Cover Les pavillons en alerte n°6 : Field recordings (liste musicale participative)

Les pavillons en alerte n°6 : Field recordings (liste musicale participative)

Liste de

7 morceaux

créee il y a plus de 5 ans · modifiée il y a plus de 5 ans

[untitled]

[untitled]

0 min 47 s.

Morceau de Slavek Kwi et Artificial Memory Trace

Annotation :

Des sons enregistrés dans la forêt amazonienne.

https://www.youtube.com/watch?v=pCRJ5HXFL40

(PiotrAakoun)

Beauty

Beauty

16 min.

Morceau de Alan Lamb

PiotrAakoun a mis 10/10.

Annotation :

Cette piste, comme celle qui l'accompagne dans l'album est une longue plage sonore de drone construite autours du son du vent résonnant sur des câbles de ligne téléphonique. Alan Lamb a utilisé 20h de matériel sonore pour composer ces deux morceaux qu'il à enregistré sur 10 jours en utilisant plusieurs microphones de contact. Les sons y sont retravaillés et arrangés entre eux pour donner un résultat calme, reposant et pur. Je trouve qu'il y a quelque chose de particulièrement touchant dans ce morceau.

https://www.youtube.com/watch?v=HKLc5VoOIXU

(Æterna)

Unfamiliar Wind (Leeks Hills)
7.6

Unfamiliar Wind (Leeks Hills) (1982)

Unfamiliar Wind (Leeks Hills)

05 min. Sortie : 1982 (France). Electro/techno

Morceau de Brian Eno

PiotrAakoun a mis 10/10.

Annotation :

Pour ce qui est sans doute le plus sombre des disques de sa saga Ambient (et précurseur apparemment de ce qu'on a appelé la "dark-ambient"), Eno choisit un disque constitué de multiples petits sons qui vont trouer d'importantes nappes synthétiques, elles-mêmes baissées dans leur volume sonore en production.

Il s'agit d'un disque important qui contrairement aux précédents, délivre encore plus de petits détails sonores à même de créer la texture finale. On pouvait monter ou baisser le son de Music for Airports (Ambiant 1), le résultat était volontairement le même puisque ici Brian Peter George St. John le Baptiste de la Salle Eno choisissait volontairement de créer une musique synthétique à même de supporter les divers bruits d'une salle d'attente d'un aéroport dans l'idée. Et chaque volume de cette riche saga (qui mériterait un livre chez l'éditeur Le mot et le Reste) prend une coloration très étudiée en fonction de ce pourquoi elle a été crée.

Ici, Eno procède à la manière d'un peintre. Chaque son enregistré en pleine nature (notamment dans ce titre choisi) va être la touche du pinceau, ou plutôt le rehaut à l'acrylique ou à l'huile d'un fond peint de nappes à même de faire émerger lentement le tableau fini. Comme toute toile, on peut admirer à plusieurs niveaux de lectures, enfin d'écoute : soit de près, soit d'une vue d'ensemble, soit en y rentrant progressivement. C'est là une nouvelle fois toute la richesse de la musique de ce génial artiste.

https://www.youtube.com/watch?v=u4rrX4Q95b0

(Anorya)

Midday

Midday

15 min.

Morceau de Altus

Annotation :

En réalité, ce morceau ne pourrait avoir l'étiquette "field recording" que pour les deux premières minutes. Il s'agit d'une découverte tant hasardeuse que récente, mais je pense qu'elle mérite sa place ici.

https://www.youtube.com/watch?v=XBqMJ1BjxE8&t=900s

(Alexandre2xV)

3

3

1 min.

Morceau de Francisco López

Annotation :

"Buildings" fait partie de la (longue) série d'albums à plage unique de Francisco Lopez, il dure 70 minutes. Bien sûr, on distingue plusieurs "moments" tout le long de ces compositions, parfois même séparés par de longs silences qui en réalité n'en sont pas complètement, il suffit de voir les Vu-mètres de l'ampli s'affoler et de sentir sa tête sur le point d'exploser pour s'en rendre compte (surtout quand on écoute au casque), mais ils ne sont pas "plagés".

https://www.youtube.com/watch?v=k08m9GJdz1k

(Pat_Monkey)

Et la mer

Et la mer

Morceau de Michel Legrand

Annotation :

pour le field recording, c'est facile. une amie à moi en fait pas mal. c'est une partie de son métier.

en voilà un très cool enregistré lors d'une traversée de l'atlantique en bateau et quelques bouts de train en Europe.

https://soundcloud.com/claireveysset/et-la-mer

(-IgoR-)

Displaced : Replaced: Fog, Light Wind

Displaced : Replaced: Fog, Light Wind (2002)

Displaced:Replaced - Fog, Light Wind

02 min. Sortie : 2002 (France).

Album version de Natasha Barrett

Annotation :

Dans cette pièce que l’on pourrait qualifier « d’écologie sonore », Natasha Barret joue avec de nombreux sons de l’environnement qui nous propulsent directement en Norvège…
« On appelle «neige rouge» une neige teintée par la croissance d’algues ou de diatomées d’une couleur pouvant aller du rose au rouge sanguin.
C’est durant l’hiver que je me suis établie en Norvège, là où le climat contraste dramatiquement avec celui de l’Angleterre, ma terre natale. Laissant derrière moi tout ce que je connaissais, je devins de plus en plus consciente de l’environnement: les variations de la neige tourbillonnant dans le vent; les détails complexes de la végétation rehaussés par les formations cristallines; la douceur du soleil et les paysages éclatants; des traces de pas suggérant leur propre scénario… et la couleur latente.
Microclimate II: Red Snow est la seconde d’une série de pièces intitulée Microclimate dans laquelle chaque morceau est structurellement équilibré, non pas dans un sens de symétrie, mais à travers la ‘vie’ d’une articulation d’où résulte une réaction ultérieure faisant office de contrepoids. J’ai tenté de concentrer dans le ‘microclimat’ de l’œuvre la beauté et la violence d’un paysage naturel en formant une organisation spatiale qui reflète, sous une forme acoustique, le monde naturel à l’origine de l’inspiration. »
Natasha Barret

https://www.youtube.com/watch?v=1glXzAMjsw8&list=WL&t=441s&index=251

(Dragko)

PiotrAakoun

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