Denis Villeneuve : le Québec a trouvé son héros !

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Le tout premier film découvert de Denis Villeneuve, et mon préféré : ça doit être une des rares (ou la seule) adaptation d'une oeuvre pré-existante, la claque n'en est que plus grande.
"Incendies" ne se limite pas qu'à son Twist bluffant, mais aussi à l'immersion et aux situations fortes en émotion qui découlent de la vie de Nawal Marwan. Le respect des langues d'origines ainsi que la quête de vérité Jeanne est toujours très bien découpé avec les séquences de la vie de leur mère, le tout sachant ou aller finalement en plus de dénoncer des thèmes importants.
Définitivement un gros coup de coeur.

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Attentes largement comblé en 2015 lors de la sortie du "Sicario" : on a beau sentir l'inspiration sur le "No Country For old Men" en terme de réalisation, Denis Villenueve rassure pour de bon avec une atmosphère et une violence sublimé par l'image, l'ambiance sonore de la musique de Johannsson et un casting impeccable.
L'écriture du personnage joué par Emily Blunt est des plus intéressants, on n'oubliera pas de parler de Benicio Del Toro et Josh Brolin.
Jusqu'à présent, c'est un sans faute.

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Avant la sortie de Blade Runner 2049, Denis Villeneuve s'attaque à une première adaptation d'un roman de science-fiction avec celle de "La tour de Babylone" écrite par l'auteur Ted Chiang, le résultat réussite encore à me surprendre alors que "Sicario" réussissait déjà à conquérir son auditoire l'an dernier.
Profondément bien pensé, sublimement interprété par une Amy Adams pleine de justesse et très bien secondé par Jeremy Renner, maîtrisé en terme de visuel et de réalisation mais brillant par son écriture minutieuse, "Premier Contact" ne se contente pas de donner pleinement confiance pour "Blade Runner 2049", elle amène à la réflexion et parvient aussi bien à faire peur qu'à émouvoir.
Une nouvelle réussite à ajouter à la filmographie de l'auteur et cinéaste Denis Villeneuve.

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Près de 35 ans après l'arrivée du premier Blade Runner, Denis Villeneuve prend le relais en mettant en image une suite qui parvient à trouver un équilibre quasi parfait entre fidélité et continuité sans sombrer dans le fanservice ou la redite. L'auteur de Sicario parvient à développer et à pousser les thématiques du premier film tout en incrustant avec adresse son atmosphère poisseuse et étouffante à cette univers et la promesse d'un claque esthétique est largement tenue.

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"Enemy" semble avoir laissé plus de monde dubitatif et perplexe, mais en tant que film à interprétation multiple : c'est très solide, très maîtrisé, très pesant voire carrément malsain (merci Denis, tu m'auras rappelé à quel point je hais ma phobie), un Jake Gyllenhaal toujours en grande forme, et un final qui fait froid dans le dos (ou sursauter, à vous de dire comment vous avez réagi aux dernières secondes du film).

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Un second visionnage est prévu pour prochainement, mais dans mes souvenirs ce Thriller avait de la gueule : que ça soit son ambiance, Hugh Jackman qui se libère de son rôle de Wolverine en père vengeur, la première collaboration entre Gyllenhaal et Villeneuve, une intrigue très bien ficelé, difficile de faire tant de reproche que cela à "Prisoners".

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(Un grand merci à Pierre Amo pour le lien et la découverte de ce court-métrage)
Un court-métrage de 11 minutes dérangeant tant par l'image que son atmosphère et riche de sens. Peut être un brin lourd et poussé dans ce qu'il dénonce mais très efficace.

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Cette adaptation de la tuerie de l'école Polytechnique de Montréal a beau se limiter qu'à une retranscription des événements sous les yeux de deux personnes inspiré de témoignage, le sujet est bien traité, certaines idées de mise en image sont à retenir, en particulier la photographie en noir et blanc et les prises de vue en hauteur dans l'établissement donnant une vision fantomatique du massacre par les victimes, et Denis Villeneuve raconte ce tragique événement comme il faut pour que ça marche.