Cover Ceci n'est pas la liste de mes lectures 2017 [avec avis]

Ceci n'est pas la liste de mes lectures 2017 [avec avis]

J'ai pas pu résister...

Bilan 2017 :
Meilleur livre : Pour seul cortège
Coup de cœur : Une prière pour Owen et Slumberlanb
Livre avec le style le plus intéressant : Slumberland et Pour seul cortège
Livre que j'ai le moins aimé (hors livre lu pour les ...

Afficher plus

Liste de

19 livres

créee il y a plus de 7 ans · modifiée il y a environ 5 ans

Une prière pour Owen
8

Une prière pour Owen (1989)

A prayer for Owen Meany

Sortie : 1 mai 1989 (France). Roman

livre de John Irving

Matyyy a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

"« Owen n'a pas changé, toujours aussi bizarre ! Il n'y en a pas deux comme lui, quel type ! »"
Et c'est exactement ça. C'est rare de tomber sur un personnage aussi hors-norme qu'Owen.
L'histoire commence doucement, on ne sait pas bien où le narrateur veut en venir. Pourquoi nous parler d'Owen ? Certes, c'est un personnage atypique mais la question est légitime à partir du moment où Johnny, le narrateur, nous parle d'Owen pendant 570 pages. Et puis à un moment on a un déclic, on comprend et on veut en savoir plus... Owen est incroyable, pas besoin de le dire, on le voit à travers ses actions, sa façon de parler, sa façon de croire en Dieu. Dieu qui est sans cesse présent dans ce roman. C'est un personnage complexe et plein de paradoxes, de contradictions. Et, on ne peut pas dire que ça le rend humain, qu'on peut s'identifier à lui !
Il n'est aussi pas seulement question d'Owen mais aussi de toute une époque et notamment de la guerre du Vietnam qui fait place à une réelle réflexion politique.
Et puis il y a cette fin qui nous fait comprendre tout l'enjeu de cette histoire, toute son ampleur, tout son intérêt, toute son immensité. C'est plus qu'une fin intelligente, plus qu'une fin magnifique, c'est LA fin qu'il fallait pour ce roman.
Des romans comme ça, c'est certain, y en a pas deux.

"Il pratiquait l'ironie comme il fumait : un paquet par jour."

"[...] la télévision, sans vergogne, présente la mort de façon si sentimentale et si romantique que les vivants ont l'impression, rien qu'en restant en vie, d'avoir manqué quelque chose !"

Un dernier verre avant la guerre
7.7

Un dernier verre avant la guerre (1994)

A Drink Before The War

Sortie : 6 janvier 1999 (France). Roman

livre de Dennis Lehane

Matyyy a mis 5/10.

Annotation :

Un dernier verre avant la guerre c'est une enquête prévisible mais aussi un roman très sombre.
L'histoire avait tout pour me plaire je n'ai pas du tout accroché.
Les thèmes principaux du roman (racisme, relations père-fils, ...) sont intéressants mais aurait pu avoir encore plus d'impact. Il m'a manqué quelque chose qui m'aurait permis de m'attacher à Patrick Kenzie et Angela Gennaro et donc aurait donné plus d'importance à leur histoire intime.
Je n'ai ressenti aucune tension parce que je n'ai pas trouvé d'intérêt à l'enquête ni aux enjeux. En fait je n'ai pas trouvé l'histoire assez dense.
J'aurai aimé que l'enquête soit plus développée, qu'il y ait plus d'enjeux politiques et surtout plus de surprises parce que finalement rien ne m'a surpris.
Bref, je suis passée à côté.

