Telling Lies
6.5
Telling Lies

Jeu de Sam Barlow et Annapurna Interactive (2019Nintendo Switch)

Comme toute personne s’intéressant un temps soit peu aux jeux vidéo dans toutes leur diversité, ça fait forcément un petit moment que j’ai entendu parler de Sam Barlow et de son remarqué Her Story.

Sorti en 2015, ce jeu d’enquête qui consistait à reconstituer un récit via des vidéos avait eu ce double mérite à la fois de réhabiliter le genre du Full Motion Video – ou « FMV » – mais également de rappeler à la diversité des possibles en termes de narration vidéoludique.

Autant dire que Her Story est vite rentré dans la liste de mes envies et que, si je n’y ai toujours pas joué aujourd'hui – du moins au moment de rédiger de billet – c’est d’une part parce que je rechigne généralement à utiliser mon PC comme plateforme de jeu et d’autre part parce que j’ai longtemps espéré (en vain) qu’il finisse par sortir sur une des machines en ma possession.

Parce que oui, en 2024, toujours pas de Her Story sur consoles… Par contre, j’ai découvert récemment – et par hasard – que Telling Lies, le deuxième FMV de Barlow sorti quatre ans plus tard, était quant-à-lui bien-là, sur le Nintendo eshop. Alors du coup je ne me suis pas fait prier : ni une ni deux, je me suis lancé dans l’aventure et…

…Et là, le mur.


Alors bon, je tiens à préciser les choses tout de suite : je n’ai pas débarqué dans Telling Lies sans rien en savoir. Je connaissais le principe de jeu. Je m’étais renseigné. Je savais aussi que le jeu divisait mais que, globalement les retours étaient bons.

Je suis donc venu confiant, certes. Curieux aussi, c’est indiscutable. Mais surtout j’ai bien veillé à garder mes chakras ouverts et à m’armer de patience au cas où, car il était évident qu’en m’aventurant dans ce jeu-là, j’allais me confronter à des mécaniques nouvelles qu’il allait falloir apprendre à apprivoiser.


D’ailleurs ce n’est pas vraiment sur cet aspect-là qu’un mur a fini par se dresser entre le jeu et moi. Parce que, à bien tout prendre, tout ça nous est amené plutôt instinctivement. On voit notre avatar pénétrer en douce dans un appartement, brancher un disque dur externe, puis nous voilà subitement sur le bureau d’ordinateur qui nous servira d’interface de jeu. Histoire de nous guider un peu, l’avatar tape un premier mot-clef dans son logiciel espion pour qu’on en déduise le fonctionnement et – franchement – moi j’ai trouvé ça plutôt limpide.

On te propose deux vidéos de conversations en visio. En les lançant, tu constates que les deux vidéos commencent par le mot « amour » ; le mot que notre avatar vient de taper. De là, tout parait clair. Étant donné que chacune des deux vidéos n’est en fait qu’une moitié de conversation dans la mesure où on ne dispose que du flux d’un seul des deux interlocuteurs, on comprend alors que si on veut avoir accès à l’échange en entier, il va falloir taper d’autres mots susceptibles d’être prononcés par la personne d’en face.

A ce moment-là, vraiment aucun nuage à l’horizon. Au contraire, j’étais plutôt excité de ce que j’avais à découvrir…

…Et c’est là qu’un premier problème a commencé à se poser.


Eum…


Mais je suis censé découvrir quoi, au juste ?


Alors en zieutant un peu à droite et à gauche, je vois bien qu’il y a d’autres icones qui sont-là et qui n’ont certainement pas été disposés là par hasard : l’icône de mon disque dur externe, mon logiciel, des notes laissées par la NSA pour laquelle mon avatar travaille manifestement, la corbeille et… Un solitaire. (Mouif… Pourquoi pas. C’est drôle. Et peut-être utile pour plus tard, sait-on jamais…)

Du coup je fouille un peu et je lis ce qui est à ma disposition.

« Castle est un logiciel espion qui permet d’utiliser un ordinateur sans se faire repérer grâce à un super système de [jargon informatique], blablabla… »

OK. Suivant.

« Retina est un logiciel qui permet de retracer les conversations grâce à des mots-clefs. » Oui, bon ça j’avais compris. « En tapant un mot, le logiciel va proposer… » Oui oui, ça aussi j’avais tilté… « Le logiciel ne sortira pas de vidéos si malheureusement vous sortez une série de mots qui n’est pas présente telle qu’elle dans la base de données… » Oui, je m’en doutais un peu, mais merci de le préciser… Jargon informatique… Autre jargon informatique…

…Et cette note-là, c’est quoi ? Encore du jargon informatique.

