- 122H de partie
- Score équipement à 500
- Spécialité Sniper choisie
- World tiers 5 atteint et toutes les zones annexes nettoyées sauf les dark zones, les 2 raids "Cheval de fer" et l'aéroport


Dès le début, aprés la création de l'avatar, on est vite mis en situation avec une ambiance oppressante, soutenue par des thèmes musicaux bien sentis. Découvrir le Washington post-apo en ruine et rempli de végétation est le gros point fort du jeu, tant le terrain est riche en détail, fourmillant d'assets 3D modélisés avec un soucis du détail limite maniaque. Le schéma est répétitif vu qu'on va d'un point A au point B, faire des missions (principales ou annexes) pour en dévérouiller d'autres. On sera pris souvent dans une fusillade en cours de route pour rétablir l'ordre (otage à libérer, propagande à innihiler, camp de réfugiés à reprendre...) tandis que les missions sont une succession d'arènes, parfaitement taillées pour la fusillade gros calibre. J'ai torché le jeu (si on peut dire car on peut looter indéfiniment) entièrement en solo grâce à la tourelle et au drone, deux gadgets d'une efficacité redoutable. Certaines patrouilles alliées viendront vous prêter main forte, notamment dans les camps à reprendre. Une fois ma spécialisation sniper débloquée, j'ai pu profiter du TAC-50, le méga-fusil de précision aux dégâts considérables. Même les soldats aux uniformes blindés ne font pas long feu avec un engin pareil. Mais attention, les munitions étant limitées à 8, il faudra tirer avec parcimonie et être sûr de faire mouche. Sinon, on est bon pour relooter les bastos avec des tirs dans la tête. Pour ce qui est de l'armement, c'est l'autre gros point fort du jeu: une véritable orgie avec pistolet, fusil mitrailleur, d'assaut, à pompe... Difficile de faire le difficile justement. L'équipement casque, gilet pare-balles, gants et tout le tralala permettra de cogiter des builds pour gagner en puissance et devenir un véritable killer cauchemardesque pour les factions ennemies nommées Parias, True sons et autres Hyènes. La fameuse organisation militaire Black Tusk clotûre ce casting si mignon, avec des gadgets robotisés assez vicieux et très puissants. L'IA des ennemis est plutôt bonne, cherchant toujours à nous prendre par surprise. A certains endroits, il faudra s'accrocher car les ennemis ne nous laisse pas trop de temps de souffler. L'aprés end-game est énorme en contenu, vu toutes les spécialisations à monter.
Dans l'ensemble, une bonne surprise alors que j'en attendais pas grand-chose, surtout aprés la déception Breakpoint: ambiance et gameplay réussis, environnements magnifiques (le zoo!), équipements et cosmétiques à gogo et des musiques qui envoient (avec les thèmes Dock Wrecks ou Potomac dans les oreilles, on ressent presque le chargeur vide qui tombe et la chaleur du canon bouillonnant entre les mains). Et puis au moins, contrairement à un autre jeu post-apo fait récemment, on garde le même personnage tout au long du jeu (huhu!).

Article illustré sur le blog.

Flikvictor
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le 5 août 2020

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