Le Livre de l'Homme
8.2

Le Livre de l'Homme (1995)

The Book of Man

Sortie : 21 mars 2016 (France). Roman

livre de Barry Graham

Matyyy a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Un livre à la fois drôle et triste dans lequel on suit le cheminement intérieur de Kevin. Ce dernier revient dans sa ville natale après des années d'absence et se remémore son passé. Il nous parle de Mike, mort du sida et pour lequel il est revenu à Glasgow, il nous parle d'Hélène, il nous parle de sexe, de drogue, de chômage, de misère, de maladie, de folie. Ça nous touche, on peut se retrouver dans certaines situations, dans certains dialogues, dans certaines des angoisse de Kevin, dans l'amitié qu'il lie avec Mike, dans l'amour qu'il a pour Helene. On peut s'identifier comme on peut ne pas s'identifier à tout cela.
La première partie du roman m'a touché mais ça a moins été le cas de la seconde moitié. Ça finit trop vite et on aimerait en connaître d'avantage...

L'Âge d'homme
6.8

L'Âge d'homme (1939)

Sortie : 1939 (France). Autobiographie & mémoires, Récit

livre de Michel Leiris

Matyyy a mis 7/10.

Annotation :

J'ai abordé L'âge d'homme avec un a priori plutôt négatif parce que c'est rare qu'un roman autobiographique me plaise. J'ai eu du mal à le commencer bien que le style de Leiris m'ait tout de suite plu. Pour moi c'est un livre qui s'éloigne du genre autobiographique banal car l'auteur ne raconte pas sa vie de façon linéaire. Certains passages sont très beaux et très justes. C'est une belle autobiographie originale par son traitement et qui ne ressemble étrangement pas à une autobiographie.
Bref : une agréable surprise.

"J'ai toujours choisi des masques qui n'allaient pas à la sale gueule du petit-bourgeois que je suis et je n'ai copié mes héros que dans ce qu'ils ont de plus facile à imiter.
Jamais je ne me pendrai, ni m'empoisonnerai, ni me ferai tuer en duel."

Le Vagabond des étoiles
8

Le Vagabond des étoiles (1915)

The Star Rover

Sortie : 1925 (France). Roman

livre de Jack London

Matyyy a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Le récit que nous offre le narrateur est extrêmement touchant et le roman s'avère poétique. Pourtant les grandes idées du livre (notamment celle que l'esprit est éternel) sont sans cesse répétées ce qui devient lassant. Les moments où le narrateur vit ses vies antérieures paraissent longs car ce qui nous intéresse le plus est sa vie en prison.
Cela dit ce roman est magnifiquement écrit et nous offre une réflexion intéressante sur la vie, la prison, la peine de mort, etc. Et puis la fin nous prend aux tripes.
Un roman d'une grande sincérité. Je regrette juste quelques longueurs et le fait que l'histoire tourne un peu en rond parfois.

"L'esprit est la réalité qui continue, et moi qui suis esprit, je dure."

"Mon être, et celui de tous les autres hommes comme le mien, est l'aboutissement d'autres êtres. Je n'ai pas commencé à exister lorsque je suis né, ni même quand je fus conçu. J'ai été formé à travers des myriades de siècles."

Tandis que j'agonise
7.9

Tandis que j'agonise (1930)

As I Lay Dying

Sortie : 1934 (France). Roman

livre de William Faulkner

Matyyy a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Je serais tentée de vous dire que j'ai fini de lire Tandis que j'agonise mais personne ne peut dire "J'ai fini de lire Tandis que j'agonise" après une seule lecture. Ce roman a une narration riche car chaque chapitre est le point de vue et les pensées d'un personnage différent, ce qui fait qu'on passe sûrement à côté de certains éléments. Et puis on est tout de suite tenté de relire Tandis que j'agonise pour le style de Faulkner, pour la poésie, l'intelligence et la puissance qui se dégage de chaque page, pour les personnages.

"Je ne sais pas ce que je suis. Je ne sais pas si je suis ou non. Jewel sait qu'il est, parce qu'il ne sait pas qu'il ne sait pas s'il est ou non. Il ne peut pas faire le vide en lui-même pour pouvoir dormir, parce qu'il n'est pas ce qu'il est et qu'il est ce qu'il n'est pas."

