Ces séries qui gagneraient à être plus connues

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291★

Une sitcom dans la Rome antique, en 27 avant JC.
Déjà, rien que l'idée donne envie de regarder le résultat.
Mais quand en plus ça se paye le luxe d'être assez inventif, de claquer un humour trash-pipi-caca-sexe-british, d'être plus drôle que 99% des sitcoms actuelles, et qu'il n'y a pas de stupides rires enregistrés, c'est du tout bon.

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536★

Eh mais ... c'est bien ? Non vraiment, avec une moyenne pareille je m'attendais à un truc pas top, et en l'état ça remplit son office. Tu sens que les acteurs s'amusent et que c'est tout sauf prise de tête. Y a un bon boulot sur le cadre, les fx sont décents, l'univers est intéressant, les forces en présences et leurs interactions font une super toile de fond pour les aventures de trois mercenaires, j'ai même senti quelques vibes de Firefly à certains moments.

Pas la série du siècle, mais très loin d'être une série dénuée d'intérêt (l'épisode en huit clos sur un vaisseau abandonné est franchement bien foutu), à quand bien même elle a quelques passages qui sentent un peu le show de seconde zone (notamment ce générique hyper beauf).

Apparemment les saisons suivantes sont globalement plus solides, et vu le final de la première y a matière à faire. Je me les enfilerai sûrement quand l'occasion se présentera.

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2.700★ ; désormais à 5 saisons.

Plusieurs persos sont horripilants, mais les thèmes abordés avec une certaine justesse (notamment celui du deuil sous toutes ses formes) et l'atmosphère générale qui s'en dégage font de The Magicians une série vraiment intéressante. Passée la frayeur des premiers épisodes, leur allure de show pour tenagers, et les quelques problèmes de rythme, c'est super plaisant.
Dingue que sur Syfy t'as un truc pareil à côté des bouses genre Van Helsing

Le final de la saison 1 m'a agréablement surpris, le réalisme sec et cruel de la série servant de manière efficace le scénario, j'attends la saison 2 avec une sale impatience

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3.200★ ; désormais à 5.900★ et 4 saisons.

Un patelin paumé, des habitants bien tarés prêt à sortir leurs flingues au moindre désaccord, un vampire, des anges, une atmosphère oscillant entre l'ultra-violence et l'absurde, bordel, j'ai retrouvé à l'écran une partie de l'ambiance du "Livre Sans Nom", et ça c'est super plaisant.

J'ai vraiment aimé cette manière de filmer Ratwater et ses habitants, et qui donne lieu à certaines scènes d'une richesse visuelle touchant à l'onirisme.
La musique colle raccord parfait et quand un final aussi énorme et wtf se termine sur les Stones, y a rien à rajouter.

Seul bémol, les problèmes de rythme de cette saison introductive, qui peuvent en décourager plus d'un dans les premiers épisodes. Continuez, la deuxième partie vaut le coup.

Allez, je m'en vais lire les comics en attendant la s2

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441★ ; désormais à 3.700★ et une saison supplémentaire.

Si t'aimes l'humour noir, les personnages tarés, les situations délirantes et les licornes, c'est fait pour toi.
Je dis tout là : https://www.senscritique.com/serie/Happy/critique/159675919

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5.500★

Freaks and Geeks, plus qu'une série, c'est des tranches de vie. Une immersion dans un lycée des années 80 irréprochable, des acteurs excellents, une superbe bande sonore, mais surtout une écriture qui de par son intelligence ne sombre jamais dans la caricature et nous offre des personnages brillamment construits avec de vraies relations.

Freaks and Geeks, plus qu'une série, c'est des souvenirs. Même si t'as grandi une, deux ou trois décennies après cette période, dans un lycée, certains trucs ne changent pas. Impossible de ne pas se retrouver quelque part dans les 18 épisodes, de ne pas sourire en constatant à quel point certaines scènes sont proches de notre vécu, de ne pas ressentir une certaine nostalgie nous envahir.

Freaks and Geeks, plus qu'une série, c'est sûrement l'une des choses les plus touchantes que je n'ai jamais vu.

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4.200★ ; désormais à 6.500★

Quand j'ai commencé à m'enfiler la série, le premier truc qui m'est passé par la tête c'est "Oh bordel, Dupieux + Dr.Who + Utopia". Et c'est exactement ça.
Dirk Gently réussit à être cohérente dans son absurdité grâce à une écriture carrée, amenant son lot d'imprévus à chaque épisode, mais comme le dit Gently lui-même "Tout est connecté".

