-I-A-L !


Mais j’ai la solution ! Et oui, car laissez-moi vous parler du Negative Edge, une mécanique obscure permettant de contourner ce problème. En gros, le Negative Edge existe dans beaucoup de jeux de baston, et consiste à rester appuyé sur une touche (pour l’Hadouken par exemple, sur une touche poing), ensuite faire l’enchaînement (ici, le quart de cercle bas vers l’avant), puis seulement, en essayant d’être synchro avec la fin du mouvement, de relâcher la touche. Et miracle, avec ce jeu de merde, ça fonctionne plutôt bien, et j’ai assez bien réussi à enchaîner mes Hadouken (genre une fois sur trois, pas si mal !), et le Hurricane Kick fonctionne bien aussi. Seul le Shoryuken reste débilement difficile à faire même avec la caribistouille du Negative Edge, le mouvement en Z doit être trop précis à faire. J’arrive à le faire parfois rarement, et dommage, car il est archi débile niveau dégâts, une fois, j’ai réussi à le placer et il à quasi OS un adversaire, car le jeu a compté deux coups au lieu d’un. Ah, et le Shoryuken passe la garde aussi si jamais, hahaha !


Donc les coups spéciaux étaient plus des « codes » qu’autre chose à l’époque, pas du tout pensés pour être utilisés comme kit standard de coups, comme ce sera le cas dans les suites, ne serait-ce que les dégâts qu’ils provoquent, qui sont tous absurdes dans le premier jeu, si forts qu’au final, il suffit juste de les spammer pour gagner. Il n'y a donc aucune notion d’équilibrage encore à cette époque, mais ce n’est pas si étonnant, avec ce genre de jeu d’arcade, il s’agissait surtout de trouver le coup qui gagne comme on dit, et de réussir à le spammer comme un porc le plus efficacement, rien d’autres. Niveau fun, on en est la. Il n'y a d’ailleurs pas encore de combo ici, cette mécanique arrivera avec Street 2. On voit donc ici que si le premier jeu va créer les bases et les fondations d’une future légende du jeu vidéo, il reste encore à tout améliorer pour que ça fonctionne réellement, et que comme quoi, il ne suffit pas juste d’avoir les bonnes idées, il faut savoir aussi correctement les appliquer.


Mode roi de la colline


J’ai donc parcouru l’intégralité du jeu, et dieu quelle enfer j’ai pu vivre. Car là, on est totalement dans un jeu dont l'unique but était de braquer ton porte-monnaie et ta dignité, tant tout est conçu pour t'enfumer la gueule. Les combats sont donc, sans surprise, beaucoup trop difficiles, avec un combat final contre Sagat tout bonnement impossible sans les save stat d’un émulateur (enfin si, c’est possible, au bout de spam pendant deux heures d’essais de coups spéciaux, et avec de la chance…. Ça peut passer), ou ce fils de pute balance à la vitesse de la lumière des coups qui peuvent nous foudroyer en deux secondes de combats… Mais putain je ne déconne pas, je suis clairement mort en deux secondes contre lui une fois, on en est à ce niveau d’enculade les gars. Puis c’est tellement grillé que l’IA lit juste tes touches pour cheaté, genre quand tu restes accroupi et en garde, la plupart des boss sont juste paumés et ne font quasiment plus rien, tellement ils attendent tes inputs pour agir ! Enfin bref, petit tour d’horizon des différents personnages de ce jeu de merde :


- Retsu, le 1er adversaire au Japon. Le plus simple, ce gogole saute de partout, mais il ne dispose d’aucun vrai coup puissant, donc c’est cool. Un perso sans charisme, qu’on retrouvera vite fait en clin d’œil dans Street 6 bien plus tard.


- Geki, le second adversaire du Japon. Alors là ça devient déjà vicieux, c’est un ninja bien cliché, qui spamme les Shurikens, donc bon courage pour l’approcher. Mais il peut y avoir moyen si on temporise bien, et c’est l’occasion de lui sortir nos premiers Hadouken, qui sont très efficaces contre lui. On ne le reverra jamais dans la suite de la série lui aussi, mais le fait qu’il combatte avec des griffes laisse à penser que Vega sera en quelque sorte une suite spirituelle.