"Il paraît que ma mère est morte. Je voudrais bien avoir le temps de la laisser mourir. Je voudrais avoir le temps de le vouloir. C'est parce que dans la terre sauvage et violée trop tôt trop tôt trop tôt. Ce n'est pas que je voudrais pas, que je ne peux pas, mais c'est trop tôt trop tôt trop tôt."

"Des fois, je ne sais pas trop si on a le droit de dire qu'un homme est fou ou non. Des fois, je crois qu'il n'y a personne de complètement fou et personne de complètement sain tant que la majorité n'a pas décidé dans un sens ou dans l'autre. C'est pas tant la façon dont un homme agit que la façon dont la majorité le juge quand il agit ainsi."

Pour seul cortège
7.5

Pour seul cortège (2012)

Sortie : 22 août 2012. Roman

livre de Laurent Gaudé

Matyyy a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

"Pour seul cortège" est un poème géant. Plusieurs voix se croisent avec pour centre Alexandre le Grand. Alexandre le Grand — qui n'est nommé que par son prénom Alexandre durant tout le roman. Comme si c'était n'importe qui. Pourtant Alexandre est un Empire à lui seul… Plusieurs voix se croisent dans cette épopée poétique pour finalement ne faire qu'une (regroupée dans un seul paragraphe, interrompue par un seul point). Une seule voix qui élève Alexandre au rang de divinité et de légende éternelle. Un livre magnifique.

"Pourquoi existe-t-il toujours une raison pour me traîner à nouveau dans le tumulte de l'histoire où aujourd'hui comme hier, je le sais, je ne serai que giflée ?…"

"C'est alors que les femmes entonnent leurs pleurs. Les Grecques et les Macédoniennes d'abord, puis les autres, mêlant toutes les langues et les mille façons de pleurer, hululant, ou se griffant la peau et c'est comme si la terre entière, avec toutes ses voix, se mettait à gémir."

"Elle les quitte comme une reine qui prend congé du monde et emmène avec elle le vent et les couleurs du ciel."

L'Importance d'être Constant
7.8

L'Importance d'être Constant (1895)

The Importance of Being Earnest

Sortie : 14 février 1895. Théâtre

livre de Oscar Wilde

Matyyy a mis 7/10.

Annotation :

Une pièce de théâtre drôle et absurde, abordant plusieurs sujets toujours de façon intelligente. Tout est vraiment bien vu.
SPOILER : je regrette juste le happy end qui sonne carrément faux.

Lolita
7.9

Lolita (1955)

Sortie : 1959 (France). Roman

livre de Vladimir Nabokov

Matyyy a mis 6/10.

Annotation :

"Lolita, lumière de ma vie, feu de mes reins. Mon péché, mon âme. Lo-lii-ta : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais pour taper, à trois, contre les dents. Lo. Lii. Ta.
Le matin, elle était Lo, simplement Lo, avec son mètre quarante-six et son unique chaussette. Elle était Lola en pantalon. Elle était Dolly à l'école. Elle était Dolores sur les pointillés. Mais dans mes bras, elle était toujours Lolita."
Les premières lignes de ce roman sont magnifiquement écrites. Elles sont simples, elles sont belles et présagent le chef-d’œuvre attendu.

Lolita, c'est un livre dérangeant, provocant et que j'ai trouvé long à partir du moment où Humbert Humbert et Lolita commencent leur voyage. En fait je me suis pas mal ennuyée. Ajouté à ça le fait que le personnage de Humbert Humbert m'a vite dégouté et que malgré cela il m'a été impossible de m'attacher à Lolita, j'ai dû finir le livre en le lisant en diagonal.

J'ai un peu honte de ne pas avoir su apprécier ce livre comme il se doit. Le fait qu'il soit extrêmement bien écrit m'a permis de le finir (et participe au fait qu'il restera dans ma mémoire) mais sans cela j'aurai abandonné ma lecture je pense.

Aurélia
7.6

Aurélia (1855)

Sortie : 1855 (France). Récit

livre de Gérard de Nerval

Matyyy a mis 7/10.