OK…

Mais euh…

Mais…

…Et ma mission, alors ?

Pourquoi je suis sur cet ordinateur ?

J’enquête sur qui ? Pour apprendre quoi ?

Quand le jeu se finit-il, au juste ? On attend quoi de moi ?

Donc si je comprends bien, la NSA laisse à ses agents des notes sur leur disque dur pour qu’ils se rappellent à quoi servent les logiciels espions qu’on leur a refilés mais par contre, ta mission, tes cibles, ça t’es censé la deviner sur place ?

Putain, ça commence bien...


Mais bon, dépassons ça.

Actons le fait qu’il faille déduire, par l’intermède de ce qu’on va découvrir, la finalité de notre mission. Alors soit, puisqu’il faut jouer le jeu. Jouons le jeu.

Très rapidement, en tapant quelques prénoms entendus au cours de mes deux premiers visionnages, j’arrive à retrouver et à identifier les parties manquantes de conversation. La date correspond. Le minutage aussi. Seule l’heure n’est pas la même, mais c’est sûrement dû à une question de fuseaux horaires.

Je suis content. Je lance les deux vidéos et… Et je trouve ça juste galère.

D’un côté un premier monologue entrecoupé de blancs (puisqu’on suppose que, durant ces moments-là, son interlocuteur est en train de parler) et même chose de l’autre côté. C’est d’autant plus imbitable que chacune des deux vidéos dure plus de trois minutes et que le système d’avance rapide se révèle désespéramment lent… (Comme quoi la NSA reste au bout du compte un service public comme un autre…)

Mais je me dis que ce n’est pas grave ! Car maintenant que j’ai identifié les deux vidéos, il doit forcément y avoir dans mon kit de super-espion de quoi les fusionner !

Je bidouille… Je cherche dans les notices… Ah bah non. Rien.

Je cherche du coup sur le net – le vrai cette fois-ci – et… Ah bah non. On ne peut pas fusionner les vidéos.

Euuuuuuuuuum…

Comment dire…

…Sérieux ?


Et voilà qu’arrive donc le deuxième problème…

Mais quelle putain d’inertie ! Il y a un nombre de vidéos hallucinant et donc, il n’y a ni moyen de les fusionner, ni moyen de les faire lire en simultané (car les espions de la NSA ne savent manifestement pas ouvrir deux fenêtres VLC sur le même bureau) et il n’y a même pas moyen de les CLASSER ?

Mais c’est de la merde votre truc !

Ça veut donc dire que, si je veux retracer le cours des événements et me revoir les vidéos dans l’ordre, il va falloir que je fasse tout, de tête, en sachant quoi taper pour les retrouver ?!

Alors vous allez me dire que le jeu laisse au joueur la possibilité d’annoter les vidéos pour savoir avec quel mot-clef on peut les retrouver et les relancer. Mais j’ai envie de répondre à ça : « ah bah putain mais merci ! Que c’est pratique ! Et si demain je me retrouve à devoir infiltrer une base remplie de terroristes armés jusqu’aux dents, vous me refilez quoi comme arme ? Des post-it ? »

Non mais merde quoi !

Où est le gain qu’apporte un tel choix ?

…OÙ ?


Alors soit, je peux encore comprendre que, pour certains, une telle configuration des mécaniques de jeu puisse attiser la curiosité, voire plus. On peut se dire que c’est malin, que ça pose des contraintes qu’on a envie de déjouer, surtout qu’il n’y a au fond pas de véritable difficulté à débusquer de nouvelles vidéos.

En fait tout va se jouer sur notre capacité à se montrer méthodique, à ne pas se laisser noyer, à essayer de saisir tous ces petits détails qui pourraient nous amener à valider ou non nos intuitions...

Et en vrai, dans l’idée, je valide totalement le principe. Je pense même que j’aurais pu moi-même me laisser prendre au jeu – et cela malgré ces énormes contraintes que je viens d’évoquer – un peu comme j’ai su accepter, il y a de cela quelques années, de passer outre l’interface un peu rigide d’un Return of the Obra Dinn pour mieux profiter – et jouir – de ce qu’il avait à proposer en termes d’expérience d’enquête…

…Mais là, ce qui a fait que je n’ai jamais trouvé la motivation de me forcer un peu, eh bah c’est que j’ai trouvé ça faisait factice au possible.


