ANTICONFORMISME

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Un nouvel instituteur arrive avec des méthodes novatrices dans un petit village du Sud de la France.
Film découvert grâce à Pierre Amo.

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Osan et Mohei font le choix de suivre leur cœur plutôt que d'obéir aux lois hypocrites du Japon féodal. Ils ont choisi de vivre en harmonie avec leur être profond et quand ils sont conduits au supplice, ils rayonnent de joie car ce sont des êtres qui sont devenus profondément libres.

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Un cowboy décalé avec son époque, épris d’indépendance, de liberté et n’acceptant pas le monde moderne et ses lois.

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Conversion de bistrot sur Albert : « Ce côté renfermé, cette espèce de prétention, de ne pas faire comme tout le monde ! Un genre quoi !
- Il l’a toujours eu le genre ! N’a-t-il pas été faire son service militaire en Chine ! Je vous demande un peu !
- c’est comme la prétention qu’il a toujours eue dans ses lectures ! Vous croyez peut-être qu’il lit le journal comme tout le monde ! Ha tiens ! Pensez-vous ! Des bouquins plein une malle… »

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Deux hippies épris de liberté confrontés au rejet de l'Amérique bien pensante et conservatrice.

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Un ancien militaire qui choisit de vivre dans la nature sauvage pour fuir la violence humaine

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L'histoire d'amour entre Eric et Olga qui s'affranchissent des conventions et vivent leur passion dans le climat libertaire des années 70.

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Miloš Forman est particulièrement concerné par le personnage de Randall Patrick McMurphy. En effet, on peut comparer clairement l'hôpital psychiatrique et ses résidents avec la Tchécoslovaquie, le pays d'origine du réalisateur, qu'il a fui au moment de la fin du Printemps de Prague. McMurphy est alors symboliquement le résistant au communisme que Miloš Forman était avec ses amis.

Autre exemple, l'infirmière Mildred Ratched peut ainsi être comparée au pouvoir communiste que Forman a connu. Elle représente le contrôle de l'État sur les libertés, les individus, la création. Le petit groupe de malades, qui accepte clairement sa condition sans résister et sans s'enfuir, représente la population fatiguée et misérable que le réalisateur a laissée derrière lui quand il a quitté son pays.
Les deux séquences mythiques où McMurphy tente de desceller un bloc de marbre en disant « j'ai au moins essayé » et celle où il mime le commentaire d'un match de baseball inexistant devant les yeux outrés de l'infirmière sont, à ce titre, de parfaits exemples de cette résistance au pouvoir communiste dont Forman lui-même a fait preuve.

Mais le film va au-delà de la thématique de la répression de l’autoritarisme, communiste ou non. Miloš Forman interroge : « À quel moment un individu qui met en cause l’autorité cesse-t-il d’être un héros et devient-il un fou ? Et vice versa, ou les deux à la fois ? ».

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Un jeune homme dont tout l'intérêt se porte sur les oiseaux et qui s'identifie avec eux au point de se couper de tout lorsqu'il rentre de la guerre du Viet Nam et d'être interné

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Portrait d'une femme qui prend partie pour les africains à rebours de l'esprit colonialiste de l'époque; et d'un homme épris de liberté et foncièrement indépendant.

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Parcours d'un homme mortifère qui cherche à échapper au consumérisme mais qui se durcit et sombre dans la violence

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Evêque conservateur, proche de l'oligarchie salvadorienne qui suite à l'assassinat d'un prêtre ami, progressiste, va ouvrir les yeux sur la réalité de la pauvreté et dénoncer la torture, l'injustice sociale, les assassinats jusqu'à ce qu'il soit lui-même assassiné.

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Un professeur qui invite ses étudiants à bousculer l'ordre établi ...

"Afin d'illustrer le péril du conformisme et la difficulté de préserver ses convictions, John Keating cite à ses élèves des vers du poème The Road Not Taken de Robert Frost : « Deux routes s'offraient à moi, et là j'ai suivi celle où on n'allait pas, et j'ai compris toute la différence »."