Et c'est ça le tour de force du truc, même si la révélation des épisodes finaux n'est pas aussi originale que le laissait présager le début, ça reste vraiment bien foutu, et l'extrême fin file une sacré hype pour la saison 2.

Après avoir maté toute la saison 1 en une nuit, j'envisage sérieusement de la revoir dans la semaine avec les colocs, et merde, ça faisait longtemps qu'une série m'avait pas autant éclaté. Une putain de saison brillante, dont la seule faute de goût aura été un extrait de Christine and The Queens de 10 secondes dans le dernier épisode.
Y a pire comme défaut franchement.

Saison 2 : on part plus dans le totalement délirant avec les aventures à Wendimore mais ça garde l'esprit du show, un bon moment même si malgré des bons persos et des bonnes idées j'ai une préférence pour la première saison.
Par contre arrêter la série c'est criminel, la fin de la saison 2 posait tellement de bases tout en rebootant le truc qu'une saison 3 aurait été la bienvenue.

Annotation :

6.900★

Quel dommage de n'avoir que deux saisons, j'aurais bien embrayé pour cinq de plus à ce rythme-là. La réalisation est carré, la reconstitution pareil, les acteurs au top, et ouais, comme dirait l'autre on s'emmerde jamais dans un hosto. Rien de folichon dans le scénario mais c'est compensé par les interactions entre les personnages, tous ces petits drames humains qui s'accumulent et s'entrecroisent.
Criminellement méconnue.

Annotation :

5.200★ ; désormais à 8.000★

Quand une série arrive à te faire pleurer de rire autant de fois, tu sais que c'est de la bonne. C'est foutrement intelligent dans la connerie, et c'est ça qu'est bon mon copain.

Annotation :

2.400★ ; désormais à 6.100★ et 6 saisons.

Un univers riche et travaillé, qui s'il n'échappe pas à un certain manichéisme, a le bon goût d'être crédible, des décors et des fx superbes (question immersion, c'est bien foutu), un scénario à base d'intrigues politiques suivant plusieurs personnes avec différentes situations dans plusieurs coins de l'univers liées par un événement commun, Syfy frappe fort.
Des écuries de la chaîne on a plutôt l'habitude de voir sortir un nombre incroyable de merdes, mais tu sens que quand ils y mettent le pognon, ça donne du lourd.

Annotation :

4.800★ ; désormais à 14.000★ (oof) et 4 saisons.

L'aspect comédie ne casse pas trois pattes à un canard même s'il réserve quelques bonnes scènes, par contre là où le show brille c'est sur le scénario et tout le background Bon Endroit - Mauvais Endroit ; ça nous amène à une fin de saison plutôt inattendue et un début de saison 2 tonitruant.
Je ne sais pas du tout où les scénaristes veulent emmener le bousin, ce côté aléatoire / surprend-moi me plaît bien, les acteurs font leur taf avec plaisir (big up à Michael), en bref, ça mérite d'être regardé, ne serait-ce que par curiosité.

Annotation :

574★

S1 : 5/10 S2 : 6/10 S3 : 7/10

C'est franchement sympathique, et ça ne va qu'en s'améliorant au fil des épisodes. Bourrée de références aux jeux vidéos ou à la culture pop, on passe un bon moment, surtout si on a l'habitude des jeux compétitifs.
L'humour parfois simplet casse un peu les bonbons, mais certains épisodes font irrémédiablement penser à Community, et ça, c'est cool.

Si je l'ai noté en tant que série, faut bien préciser que c'est une websérie. Et à ce titre, ce qu'ils ont réussi à accomplir est énorme. Pas un moment ça ne fait cheap, et l'univers est tellement bien posé qu'on y croit.

Annotation :

64★

J'aime beaucoup ce que fait Dan Harmon, et j'aime énormément le jdr papier, étant moi-même mj/joueur. Du coup, une combinaison des deux ne pouvait que me plaire, bien sûr ! Eh bah pas tant que ça.

L'aspect animé est une bonne idée, et le mj est très bon, seulement, le show se bride dans sa démarche d'accessibilité. Il en résulte une partie simplifiée à l'extrême, et donc moins intéressante qu'elle n'aurait pu l'être. Il aurait par exemple suffit de permettre aux pnjs ennemis des jets d'esquive ou de parades pour rendre les combats plus intéressants, et pas foncièrement plus longs, les jets se faisant cachés le mj aurait toujours eu le dernier mot.

