De l'holocauste cannibale à l'enfer vert

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N'appartenant pas vraiment au sous-genre et malgré son raffinement esthétique et thématique et son casting cinq étoiles, le film de Ridley Scott propose un hommage (involontaire ? ) assez hallucinant au très Bis Cannibal Ferox à travers une scène mémorable. Si même le cinéma (très) trash européen des années 80 n'est pas à l'abri du recyclage hollywoodien, on est pas sortis de l'auberge...

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L'incontournable du genre: la beauté et la douceur de la BO signée Riz Ortolani contrastent avec la sauvagerie et la cruauté des images. Prisonnier de sa réputation de film gore infect, CH est (à mon avis) un moment de cinéma inoubliable, à vivre et à revivre.

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Survival assez nerveux et fun, aidé des maquillages impressionnants signés Stan Winston. Sympa, quoique un peu fade à mon gout.

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Cette suite est à l'original ce que Aliens et Terminator 2 étaient à leurs aînés: plus fun, plus WTF, (beaucoup) plus gore, LE film parfait pour une soirée entre potes pas trop prises de tête cinématographiquement parlant.

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Bon, ça commence à devenir cheap (quoique par rapport aux suites...) et (encore plus) con, tout en restant (très) sanglant, fun et rythmé. Le dernier de la franchise à valoir le détour... mortel hehehe

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Aie aie aie... décalque très cheap d'Assault de John Carpenter à la sauce cannibalo-bolognaise, c'est une catastrophe. Voir Doug Bradley (Mr.Pinhead) dans cette galère fait peine à voir...

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Paresseux, cheap et longuet, mais passablement gore, quoique pas très fun, surtout comparé au 2 et au 3. Regardable mais ne vous attendez pas à vous marrer comme lors du visionnage des épisodes cités auparavant.

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Je cite Jean Pierre Coffe : c'est de la merde ! Franchement, faut arrêter. Vraiment.

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Thriller à la sauce cannibalo-western, avec un Robert Carlyle halluciné et un Guy Pearce qui s'en prend plein la gueule tout au long du film. Une petite perle oubliée, à déguster sans modération !

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Bien qu' ayant un peu vieilli, le deuxième film du regretté Wes Craven reste une métaphore captivante sur la sauvagerie enfouie dans la culture occidentale soi-disant civilisée. Sympa, avec des moment assez impressionnants.

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Ce remake signé Alexandre Aja m'a fait voir rouge ! Tendu et très sanglant, c'est un film de genre à découvrir (et à subir) sans plus attendre.

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Assez fun, plutôt gore mais surtout très con. Passable et plutôt marrant si l'on oublie qu'il est censé suivre la petite perle d'Alexandre Aja.

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Wes Craven ne s'en cache pas : il était à la ramasse et a fait cette abomination filmique car il n'avait plus une thune. Même s'il avait juré le contraire, on aurait pu le déduire juste en matant la désormais culte scène de flashback canin (si, si ! )

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Film assez atypique: malgré l'orientation très Bis du projet, ce dernier sort du lot par un Scope assez réussi et surtout par la présence d'Ursula Andress (LA première Bond Girl) et Stacy Keach (aie aie aie, ou est passée ma carrière ? ). Clairement pas un indispensable, mais la dernière demie-heure va assez loin dans ses délires érotico-horrifiques. En plus c'est joliment filmé. Et Ursula Andress apparaît à poil. Au final, c'est à ne pas manquer si on y réfléchit avec son autre cerveau ;)

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Du soft porn pendant la première heure et du gore (mal fichu) pendant la dernière demie-heure. Et un singe qui vole des clopes. Et Laura Gemser (encore) à poil. En plus c'est mal filmé. Mouais.

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Plaisir coupable. Cannibal Ferox n'est pas un bon film (non, vraiment pas). Par contre, ce qu'il manque en subtilité, il compense largement en excès. C'est probablement le représentant le plus agressif du genre (le récent "The Green Inferno" ne fait clairement pas le poids, alors qu'il s'en inspire beaucoup). Débarrassé des qualités esthétiques et narratives de son modèle "Cannibal Holocaust", le film de Lenzi se complaît dans le gore craspec à tel point qu'il devient involontairement comique (pour les habitués du genre of course, le spectateur non-averti risque de passer un sale moment).

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On tiendrait un plaisir coupable si la majorité des scènes gores ne provenaient pas d'autres films du même genre. Faut pas déconner tout de même, la bolognaise et le ketchup restent abordables pour des producteurs de ciné, non ? Lenzi fera mieux avec Cannibal Ferox (au moins, toutes ses scènes gores ont été tournées pour l'occasion hehe)

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Double déception. Plutôt qu'à son soi-disant modèle "Cannibal Holocaust", le film d'Eli Roth m'a bien plus fait penser à " Cannibal Ferox", les excès en moins. Et c'est justement ces derniers qui faisaient tout le charme du genre: "The Green Inferno" manque terriblement de mordant ( gênant pour ce qui devait être un revival du "cannibal movie" à l'italienne). Les quelques scènes gores font bien pale figure face aux boucheries qu'étaient "Cannibal Holocaust" et surtout "Cannibal Ferox". La photographie numérique cheap et assez artificielle ne fait qu'enfoncer le clou et semble totalement inadaptée au coté "sale" représentatif du genre (sang, sueur et boue). Quelques bonnes idées, mais je m'attendais à mieux d' Eli Roth qu'on a connu plus inspiré et bien plus agressif (les deux "Hostel" sont bien plus réussis, tant artistiquement qu'en pur divertissement).

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Déception. Malgré quelques scènes gores plutôt sympas, le film est très en-dessous de sa réputation de shocker ultime: c'est longuet et plutôt mal fichu. Joe D'Amato fera mieux avec son moins connu mais pourtant bien plus marquant "Buio Omega".