Lors de son premier cours, John Keating fredonne en sifflant le thème principal de l'Ouverture 1812 de Tchaïkovsky, en entrant dans la salle de cours.
Des passages de Walden ou la vie dans les bois d'Henry David Thoreau sont cités à l'ouverture de chaque réunion secrète des membres du Cercle des poètes disparus (Dead Poets Society), comme la célèbre citation « sucer toute la moelle secrète de la vie », notamment dans la scène où il est annoncé que le secret de la vie est de saisir le jour (carpe diem).

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The Fisher King aurait pu être une production Disney, car la compagnie en détenait les droits. Mais le trouvant un peu trop sombre, elle l'avait mis de côté. Jusqu'à ce que Debra Hill et Lynda Obst de la société Colombia Tristar reçoivent le script. Elles ont tout de suite succombé à cette histoire poétique et loufoque de la rédemption de ces deux hommes blessés. Jack Lucas est un animateur de radio dépressif et cynique interprété par Jeff Bridges. Il est indirectement responsable de la mort de la femme de Parry, un ancien professeur de lettre joué par Robin Williams. Ce dernier, devenu clochard depuis, vit dans un imaginaire médiéval au beau milieu de New York.

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Un jeune homme défie les codes rigides de la Fédération de danse en voulant imposer ses propres pas

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Participation de jamaïcains aux jeux olympiques de Séoul alors que tout est contre eux

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Sous la forme d'un conte philosophique, le film aborde les thèmes aussi divers que l'anticonformisme, l'écologisme, la décroissance, le féminisme, l'humanisme, le pacifisme, les valeurs sociales ou encore le rejet des technologies nuisibles, par le biais de dialogues ou de situations humoristiques. Les références à la spiritualité New Age sont très appuyées (télépathie, magnétisme, venue sur terre pour aider les humains à s'élever et parler vrai, philosophie de la nature, etc.).

Des scènes figurent la prestation de la troupe comique des violonistes du Quatuor, des « concerts de silence », la transformation du sport de compétition, le football, en un ballet.

À sa sortie, le film fut vivement critiqué par Télérama comme étant une litanie laborieuse de redites et lieux communs sur notre misérable existence.

Depuis, le film a connu une importante deuxième vie sur internet où il fut sous-titré en de nombreuses langues et vu près de 3,5 millions de fois. Ce contraste entre l'accueil froid lors de sa sortie en 1996 et son succès au début du XXIe siècle fit dire à Coline Serreau en 2009 que le film « était trop en avance » sur son temps.

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Une communauté d'occidentaux sur une île de Thaïlande isolée de tout

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Une personne autiste complètement décalée avec les gens et la société. 1° volet de la trilogie d'Elling

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A l'origine, le réalisateur ne pensait pas forcément que le héros de son film serait un nain : " Je cherchais simplement à créer un personnage cherchant à s'isoler. Puis un soir, j'étais dans un bar avec Peter et j'ai été surpris par l'attention que les gens lui portent à cause de sa petite taille. J'ai également remarqué cette facilité qu'il a de les ignorer dès qu'il en a envie. On a alors commencé à en parler et cela nous a menés au personnage de Fin, un maître de la déconnexion"

Pour raconter cette histoire, Thomas McCarthy s'est servi de son expérience personnelle : Je suis habitué à attirer les regards, à être montré du doigt, et ça peut vraiment vous donner envie de vous renfermer sur vous-même. On en vient à s'interroger sur les intentions des gens et on devient de moins en moins confiant (...) Quand j'étais adolescent, j'étais rongé par la colère. Je n'étais pas aussi réservé que Fin, j'étais sans arrêt en train de me battre comme un enragé. Et puis, j'en ai eu assez, ça m'épuisait d'être comme ça, et j'ai compris que c'était malsain de se couper des autres."

