1994

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Dès la scène d'intro, je suis déjà plié en deux. Ace Ventura est une ode à l'excentricité délirante de Jim Carrey, le monsieur pourrait être tout seul, le film serait toujours rigolo. Sans compter la présence de la trop rare Sean Young.

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Répliques cultes, gags toutes les minutes, pointures de la comédie, La cité de la peur est parmi ses comédies françaises qui resteront dans l'inconscience collectif. L'humour absurde à son plus haut niveau.

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La comédie anglaise culte par excellence. On s'y retrouve dans beaucoup de situations, c'est drôle on ne peut pas le nier mais cela a instauré pas mal de mauvais clichés - le final sous la pluie pour la déclaration ultime.

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Le filon est déjà épuisé, certes le cadre du parc d'attractions et le point de départ de l'intrigue sont plutôt bien pensés mais cela n'a plus vraiment de saveur. C'est un film policier avec sa dose tranquilisante d'humour et d'action.

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Un film jubilatoire pour son concept qui porte l'action à son paroxysme et qui porte très bien son titre car littéralement ça ne s'arrête jamais. Un symbole du cinéma d'action des années 90 où on arrivait à faire des bons méchants (Hopper) et des bons duos (Reeves et Bullock).

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Un Disney incontournable. 50 ans plus tôt, Bambi avait traumatisé avec la mort de la mère, ici c'est la mort du père qui va marqué ma génération. Au-delà des dessins magiques et de la jolie bande originale, c'est un Disney aux personnages assez inoubliables.

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A la fois hymne à la vie et petit défilé de l'Histoire de l'Amérique, Forrest Gump est une biographie complètement fictive mais humainement réelle. Beau, triste, mélancolique, accompli, vaste, une fable sublime à l'image de son interprète qui en a soufflé plus d'un.

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Un remake mené tambour battant, avec de l'humour à petite dose. Ça se détourne un peu au milieu quand on aborde le point conjugal mais ça revient vite après avec une grosse séquence finale spectaculaire à faire rougir les productions de genre d'aujourd'hui.

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Je ne sais pas combien de fois je l'ai regardé quand j'étais gosse, parfois quasiment tous les jours, car c'est tellement à se plier en deux. La danse de Sancho le cubain fait partie des plus gros fous rires de ma vie. C'est une comédie qu'on ne touchera pas.

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Madeleine Stowe est l'atout principal de ce thriller qui m'a quand même donné quelques frissons quand j'étais jeune. De toute évidence, il a tout de même un peu vieillit mais ça fait plutôt bien son travail sur 1h40.

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Un grand film sur l'amitié et étonnamment sur la liberté. Sur plus de 2 heures, l'intérêt est constant au sein de cette prison et autour de ses prisonniers, ponctué de beaux moments humains. Robbins et Freeman sont divins dans leurs interprétations.

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Une oeuvre stylisé qui n'a pas volé sa grande réputation. C'est tellement bien écrit que Pulp Fiction donne le sentiment d'être intemporel. Avec ses personnages haut en couleur, il y a des situations improbables qui renforcent son côté solennel. Chef-d'oeuvre.

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Le meilleur film de Luc Besson (pour moi), un film dont la construction est simple mais dont les personnages sont profonds. Entre Jean Reno, Natalie Portman et Gary Oldman, c'est peu dire qu'on est gâté. Le seul bon coup de Luc Besson.

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Si on fait abstraction des grosses valeurs américaines balancés entre deux fusillades, Stargate reste un film appréciable. Ce mélange de science-fiction à des tribus ancestrales fonctionne non sans mal, Emmerich étant plus doué à proposer de l'action bien carré.

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Aussi loin que je m'en souvienne, c'est sombre à souhait, ce sont les vampires bien avant qu'ils ne soient édulcoré par Twilight. Mais pas tant marquant que ça pour moi malgré la réunion des deux méga-stars qui aurait dû faire de ce film une perle rare.

Annotation :

Le Star Trek que j'aime le moins à ce jour. Le passage entre les deux générations est fait très maladroitement, ça arrive même à être kitsch (le combat final), en 1994 on pouvait éviter ça. L'histoire est bien mais trop étirée.

Annotation :

J'aime bien, en tout cas suffisamment pour pardonner toute l'intrigue autour des mafieux qui est d'une ringardise et d'une inutilité sans limite. C'est même niais mais j'arrive encore à rigoler devant certains passages (le coup du siège dans la voiture).