- Joe, 1er adversaire Américain. Comme pour Retsu, RAS, il se vainc donc assez simplement on va dire, et comme on peut choisir entre les deux premiers pays, fallait bien attirer les joueurs dans le piège en les laissant croire qu’ils ont une chance… Ce personnage serait inspiré d’un vrai combattant, à la manière de King dans Tekken. Mais bon, on ne le reverra jamais plus dans la série par la suite.


- Mike, second Américain. Alors lui, c’est totalement la version bêta de Balrog ! On y retrouve les mêmes genres de coups, avec une charge avant avec les poings surpuissants, le rendant infâme au corps à corps. La sentence est donc irrévocable, spam de Hadouken dans sa gueule de loin, et c’est easy win. On ne le reverra jamais vraiment dans la série, il sera remplacé par Balrog, qui fera un chouette clin d’œil à Mike dans un de ces modes histoires dans un futur Street.


- Lee, 1er combattant chinois. C’est la première belle saloperie du jeu qui est là pour nous faire cracher des pièces, tant il est quasi impossible de le vaincre sans coups spéciaux, car il est bien trop rapide avec ses attaques sautées surpuissantes. On peut néanmoins avoir un semblant de stratégie contre lui, en parant ses coups et en contrant avec des coups bas, puis une fois éloigné, Hadouken dans sa gueule. Lui aussi, on ne le reverra jamais dans la série, mais niveau lore, il connaît Chun-Li, et aura pour neveux Yun et Yang, deux persos de Street 3.


- Gen, second combattant chinois. Là, c’est bon, tu oublies la stratégie, ce salaud est tellement surpuissant et rapide, que à partir de maintenant, seul le spam d’Hadouken peut te faire gagner, joie… Sinon, c’est le 1er personnage en dehors de Ryu,Ken et Sagat, qu’on retrouvera jouable plus tard, dans la série des Alpha plus précisément. Ancien assassin, il connaîtra bien Chun-li, car il connaissait son père. Voilà, quand tu ne sais pas comment refaire venir plus tard un vieux perso, tu lui donnes un lien avec un perso culte de la série et hop, plus de soucis.


- Birdie, 1er adversaire d’Angleterre. Un gros porc surpuissant, là si on pouvait encore avoir un doute avec Gen, ici, ce fameux doute n’est plus permis : La borne d’arcade n’a plus aucun respect pour toi, et fera tout pour t’enculer le plus salement possible, sans s’en cacher. Impossible, juste du spam de Hadouken pour contrer un adversaire surpuissant, si tu as de la chance et qu’ils sortent bien, à toi la victoire… Perso toutefois important dans la série, car il sera jouable dans plusieurs titres, un perso que j’aime bien j’avoue. Bon, on sent que les développeurs ne savaient pas trop quoi en faire avec ce combattant sans aucun lore, il passera de blanc de peau à noir, pour revenir blanc, pour ensuite devenir énorme et rejoindre Shadaloo et après la quitter. Un gros foutoir quoi, mais je l’aime bien quand même !.. Sauf dans ce jeu de con où je le déteste !


- Eagle, second adversaire d’Angleterre, et oui, le développeur était très inspiré avec les noms des persos anglais, en leur donnant des noms des règles venant du golf. Totalement abusé, il faut spammer l’Hadouken, on connaît la musique… Un personnage qu’on ne reverra jamais dans les suites.


- Adon, avant-dernier boss du jeu. C’est le fidèle disciple de Sagat, entendez donc par-là que vous allez roter du sang comme jamais. Il utilise les techniques du Jaguar à la place de celles du tigre de Sagat, mais ça ne change pas grand-chose dans les faits. Ici, le jeu devient si impossible, que même le spam du Hadouken ne fonctionne plus vraiment (il peut sauter au-dessus avec un move), et qu’il faudra aussi avoir recours au Shoryuken si on veut survivre. Et oui, le fameux coup impossible à sortir de manière fiable ! Préparez-vous donc à spammer le quart de cercle et le poing comme un gogole durant tout le combat en espérant avoir de la chance, car le jeu ne se résume plus qu’à ça à partir de Adon ! Sinon, ce mongole de Adon reviendra plus tard en tant que personnage jouable dans les jeux Alpha, en cherchant à vaincre Sagat, pour qui il n’a plus de respect, suite à sa défaite contre Ryu (il a dû oublier qu’ils ont perdu tous les deux contre lui non ?).


