Street Fighter 4 a largement contribué à redynamiser le genre du versus fighting, avec un parti pris graphique audacieux mais finalement payant et un gameplay accessible et profond. Cette version 'Arcade Edition' propose - à prix réduit - une réactualisation de la version 'Super' qui proposait déjà un rééquilibrage des anciens combattants, de nouveaux décors, et dix nouveaux venus dont deux personnages inédits dans la série. Cette fois Capcom n'offre à sa licence qu'un léger rafraîchissement, avec une poignée de nouveaux personnages et quelques ajustements qui ne justifieraient normalement pas de repasser à la caisse. Sauf que la version 'Super' n'étant pas sortie sur PC cette Arcade Edition tombe à point nommé. La réalisation est impeccable et on pourra même s'amuser à customiser ses combattants avec des skins officieuses pour certaines très réussies.
Créée
le 24 août 2015
Critique lue 202 fois
D'autres avis sur Super Street Fighter IV: Arcade Edition
Faites donc le calcul pour un joueur qui comme moi a commencé avec SFIV : 70e, puis a acheté SSFIV : 40e , et Arcade Edition 22e (mais qui est sorti à 30). 40e pour 10 personnages était déjà un peu...
Par
le 6 avr. 2012
4 j'aime
5
Je suis trop vieux pour me souvenir de l'année exacte. Ma pièce de 10 balles en poche, je me dirige tranquillement vers la salle d'arcade de ma triste ville picarde. Pour tout vous dire, je ne sais...
Par
le 10 nov. 2013
2 j'aime
Un jeu de baston solide et qui me parait plutôt bien équilibré mais je dois être franc : je préfère mater des matchs de pro que me mater jouer comme un gros noob. Oui parce que le défaut de ce jeu et...
Par
le 19 mars 2013
2 j'aime
2
Du même critique
Bethesda a atteint un tel niveau de médiocrité avec ce Fallout 4 que même le ressort habituel de l'exploration d'un vaste monde pour y découvrir les quelques pépites qui s'y cachent - lieux...
Par
le 16 nov. 2015
16 j'aime
3
Je ne vais pas beaucoup m'étendre sur sur ce deuxième opus et pour l'essentiel je renvoie à ma critique d'Innocence :...
Par
le 24 oct. 2022
13 j'aime
Sous la direction artistique le néant... ou presque. Dordogne est symptomatique d'un mal qui ronge le jeu vidéo français depuis (presque) toujours et indé depuis pas mal d'années : le truc narratif...
Par
le 16 juin 2023
12 j'aime
5