Les invités c'est une bonne idée mais ça rend la chose très inégale, autant j'aime Aubrey Plaza, autant elle ne sait absolument pas jouer à un jeu de rôle. Quelques uns s'en tirent avec les honneurs, et d'autres superbement bien, mais leur rôle reste très limité vu qu'ils dégagent à chaque épisode.

Enfin bref, je ne peux que saluer l'initiative de populariser le jdr, mais j'en attendais plus. Certains y trouveront leur compte, et d'autres découvriront l'aspect convivial du jdr papier, et c'est pour cela que je ne peux que recommander cette série.

Néanmoins, si vous cherchez une vraie partie de jdr sous un format série, allez voir du côté de Critical Role, d'excellents joueurs et un mj plus que compétent dans de fausses-vraies aventures.

Annotation :

528★ : désormais à 2.000★ et 5 saisons.

C'est triste, drôle, et vachement sec. Un bon moment.
Mais putain, QUE 6 épisodes !
Bon, après visionnage de la saison 2, j'suis mitigé. J'ai un peu l'impression qu'ils exploitent mal le potentiel du truc, certains doublages sont atroces, et le scénario laborieux. Dommage.

Annotation :

909★

Le jour, Negishi c'est un fragile timide et stressé rêvant de faire de la pop juste bonne à passer dans des pubs d'assurance.
Le soir sur scène, il est Krauser, dieu du death metal japonais, adulé par des fans décérébrés pour ses paroles haineuses et son sens du spectacle trash.

Tout l'anime se base sur la nature profondément gentille de Negishi en conflit permanent avec son personnage de Krauser ; les deux se succèdent, s'interfèrent, se mélangent, et ça donne lieu à des situations toutes plus grotesques les unes que les autres, de la bataille de crachats dantesques au viol de monument architectural, presque tout part à la base d'un malentendu et prend des proportions énormes.
C'est débilement drôle, la musique est hyper lourde, l'animation est vraiment pas ouf mais ça apporte un petit charme supplémentaire, le format court est parfaitement adapté, c'est du tout bon.

Annotation :

1.700★ ; désormais à 3.600★

Très court, très beau, superbes musiques, lourd voice acting, univers intriguant et plus intelligent/référencé qu'il n'y parait. Les deux premiers épisodes sont pas oufs mais c'est de mieux en mieux.
10x11 minutes, franchement ça passe tout seul.

Annotation :

2.100★ ; désormais à 8.200★

De la pure frappe ce truc, ça déboule à dix mille à l'heure et tape un peu partout mais jamais à côté. Jouissif, bien ficelé, assumé, une excellente surprise que je ne peux que recommander ; c'est tellement rare de voir de l'animation française de qualité.

Annotation :

2.400★ ; désormais à 6.000★

Bordel, j'suis accro à une série Disney Channel. C'est intelligent, drôle, absurde et surprenant.
Si la saison 1 démarre doucement avant de trouver son rythme de croisière, la saison 2 monte le tout à un autre niveau.

Annotation :

4.000★ ; désormais à 8.000★

L'une des meilleures choses qu'il soit arrivé à l'animation, np.
Rarement je me suis autant fendu la poire devant un dessin animé.
Ce comique alternant entre le décalé, le trash et l'humour de référence, c'est ma sauce. Quel dommage que ce ne soit pas plus connu.

Annotation :

7.900★ ; désormais à 31.000★ (paie ton bond ptn)

Avec Archer et Gravity Falls, ma troisième série animée préférée.
C'est absurde, génial, on sait jamais où ça va mener et jusqu'où ils vont pousser le truc. Les répliques cultes fusent à toute vitesse, j'attends la saison 2 avec une telle impatience que je me suis re-regardé la saison 1 deux fois en une journée.

Après visionnage de la saison 2, ben ... je suis encore plus fan. C'est juste dingue d'inventivité.

Annotation :

11.000★ ; désormais à 35.000★ (pareil, ce bond)

Une plongée dans le Birmingham des années 20, au côté d'un gang irlandais des plus sympathiques. Une photographie léchée, une bande-son du tonnerre, de la badasserie à revendre, j'adhère.

Annotation :

12.000★ ; désormais à 20.000★

Dans les dernières places du Top 111, une série au look particulier. Une première saison bien sympathique, une deuxième vraiment jouissive. Pas non plus exempt de défauts, mais les qualités les compensent largement.

A une bonne popularité/fanbase sur le net, mais reste méconnue du grand public. Et ça, c'est sacrément dommage.