Annotation :

Aurélia, c'est magnifique tant c'est bien écrit et poétique... On est vraiment transporté dans le monde complètement fou dans lequel Nerval nous emmène et on comprend pourquoi Nerval se nommait lui-même le "rêveur en prose".
En revanche je n'ai pas du tout accroché à Pandora que j'ai trouvé insipide surtout quand on la compare à Aurélia.

Les Filles du feu
7.6

Les Filles du feu (1854)

Sortie : 1854 (France). Roman, Recueil de nouvelles

livre de Gérard de Nerval

Annotation :

Je trouve que c'est un recueil assez inégal. J'ai beaucoup aimé la nouvelle "Sylvie" mais sinon je n'ai pas vraiment trouvé d'intérêt aux autres qui ne m'ont pas beaucoup touché.
Cela dit, les sonnets qui constituent Les Chimères sont superbes.

Slumberland
7.3

Slumberland

Slumberland

Sortie : 3 septembre 2009 (France). Roman

livre de Paul Beatty

Matyyy a mis 9/10.

Annotation :

L'écriture de Paul Beatty ne se lit pas, elle se ressent. On vit chaque phrase rythmée à la perfection, on rit de chaque jeu de mots parfaitement bien placé. Slumberland comporte énormément de références à la musique mais aussi à l'Histoire puisque le récit se déroule pendant la guerre froide et à travers ça on sent toute l'intelligence d'un auteur doté d'un talent fou pour raconter des histoires et notamment pour parler du racisme. Slumberland c'est de la musique mais c'est aussi une dénonciation envers le racisme. Tout est tellement bien dit et bien montré. Ce livre est incroyable de sincérité, de poésie...

"Je n'ai jamais vu La Joconde, et d'après ce que j'ai entendu dire, c'est très surestimé."

"Au fil du temps, le bavardage avec le vendeur de journaux passa de « Ça vous plaît, l'Allemagne ? Vous avez l'intention de rester ? » à de subtiles remarques fleurant bon le putain-casse-toi-de-mon-pays-Négro en forme de : « Ouahou, incroyable, déjà trois mois que vous êtes ici ! Quand est-ce que vous retournez en Amérique ? »"

" -... Depuis lors, j'ai essayé d'imaginer une couleur que je n'aurais encore jamais vue. Et là, ça y est. Ça a été la musique."

"Tyrus se décrivait lui-même comme étant un « performeur slash poète slash dramaturge slash réalisateur slash activiste », et, comme j'aimais à l'ajouter, « slash enfoiré » qui me devait encore trois cents dollars."

" [Klaudia von Robinson] n'était pas noire, elle était dorée. [...] L'or du nombre de la doctrine pythagoricienne. Je désirai tant lui dire : « Baby, pour reprendre les mots de Pythagore, d'Euclide et de Kepler, tu es aussi chouette que 1,6180033989. »"

"Ils avaient besoin d'une musique qui leur dise sans aucune ambiguïté comment ressentir les choses, comment se comporter. Ma musique ne donnait jamais d'ordre à l'auditeur. Point de « Danse ! Réfléchis ! Lave la vaisselle ! ». Elle disait juste « Sois ! ou ne soit pas, j'en ai absolument rien à cirer ! » et le Slumberland ne pouvait supporter ce type de liberté."

"S'il existe un véhicule pour voyager dans le temps, c'est bien la musique"

Le Dahlia noir
7.7

Le Dahlia noir (1987)

The Black Dahlia

Sortie : 1988 (France). Roman, Policier

livre de James Ellroy

Matyyy a mis 8/10.

Annotation :

Honnêtement je ne sais pas trop quoi dire sur ce livre. Ça doit être un des plus connu de James Ellroy et tout a été dit dessus. Un bon roman policier, sombre à souhait, avec du suspense. Une écriture dynamique et excellente. Que dire de plus ? Pas grand chose. Personnellement j'ai beaucoup aimé mais contrairement à LA confidential qui m'a énormément marqué, Le Dahlia Noir restera une bonne lecture mais pas inoubliable. Cela étant dit j'ai hâte de découvrir les autres œuvres de cet auteur.

