En 2018, je rentabilise mes 9.99/mois.

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Saison 1

Je m'attendais à rien en lançant le premier épisode de ce truc alors que je tombais à moitié dans le coltard et finalement je me suis enfilé la saison en trois jours.
C'est juste ouf dans la connerie, ça donne grave la dalle, le perso principal est pas chiant (putain un miracle pour un shonen), y a un humour sympa, un rythme dingue et ça va toujours plus loin dans l'exagération, c'est ça qu'est bon.
A la fin les combats de chefs mais j'en pouvais plus, quand tu mates les hallucinations des juges totalement pétées pendant qu'un des concurrent t'explique à quel point le yaourt a changé son plat tu peux pas ne pas te sentir bien. Bravo.

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Saison 1

C'est con, c'est cru, c'est crade, c'est ni plus ni moins que ce qu'on attend quand on voit le titre et le réal.

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Saison 2

Globalement en deçà de la première. On garde l'esprit délirant du show en le poussant plus à fond, parfois ça marche, d'autre fois non, au moins ça essaie. Le délire à Bersgberg en mode Fargo du pauvre est cool, les coulisses de Blackwing aussi, j'aime beaucoup ce qu'ils ont fait de Ken ça me fait penser au traitement d'un des personnages d'Utopia.
La fin de la saison reboote le tout en posant de nouvelles bases, et ça me fait chier de savoir que ce sera pas renouvelé pour une saison 3 parce que là y aurait matière à faire vraiment un bon truc. Dommage putain, ils nous ont exactement fait une Utopia ; tuer la créativité dans l'oeuf après 2 saisons par manque d'audience alors même que ces deux shows gagnent en popularité via le bouche à oreille.
J'espère sérieusement que Netflix ou autre a en projet de ressusciter Dirk Gently dans un futur proche pour lui offrir la suite qu'elle mérite.

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Saison 1

Alors ça partait bien ,très bien même, tu sens que y a des moyens derrière, tu vois pas l'épisode passer que t'as envie de mater celui d'après ... et puis les scénaristes pètent un boulard et décident de pisser dans leur bière en pourrissant l'histoire et en crachant sur tout ce que cet univers et ce concept pouvaient apporter de frais pour les sacrifier sur l'autel du manichéisme sentimentalo fils de putien sans aucun sens ni aucune décence.
Saloperie.

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Saison 1 - 4

Hunter X Hunter, c'est juste LE shônen par excellence, le seul anime qui m'aura fait bouffer 148 épisodes en deux semaines : j'évite en général les animes longs parce que je me lasse très vite, et là, que pouic, mon envie de continuer est resté intacte tout du long.
J'avais lu les mangas mais m'étais arrêté vers le début de l'arc kimera ants, quand l'auteur commençait plus à gribouiller que dessiner, et parce que j'étais dans le bouillon je savais pas où il voulait en venir.
Sauf qu'en vrai, même si le début de cet arc me laissait clairement dubitatif, force est de constater qu'il est assez ouf. Bon il dure à peu près 70 épisodes sur les 150 du coup en un sens heureusement qu'après quelques longueurs pour le poser il fait le café.
L'avant kimera ants est toujours aussi cool, et l'arc des élections juste après clôt bien l'anime tout en ouvrant un boulevard pour le manga ; ça faisait un bail que j'avais pas eu envie de lire des scans et là je vais totalement m'y remettre.

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Saison 2 - 5/10

La baisse de qualité n'est pas due qu'au départ de Tennant, c'est un tout. Le scénario est moins bon, les personnages sont terriblement énervants pour la plupart (mention spéciale pour la black du fbi et surtout, surtout Trish, qui est infecte aussi bien dans l'écriture que dans l'acting), même les scènes qui se veulent fortes tombent à plat.
Ça se suit, mais c'est galère, comme pour toutes les séries Marvel y a des épisodes en trop et un bon gros ventre mou qui ferait presque perdre toute volonté de finir la saison.

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Saison 1

+
Le héros n'est pas chiant, y a des bonnes scènes de combat, un setup postapo assez sympa dans les rues de tokyo avec le racisme envers les enfants maudits, des persos très stylés.
-
Ça va beaucoup trop vite niveau scénario, t'es jamais inquiet pour les héros, y a des combats sacrément moches avec les créatures 3D nulles, les Gastrea sont ridicules, parfois le harem à base de gamines de douze ans c'est super malaisant.

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Niveau anime qui divise, Tokyo Ghoul se pose là ; on a d'un côté ceux qui nagent dans toute cette edginess tels des poissons morts dans des bassins d'eau croupie, et de l'autre la bien-pensance qui a tendance à ignorer que l'on a tous plus ou moins eu notre période sweat à capuche, Doc Martens et pulls rayés violets.

Alors ouais, ça vole pas haut, et c'est clairement pas un anime qui "mérite" son succès ; histoire convenue, personnages archétypaux clichés, violence sans impact car inutilement présente en général (sauf quelques scènes), rythme en dent de scie, animation à la qualité oscillante, y a pas mal de problèmes.
Mais, et je dis bien mais, y a un certain truc qui finit par se dégager de ce forçage mélancolico-tristito-dark, un petit goût de reviens-y. C'est très aidé par les musiques, pour la plupart excellentes, et bon, forcément quand on bourre la darkitude à ce point, ça finit par fonctionner à un moment ou à un autre.