- Et enfin, le grand Sagat, pour le combat final, le true final boss donc. Pas besoin de le présenter, avec Ryu et Ken, il fait partie des personnages iconiques de la saga qui étaient déjà là dans ce premier épisode. Il n’a pas encore tous ses coups de Street 2, mais on y retrouve toutefois certains, comme ses Tiger shots et Tiger Knee. Problème, il est totalement fumé ici, et comme dit plus haut, si la borne d’arcade a faim de pièces, peut te buter en deux secondes top chrono si tu n’as pas de chance dans les patterns. Là aussi, spam aléatoirement de quart de cercle et poing, et bon courage, peut-être un Shoryuken chanceux pourra t’aider à gagner…


Et une fois terminée l'aventure, troll ultime, dernier crachat envoyé à la gueule, nous sommes déclarés "Roi de la colline" à la fin du mode… Ce n’est pas une blague, on n’est pas cité comme le guerrier le plus puissant du monde ou autres, non, seulement, tu es le roi d’une colline. Laquelle, aucune foutu idée, mais c’est quand même pas mal… Ahhh putain ce foutage de gueule ! Sinon, on peut refaire le jeu en difficulté maximale (car oui, c’était le mode normal dont je vous ai parlé là), qui part encore plus en couilles, avec l'IA qui spamme encore plus les coups spéciaux, mouais sans façon ! Sinon, il y avait toutefois la possibilité de jouer à deux, avec un combat entre Ryu et Ken pour le second joueur. Autant dire qu’avec le système du jeu, les combats étaient sans aucun intérêt et se résumer au premier à sortir les Hadouken par chance. Mais c’était rigolo, car le gagnant pouvait poursuivre l’aventure, ce qui faisait que l'on pouvait faire le jeu avec Ken en tant que joueur 2 si on voulait. Cependant, les coups sont exactement les mêmes, Ken étant juste un autre skin en cette sombre époque.


Donc oui, Street Fighter 1 est un bon gros jeu de merde, une énorme bouse comme rarement j’ai pu connaître, surtout au sein d’une grande licence. C’est surtout un jeu d’arcade de son époque, qui avait surtout pour but de bouffer un maximum de pièces aux joueurs via des procédés de Game Design douteux, plutôt que d’être à l'origine d’une des plus grandes sagas du jeu vidéo. Mais quand même, on peut lui reconnaître un certain mérite, c’est tout de même le jeu de baston qui a apporté les premières idées d’un genre nouveau, le versus fighting, avec ses persos hauts en couleurs et stéréotypés, sa variété de coups spéciaux différents, ainsi qu’un visuel et un univers qui empruntent plus au manga qu'à la simulation. Mais après, est-ce qu'être le premier à le faire veut dire que c’est bien et mérite une note clémente qui prend ce fait en compte ? Bien non j'en ai peur, et laissez-moi vous expliquer ma pensée avec cet exemple : Si je suis le premier au monde à chier sur la tête d’un requin, cela fait-il de moi un génie ? Non. Par contre, si un type talentueux fait un super film à succès avec pour histoire un homme qui chie sur des requins s’inspirant de ma vie, et bien, ça sera lui le seul vrai gars à applaudir. Là c’est un peu pareil, Street Fighter 1, c’est clairement de la daube, et qui sera surtout une inspiration (rien de plus) pour sa suite légendaire qui n’a plus rien à voir avec lui, Street Fighter 2. Donc ici, un peu comme avec mon histoire de caca, si vous voulez résumer plus simplement : C’est Street Fighter 2 qui chie sur Street Fighter 1.


Un jeu d’une autre époque, qui a comme seul intérêt et prestige de porter le nom d’une des plus grandes sagas du jeu vidéo. Jeu fondateur d’un mythe, qui permettra de donner l’inspiration nécessaire à des développeurs, pour sa suite de légende, Street Fighter 2. Quant à ce jeu en lui-même, il s’agit probablement d’un des plus mauvais jeux que j’ai pu faire de ma vie de joueur, et pourtant, j’en ai récuré des merdes durant mon parcours de joueur. Un jeu sans aucun intérêt, autre que celui de vous faire perdre votre argent à l’époque. À défaut d’avoir eu mon argent, il aurait réussi à avoir de mon temps, ce qui est déjà bien trop.

skorn-of-banana
2
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le 13 mai 2024

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