2018 - Films - Kelemvor. C'est parti pour un round 3 à recenser les films vus ou revus dans l'année avec un titre toujours aussi lapidaire histoire de vous épargner un énième titre long

Annotation :

(Revu)

Du grand Kathy Bates, un huit clos extraordinaire malgré quelques longueurs ici et là.

Annotation :

(Revu)

Je ne l'avais pas revu depuis l'enfance, je n'en avais gardé aucun souvenir. A la revoyure, ce n'est clairement pas un Disney que je trouve marquant, ni même un Disney qui me donne envie de le revoir. Il n'est pas désagréable, loin de là, mais il m'a bien fait trop penser à un melting-pot des productions précédentes. Sans génie, sans originalité.

Annotation :

(Revu)

+1. Pas vu depuis l'enfance non plus, et je constate que j'en avais un moins bon souvenir.

Annotation :

Cela commence pas trop mal malgré le manque flagrant de charisme de l'acteur principal, puis le film commet la même erreur que l'adaptation japonaise : penser qu'il est possible de caser en 1H41 treize mangas construits sur un savant mélange entre film noir, science-fiction et enquête policière. Le mode accéléré couplé à une écriture faillible (en particulier le personnage de Mia) enterrent définitivement le projet dès la quinzième minute. On zappe.

Annotation :

(Revu)

Sympathique mais loin d'être inoubliable. Vaut pour la performance d'Edward Norton et la dernière apparition de Marlon Brando sur grand écran.

Annotation :

Moins pire que le quatrième opus, mais toujours en deçà du premier volet et accessoirement du second.

Annotation :

Se regarde sans trop de problème même si on a vu des histoires sur Batman nettement plus inspirées.

Annotation :

Un bon thriller, bien mené par un type qui sait tenir une caméra et diriger ses acteurs. En 2017, c'est à la limite de l'inédit.

Annotation :

Je n'aime pas Harry Potter. J'ai aimé Les Animaux fantastiques. C'est dire si je n'aime vraiment pas Harry Potter.

Annotation :

(Revu)

Je confirme ce que j'ai dit plus haut : je n'aime pas Harry Potter.

Annotation :

Bien écrit, bien réalisé, prenant de bout en bout malgré la longueur du métrage. Las, Le Loup de Wall Street est passé par là avant et il a bien plus marqué les esprits.

Annotation :

Une bonne surprise tant je m'attendais à un énorme navet. Mais l'approche originale du script m'a happé. Dommage que certains fonds verts transpirent le travail dégueulasse et que la seconde moitié perde en intérêt.

Annotation :

(Revu)

Revu cette fois en BRD, et que dire sinon qu'autant le script simplifie beaucoup trop l'oeuvre originale, autant le visuel est magnifique et les SFX de grande qualité.

Annotation :

(Revu)

La seconde vision est meilleure que la première. Cela reste en deçà de Prometheus et plus encore des deux premiers Alien, mais c'est loin d'être l'immondice que l'on laisse entendre ici et là. L'approche de la saga à travers David est vraiment intéressante, et j'ai hâte de voir le troisième opus. En espérant en revanche que Scott apprenne entre temps comment on arrive à faire peur, vu qu'il a l'air de l'avoir oublié depuis le premier chapitre.

Annotation :

(Revu)

La première fois que je l'ai vu au cinéma, j'étais un peu déçu car le film ne ressemblait pas à un film de l'univers X-Men. Maintenant que je l'ai revu en BRD, j'apprécie cette différence et ne le regarde plus comme un film X-Men. Pour l'apprécier, je vous conseille d'en faire autant.

Annotation :

(Revu)

Le genre de film qui joue sur le larmoyant et qui n'a pourtant pas grand chose à raconter, mais entre la musique divine (façon Soldats Inconnus d'Ubisoft) et le fait que cela soit une histoire vraie, la réalisation de Hallström fait son effet.

Annotation :

(Revu)
Note : +1

Une meilleure impression laissée par le second visionnage. D'où le +1.

Annotation :

Je n'ai pas trouvé le film extraordinaire. Voire même assez plat. L'absence de magnétisme de Joel Edgerton n'aide pas, et le scénario, certes tirée d'une histoire vraie, est assez plat. Reste un certain savoir-faire de Jeff Nichols que j'apprécie toujours autant.

Annotation :

Gros kif de retrouver l'animation de la série animée du début des années 90 dans ce téléfilm parfois maladroit (notamment l'inclusion de passages en 3D ayant mal vieillis) mais bien mené.

Annotation :

Le meilleur film vu depuis 2015. Dialogue, scénario, acteurs, mise en scène... Tout respire le bonheur. Un grand film indé qui va trouver sa place dans ma collection BRD.

Annotation :

(Revu)

Tombé dessus par hasard sur je ne sais plus quelle chaîne. Paramount Channel je crois. J'aurai mieux fait de recoudre mes chaussettes neuves : j'aurai fait quelque chose de plus intelligent de mon temps.

Annotation :

Se regarde sans peine, mais loin d'être le Fuqua le plus réussi de sa carrière. Voire un poil caricatural quand on y pense.

Annotation :

(Revu)

Je ne l'avais pas vu depuis mon adolescence. J'en avais gardé un souvenir plutôt intact. Bien sûr, il a vieilli, et l'humour ne fait pas toujours mouche. Mais penser à la trajectoire effectuée entre Evil Dead et Evil Dead 3 permet de rappeler à quel point ce film a été une véritable (bonne) surprise en son temps.

Annotation :

(Revu)

L'un des meilleurs Mendes. Je ne l'avais pas revu depuis sa sortie, et j'ai pris un très grand plaisir à le revoir. Hélas, le manque de surprises et les références du genre lui étant supérieur ne manquant pas, je comprends que ce film ne soit pas dans le Top 10 de tous.

Annotation :

(Revu)

Pas vu en entier pour le moment, coupé en plein milieu. Un avis sera écrit quand l'affront sera rectifié. Pour ce que j'en ai vu : meilleur que dans mon souvenir.

Annotation :

Pas vu en entier pour le moment, coupé en plein milieu. Un avis sera écrit quand l'affront sera rectifié.

Annotation :

Pas vu en entier pour le moment, coupé en plein milieu. Un avis sera écrit quand l'affront sera rectifié.

Annotation :

Sans conteste le moins réussi de la trilogie sur l'héroïsme, mais pas raté pour autant. De bons moments et quelques fulgurances. Simplement des questions soulevées à juste titre mais inexplorées à tort. Et lâchez la grappe au classicisme quand on parle de Clint, parce que pour le coup, qu'on l'aime pas pas, ce 15H17 est furieusement plus moderne que ses oeuvres passées tout en portant la patte du réal. Il l'avait tenté avec Au-delà, cette fois il a réussi. Et de cette réussite découle l'originalité.

Annotation :

(Revu)

Tout est dans la critique.

Annotation :

(Revu)

Mof.