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Là on rentre vraiment dans le vif du sujet, parce que cette deuxième saison est quand même dans le top Senscritique des pires animes japonais, et dire qu'elle divise c'est un putain d'euphémisme.
Ceux qui ont lu le manga la vomissent.
Ceux qui ont aimé la première saison la vomissent.
Ceux qui sont tombés dessus par hasard la vomissent.
Reste une minorité qui sait pas trop quoi en penser, et qui est bien emmerdée parce que bon, même l'auteur original et son crew de scénaristes savent pas quoi en penser, ce qui fait qu'aujourd'hui, alors que la saison 3 est en diffusion, personne ne sait si Root A (cette saison2) est canon avec la 1 et Tokyo Ghoul Re.

Et là, on ne touche qu'au scénario ; les problèmes de la saison 1 sont toujours présent, voir même ont pris de l'importance pour certains, les personnages partent dans tous les sens, le héros, dans sa quête de la tristito-edginess éternelle passe son temps à se toucher la nouille dans des bâtiments vides, problèmes deeeeeee rythmeeee et de passages pourris, c'est tellement inégal d'un épisode à l'autre c'en est hallucinant.

Mais, et à nouveau je dis bien mais, y a des bonnes choses dans Root A. C'est enfoui sous pas mal de saloperie, mais c'est bien palpable. Le truc qui marche le plus, c'est ce crescendo vers le final, quand par exemple les Colombes viennent à l'Antique et que l'inspecteur partage un café avec le vieux alors qu'ils savent pertinemment que dans la nuit ils se livreront un combat à mort, cette espèce d'inéluctabilité de la fin pesant sur les épaules de tous les persos, là le forçage mélancolique fonctionne parce qu'il a une raison d'être.
Par contre, l'épisode final est une vaste blague, et massacrer sciemment la puissance que les épisodes précédents ont pu lui apporter, c'est de l'art niveau branquignolerie.

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Saison 1 - 2

Au début c'est le feu, comme pour les films de braquage c'est con et incohérent mais ça chie la classe, puis ça part en latte. Y a d'énormes longueurs et problèmes de rythme, du suspense de plus en plus artificiel, des personnages qui pètent des gros boulards pour le scénar, ça devient bien chiant bien trop vite.
Bon, ça reste marrant de voir comment le Professeur exploite les failles d'écriture pour être godlike omniscient omniprésent omniprévoyant, sauf qu'il y avait matière à mieux.

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Saison 1

Très court, très beau, superbes musiques, lourd voice acting, univers intriguant et plus intelligent/référencé qu'il n'y parait. Les deux premiers épisodes sont pas oufs mais c'est de mieux en mieux.
10x11 minutes, franchement ça passe tout seul.

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Saison 1

Des acteurs à l'interprétation plus qu'aléatoire, des musiques effroyables de nullité, un cadreur qui connait pas le steady-cam, une histoire convenue aux retournements prévisibles, ça essaie on va dire.

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Saison 1

L'histoire d'une bande de gros cons que l'on présente comme des "génies du crime", alors qu'en réalité, tout ce que ces connards ont dans le crâne c'est un assortiment de maladies mentales plus ou moins débilitantes noyées dans un bon paquet d'alcool et de mauvaise dope.
Faut vraiment être atteint pour penser ces types supérieurement intelligents sans dec, ça rassure pas sur le qi moyen des forces de l'ordre aux states.

Strictement aucun intérêt, les "retournements" tu les vois venir à des km, c'est chiant, ça tire en longueur alors que ça fait que 4 épisodes, et putain kudos au mec qui s'est tapé la correspondance avec cette immondice de Marjorie pendant des années en pensant que c'était une femme intelligente et manipulatrice, je te plains sincèrement mon gars.

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Saison 1

C'est mignon tout plein, et sous son air innocent, ça traite des sujets assez raides comme le harcèlement au travail, le surmenage, la dépression ou la solitude amoureuse.
Un format court, peu d'épisodes, ça passe tout seul.

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Saison 1 - Episode 2

J'ai pas tenu plus.
https://www.senscritique.com/serie/Superstition/critique/168950871

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Saison 1 (Ep. 8/25)

J'ai pas réussi à finir, et je reprendrai pas, trop de trucs mieux à voir. C'est pas que je trouve ça foncièrement nul, c'est juste que c'est inintéressant au possible, au début tu t'accroches mais après ça te perds sur la longueur.

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Saison 1

Le postulat de départ est tellement ouvert que t'as envie d'y croire ; tu passes outre la pseudo propagande militaire japonaise et le harem de gamines de 15 ans, tu persistes parce que y a des éléments prometteurs dans ce décalage entre notre monde et un monde générique de fantasy, t'arrives à la fin sans trop de problèmes et t'as même aimé pas mal de trucs.