C’est terrible, mais à aucun moment je n’y ai cru.

Et si je n’y ai jamais cru, c’est tout simplement parce que le jeu n’est clairement pas à la hauteur de ses ambitions au niveau de son matériau de base : j’entends parler des vidéos.

Alors OK, on pourrait être tenté de dire que c’est formellement propre, qu’il y a un certain niveau de production et que les acteurs servent des prestations peu évidentes mais malgré tout maitrisées dans l’ensemble. Seulement il n’y aucun de ces choix formels qui ne va là-dedans.


Ah ça ! Oui c’est certain que, par exemple, la photographie a été bien travaillée et réfléchie !

Ah ça fait très pro ! Mais le problème c’est que c’est une photographie de sitcom Netflix qui se la joue un peu sérieux ça ! C’est parfait pour un truc lisse qu’on se mate le soir sans prise de chou. Et c’est d’ailleurs JUSTEMENT lisse pour ça sur Netflix : pour qu’on ne soit pas surpris ; bousculé. Pour qu’on ne s’y attarde pas et que ça glisse le mieux possible dans éventuelle logique de binge watching !

Mais là, dans Telling Lies, le principe c’est justement de s’attarder ; de voir et de revoir les vidéos, histoire d’en analyser les aspérités de long en large, et si possible en travers ! Du coup quel intérêt à faire porter cette attention accrue sur quelque chose de totalement lissé ! Sans aspérité ! Dont il ne ressort rien parce qu’il n’y a rien ! C’est totalement con !


Et le problème, c’est que celle logique de lissage, on la retrouve sur plein d’autres aspects formels des vidéos.

Prenons ne serait-ce que la distribution d’acteurs et d’actrices.

Ce ne sont pas leurs compétences qui pose souci en soi. C’est plutôt le fait que, d'une part, avec leurs gueules d’ange bien maquillées et bien coiffées, ils confortent déjà malgré eux cette esthétique de série insipide, mais en plus de ça, il a fallu que leur performance soit totalement torpillée par un script absolument désastreux.

Ah mais l’écriture dans ce jeu !

C’est un naufrage de chaque instant !

D’un côté on veut faire le pari d’une certaine authenticité en multipliant les passages censés grimer les moments du quotidien…

« Mais c’est qui le lion ?! C’est qui le lion ?! Mais c’est papa le lion ! Grouar fait le lion ! Groar ! » (Pendant trois minutes…)

…Et juste dans la foulée d’une vidéo qui va t’expliquer qu’il n'y a plus de canard WC dans la remise et qu’il va falloir aller en racheter – bim ! – tu te bouffes soudainement tous les plus gros clichés de la série policière de seconde zone, à base d’agents infiltrés, de combines douteuses, de tromperies…

C’est écrit en mode « gros sabots » comme jamais… Et avec de la musique en plus de ça !

Une espèce de vieille musique random toute flasque, comme si on l’avait foutu là pour meubler parce qu’on avait parfaitement conscience que, globalement, les dialogues du jeu étaient chiants à suivre tellement ils étaient longs, fades et creux !


Mais rien ne va dans ces choix ! Rien !

Et moi je suis censé ausculter tout ça avec minutie pour repérer l’indice, la petite bête, l’incohérence ?

Mais sitôt j’essaye de jouer le jeu en mettant tous mes sens en éveil, que chaque vidéo me hurle en permanence à la gueule à quel point elle est mal réalisée, mal écrite et totalement éculée en termes d’enjeu.

J’ai l’impression que le jeu m’invite à passer au crible des saisons entières d’un truc genre « Derrick Five-O ».

Mais pitié ! Abattez-moi !


Alors j’ai quand même cherché à jouer le jeu.

J’ai tapé des mots-clefs. J’ai vu des dizaines de vidéos où je me suis efforcé de cerner les enjeux, les sous-entendus et les entremêlements qui lient chacun des personnages… Mais bon, voilà, tu te retrouves avec quoi dans ta besace au bout de quelques heures de jeu ? Tu te retrouves avec des histoires d’agents du FBI sous couverture, des groupes terroristes à infiltrer, de vraies fausses relations amoureuses, des situations potentielles d’agent-double...

Mais… Mais en fait j’en n’ai juste rien à cogner quoi…

En tant que fiction, Telling Lies c’est juste nul. Et moi je suis censé me coltiner des dizaines d’heures de vidéos – et plusieurs fois en plus de ça – toujours avec des blancs atroces, tout ça pour au final reconstituer une longue série que, de toute façon, je trouve consternante dans le fond ?