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Une personne autiste complètement décalée avec les gens et la société. 2e volet de la trilogie d'Elling

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Un homme brisé physiquement par un accident, qui vit sans attache, mais animé d'une grande force intérieure.

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Une personne autiste complètement décalée avec les gens et la société. Dernier volet de la trilogie d'Eling

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Pour Richard LaGravenese, "Ecrire pour exister est sans doute le premier film où l'on voit des jeunes initier leur prof aux réalités du monde extérieur, et cette prof accueillir et respecter leur parole au point de s'améliorer. Erin ne s'est jamais sentie supérieure à ses élèves. Elle a apprécié la brutale honnêteté de leurs journaux, elle a compris d'où ils venaient et les a aidés à devenir les artisans de leur propre vie. On ne peut qu'éprouver un sincère respect pour ces jeunes. Il m'a paru important que cela transparaisse dans le film."

Et celle-ci de conclure : "Une des idées que je tenais à illustrer dans le film est que chacun de nous peut contribuer à faire avancer les choses. L'héroïsme d'Erin Gruwell est à la portée du premier venu. Il a consisté à dominer sa peur, à ne pas tourner le dos aux élèves, à sentir qu'on pouvait les aider. Erin leur a surtout fourni les outils qui leur ont permis de se transcender."

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Christopher McCandless a réellement vécu. Son histoire a même inspiré le livre Voyage au bout de la solitude écrit par le journaliste américain Jon Krakauer, et sur lequel Sean Penn s'est basé pour réaliser Into The Wild. Dans le livre, Krakauer décrit la personalité complexe du jeune aventurier, à la fois sociable et solitaire. Après avoir obtenu son diplôme universitaire en 1990, Christopher McCandless quitte sa famille et sa région pour une gigantesque aventure solitaire. McCandless sillone les régions les plus sauvages de l'Amérique mais son périple s'achève de manière dramatique. Christopher McCandless meurt de malnutrition en Alaska. Son corps est retrouvé le 6 septembre 1992.

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Un couple, torturé par le vide existentiel, qui cherche à sortir des conditionnements sociaux sans y parvenir et qui traverse espoirs et tensions

Concernant son roman, qui a inspiré Les Noces rebelles, Richard Yates déclarait : "Bon nombre de gens ont considéré ce livre comme un pamphlet contre la banlieue, ce qui m'a beaucoup déçu. Je l'avais voulu davantage comme une charge contre cette soif générale de conformisme qui s'est emparée de tout le pays, contre ce désir de coller aveuglément et désespérément à la sécurité à tout prix... Je voulais suggérer que la route de la révolution de 1776 était devenue, dans les années 50, quelque chose qui ressemblait beaucoup à une impasse."

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Un hommage aux radios pirates qui émettaient depuis des bateaux et de plates-formes maritimes ancrées juste au-delà des eaux territoriales britanniques, à la fin des années 60. Ces stations de radio firent découvrir à un auditoire aussi nombreux qu'enthousiaste des groupes comme les Beatles, les Rolling Stones et les Kinks, et des chanteurs et musiciens tels que Jimmy Hendrix, Dusty Springfield, Janis Joplin et Aretha Franklin. Le gouvernement britannique fit de son mieux pour empêcher ces transmissions illégales qui arrivaient depuis la haute mer jusque dans les foyers de millions de Britanniques qui adoraient ce qu'ils entendaient.

En lisant le scénario, Philip Seymour Hoffman a été impressionné par la manière dont Richard Curtis a fait du Comte un symbole de l'esprit de rébellion de l'époque. Il explique : "Mon personnage est de ces hommes qui considèrent comme leur foyer l'endroit où ils sont libres de faire ce qu'ils veulent. Pour lui, tout ce qui compte, c'est d'être DJ. Il pourrait l'être n'importe où ailleurs que sur ce bateau. Le Comte permet à des millions de personnes d'écouter les chansons qui le font vibrer. Il est celui par qui la musique passe pour atteindre les gens, et il considère le rock comme un véritable remède."