Puis tu prends un peu de recul, et tu constates qu'en vrai, c'est nul à chier.
Le 5 du plaisir coupable.

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Saison 1

Idée sympa + fanservice gênant à outrance = truc passable que j'ai très honnêtement bien surnoté

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Saison 1

Le début de saison est à chier mais ça s'améliore dans les derniers épisodes, je laisse le bénéfice du doute pour la saison 2.

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Saison 1 (10/22)

C'est un procédural complètement con vu comment les scénaristes ont limité le postulat de base riche en possibilité pour le plier aux exigences du "une affaire, un épisode", mais ça se suit bien. Y a des bonnes idées, notamment niveau mise en scène chaque fois que Finch est sous NZT, ça rend le truc très dynamique et agréable à regarder, et le capital sympathie du perso principal est très bon.

Y a une explication pour la super-intelligence donc ça passe mieux que dans Scorpion par exemple, et même si ça nuit souvent au développement de l'écriture, dans le cadre d'un visionnage post-cuite ça rend les choses plus faciles à suivre.

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Saison 1

Aussi subtil qu'un bulldozer dans un jardin d'enfants, mais avec tellement de vannes abusées dans la vulgarité à la minute, tu finis forcément par te faire avoir et laisser la série tourner en fond.

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Saison 1

J'sais pas trop pourquoi cet anime est tenu en si "haute" estime alors que c'est archi-convenu et classique. C'est bien animé et y a des combats classes, mais certains persos sont remplis de gimmicks énervants et le naïf héros un brin teubé m'a vite fait chier. Ah, et les openings des 2 saisons sont dégueulasses, celui de la première un peu moins mais celui de la deuxième est immonde.

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Saison 2

Pareil que la première, en moins bon et avec mille fois plus de fan-service débilos. Niveau persos aussi plat qu'on pourrait les faxer, Aiz se pose là.

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Saison 3

Une saison globalement solide dans son intrigue et l'ambiance qu'elle pose, ma seule vraie déception étant Bullseye réduit à un gros fragile mental qui lance des agrafeuses, des écrans d'ordi et des plateaux à fromages avec une expression monolithique sur le bas du visage. Après l'origin story est pas non plus trop trop dégueu et la fin tease sur le fait que c'était pas le perso dans son plein potentiel donc wait and see, je vais essayer de pas trop hyper une possible rencontre Punisher - Bullseye parce que mon référentiel c'est le Punisher Max d'Aaron et Dillon donc de toute façon la série ne sera pas à la hauteur de cette bd magistrale.

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Saison 1 + Une partie de la Saison 2

Ça commençait de manière sympa en abordant des bons thèmes notamment le coup des relations aventuriers/villageois, mais ça va jamais au bout de ses idées, ça s'éparpille en sous-intrigues inutiles et en persos secondaires débilos et résultat, on finit par s'emmerder sur du ratio 1 épisode à peu près intéressant pour 3 épisodes chiants comme la pluie (la transition entre s1 et s2 le festival de l'automne puis noël ça m'a totalement achevé, paie ton remplissage, sans déconner y a tellement mieux à faire avec un setup pareil)
Au moins l'opening est correct.

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Saison 1 (Ils ont enlevé la deux ces salauds)

Peut-être, sûrement un brin de surnotage, mais les deux saisons de Code Geass sont sans doute l'une des meilleures choses que j'ai pu voir de l'animation japonaise jusqu'à maintenant. C'est complètement pété, mais bordel, qu'est-ce que ça fait les choses bien.
Pour un peu que t'acceptes certaines dérives de la série, t'embarques pour 50 épisodes géniaux, avec des montées de suspense violentes, des moments de calme qui durent jamais bien longtemps, des retournements soudains, mais surtout, un show qui reste fidèle à ce qu'il est du début jusqu'à la fin ; un divertissement over the top qui pioche allègrement dans les mythes collectifs et les mixe avec des thèmes plus actuels, nous servant ainsi une oeuvre marquante, qui reste dans un coin de la tête une fois visionné.

"Code Geass grabs you by the balls and refuses to let go until the end ; It's 50 episodes with an incredible build-up and emotional investment, and it all ends in one single incredible moment."

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Saison 1 - 3

Je m'étais arrêté à la fin de la 2 à l'époque, du coup j'ai repris du début et je vais aller jusqu'à la fin de la 5 cette fois, et putain jsuis heureux qu'ils l'aient pas annulé parce que Brooklyn 99 est toujours aussi drôle. Ça atteint pas le niveau d'un The Office, d'un Parks and Rec ou d'un Arrested Development, mais y a aucune baisse de régime, la qualité est toujours au rendez-vous et t'y reviens avec plaisir.

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Saison 1

C'est animé avec le budget d'un doner-frite mais c'est trop con pour pas être bon. Le manga m'avait fait de l'oeil quand je le foutais en rayon à l'époque, parce que faut dire que le synopsis déboîte : des yakuzas qui après une bourde doivent partir en Thaïlande pour changer de sexe et revenir au Japon commencer une carrière d'idoles, on est dans le côté random de l'animation nippone, quand elle se permet des trucs débilos et qu'elle les réussit.