Non mais c’est bon, ça va. J’ai assez donné…

J’ai décidé de m’arrêter-là, après seulement quelques heures de jeu et de visionnages YouTube.


Alors après, oui, je me doute bien que certaines et certains grinceront sûrement des dents suite à ce retour d’expérience que je viens de faire.

Ils se diront – et sûrement à raison – qu’en arrêtant aussi vite les frais avec ce jeu, je suis passé à côté de plein de trucs. De l’essentiel en fait.

En vrai, je me doute bien qu’au regard du succès d’ Her Story, de celui de cette suite – et plus généralement de la réputation que se traine Sam Barlow – que Telling Lies doit certainement être truffé de plein de petites habilités qui ont pu en bluffer plus d’un parmi celles et ceux qui ont su accepter la formule telle qu’elle leur était offerte. Je ne nie pas que ce savoir-faire existe certainement. Seulement voilà, moi je ne peux qu’acter ce qui en est ressorti de mon expérience. Et mon expérience à moi, justement, ça a été ce mur dont je vous parle depuis le début.

Ce mur infranchissable.

Un mur qui, au fond, n’a pas été que vidéoludique me concernant.

Non, ce mur, en vrai, il a aussi et surtout été cinématographique.


Et voilà ce qui, pour ma part, m’amène à conclure les choses ainsi.

En définitive, ce que j’ai surtout appris de mon expérience avec ce Telling Lies, ce n’est pas à quel point il existe finalement mille façons de faire du bon jeu vidéo, mais plutôt de constater qu’au sein de la multiplicité de genres, certains présentent quand même bien plus de contraintes que d’autres pour qu’on puisse espérer voir émerger un bon jeu vidéo…

…Or, concernant le FMV, force est de tout de même constater qu’il s’agit bien là d’un genre incroyablement exigeant et dont l’équilibre est tout aussi complexe que précaire.

Pour que ça marche, il faut non seulement que les mécaniques de jeu soient au top ; que la forme des vidéos soit elle aussi au top ; mais en plus de ça, il faut que les qualités des unes soient capables d’alimenter les qualités des autres.

Franchement, c’est un exercice plus qu’ardu, et j’aurais aimé vous dire que Telling Lies, même s’il ne réussit pas tout, présente néanmoins ce mérite d’offrir une expérience globalement satisfaisante qui sait s’appuyer sur son petit lot de bonnes idées.

Seulement, avec le FMV, ça n’a pas l’air de marcher comme ça, et mon expérience avec ce second opus de ce format réalisé par Sam Barlow me l’apprend fort amèrement.


Parce qu’au bout du compte – et si je prends bien la peine de faire convenablement le bilan – je suis prêt à lui en concéder un sacré petit paquet de qualités à ce Telling Lies.

Oui, l’idée est intéressante.

Oui, la manière d’amener la chose est efficace. C’est propre et appuyé par des acteurs compétents. Et même si je n’ai pas eu l’occasion de l’expérimenter personnellement, je peux pleinement entendre qu’il puisse exister dans ce jeu de véritables finesses et habilités en termes d’orchestration de jeu d’enquête…

Seulement voilà, le simple fait que l’histoire autour de laquelle se structure tout ce jeu soit un véritable empilement de caricatures, le tout enrobé dans un habillage formel totalement inadapté, conduit chez moi à ne pas croire un seul instant à tout ce théâtre mis en branle par l'ouvrage. Or, sans de suspension consentie d’incrédulité, le voyage ne peut s’opérer.

Ne reste qu’un artifice mal forgé d’un côté, et un joueur dubitatif et apathique de l’autre.


Donc oui – et à ma grande tristesse – Telling Lies est vraiment pour moi un jeu totalement inopérant, et cela du simple fait de sa balourdise narrative.

Mais d’un autre côté, ça ne veut pas dire pour autant qu’entre Sam Barlow et moi l’histoire est forcément finie.

Car, qui sait, pour peu que Her Story – ou le plus récent Immortality - aient su se montrer plus équilibrés, synthétiques et cohérents dans leur démarche que, peut-être, ils pourraient davantage me séduire pour leur génie mécanique.

Donc rien n’est encore joué. L’histoire n’est pas forcément terminée…

A vous donc de savoir revenir sur cette page quelques années plus tard – avec les bons mots-clefs – afin de savoir si, avec le temps, mon propos au sujet des productions du bon Sam saura se nuancer…

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le 6 avr. 2024

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