L'Œuvre de Dieu, la part du diable
8.1

L'Œuvre de Dieu, la part du diable (1985)

The Cider House Rules

Sortie : 1 mai 1986 (France). Roman

livre de John Irving

Matyyy a mis 6/10.

Annotation :

Ça m'embête vraiment de dire ça mais je me suis ennuyée en lisant L'œuvre de Dieu, la part du Diable. Je me rends bien compte que je suis passée à côté de quelque chose mais à la fin je me suis complètement désintéressée de ce roman. C'est dommage, au début j'aimais vraiment bien. Et puis j'ai trouvé l'écriture super lourde… Bref j'avoue avoir lu les dernières 100 pages en diagonal.

La Promesse de l'aube
7.9

La Promesse de l'aube (1960)

Sortie : 26 avril 1973 (France). Autobiographie & mémoires, Roman

livre de Romain Gary / Émile Ajar

Matyyy a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Le genre de l'autobiographie en tant normal je n'aime pas ça... Mais là qu'est-ce que c'est beau ! J'ai rarement lu un livre aussi bien écrit (c'est le premier que je lis de Romain Gary). La relation mère-fils est déstabilisante, certes, mais aussi extrêmement touchante. Et puis la fin m'a brisé le cœur !
Un livre magnifique.

"... j'ai grandi dans l'attente du jour où je pourrais tendre enfin ma main vers le voile qui obscurcissait l'univers et découvrir soudain un visage de sagesse et de pitié ; j'ai voulu disputer, aux dieux absurdes et ivres de leur puissance, la possession du monde, et rendre la terre à ceux qui l'habitent de leur courage et de leur amour."

"... au moment où je jette un dernier regard sur ce qui fut ma vie : il s'agissait, dans tout cela, pour moi, beaucoup plus d'une volonté farouche d'éclairer triomphalement la destinée de l'homme, que du destin d'un seul être aimé."

"Les médecins eurent beau lui expliquer qu'on pouvait fort bien avoir subi l'opération et avoir des occupations sexuelles normales, je suis sûr que le mot « normales » acheva de l'épouvanter..."

Analyser un film
7.5

Analyser un film

De l'émotion à l'interprétation

Sortie : 2012 (France). Essai

livre de Laurent Jullier

Matyyy a mis 8/10.

Annotation :

Un livre de 400 pages sur l'analyse et l'interprétation d'un film. 2 parties sont consacrées à l'analyse : analyse de l'histoire et analyse de la forme. La troisième partie est consacrée à l'interprétation.
Laurent Jullier s'adresse directement à nous pour nous donner les clés de l'analyse d'un film à l'aide de nombreux exemples et souvent avec une touche d'humour (c.f. : les "barbies bleues" dans Avatar). Pour les passionnés de cinéma ce livre est super. Cela dit la troisième partie est moins passionnante que les deux précédentes.

Gioconda
8.2

Gioconda (1975)

Sortie : juin 2006 (France). Roman

livre de Nikos Kokàntzis

Matyyy a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Un livre beau, émouvant, poétique sur un amour incroyable entre deux adolescents. Très bien écrit au point qu'on ressent presque leurs émotions.

Le Royaume de leurs rêves
7.6

Le Royaume de leurs rêves

La saga des Juifs qui ont fondé Hollywood

Sortie : janvier 2007 (France). Essai

livre de Neal Gabler

Matyyy a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Peindre, pêcher et laisser mourir
7.1

Peindre, pêcher et laisser mourir

Sortie : 7 octobre 2015 (France). Roman

livre de Peter Heller

Matyyy a mis 7/10.

Annotation :

Pas mal mais un peu ennuyeux sur la longueur. Cela dit ce n'est pas mon style de livre. Mais j'aime beaucoup le titre !

Matyyy

Liste de

Liste vue 603 fois

5
13