Entering the Bronx

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Une grande partie du film prend intelligemment pour cadre Charlotte Street et ses environs (South Bronx, donc), arguant du fait que les loups s'en servent de repaire et aussi de garde-manger, vu la profusion de toxicos et de sans-abris qui y trainent.
Le projet immobilier visant à raser ces ruines (et donc le lieu de vie des loups) est le point de départ du film.

Non seulement Wolfen est un témoignage historique concernant cette triste période de Big Apple, mais de plus le récit intègre de la plus belle manière cet espace ressemblant à une zone bombardée.
Chapeau bas !

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Bien que ne se déroulant pas dans les fameuses ruines, une poignée de scènes se passent dans la station de m"tro de South Bronx (entre autre)...

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Filmé majoritairement dans le South Bronx (le 41st Precinct était situé au numéro 1086 Simpson Street et la fin du film se déroule dans la fameuse Charlotte St., en plein cœur de la zone en ruine), ce film retrace le quotidien de deux flics (interprétés par Newman et Wahl) entre la tentative de résoudre une affaire de meurtres de flics et leurs vies privées.
Le scénario nous propose plus qu'un film policier, car c'est plutôt une tranche de vie se partageant entre violence, trafic de drogue et love story tragique.
Un bon film solidement interprété, écrit et réalisé.

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Documentaire instructif sur les streets gangs zoannt dans South Bronx, 80 Blocks from Tiffany's (titre ironisant sur le fait que le temple capitaliste de l'enseigne Tiffany's ne se trouve en fait qu'à 80 blocs (soit 3km et des brouettes) du quartier le plus miséreux de New York, entre les 70's et la mi 80's...
Il y a donc les Savages Skulls et les Savage Nomads, deux street-gang qui sont interviewés.
Et c'est là que c'est fun, car leurs membres font montre d'une stupidité crasse (des blacks ou des latinos avec toute l'imagerie des Nazis, soit Croix de Fer, swastikas et autres joyeusetés) et d'un comportement erratique dû à leurs utilisations de divers stupéfiants.
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Annotation :

Merci pour la contribution de Hitman, qui m'a poussé à enfin voir ce film !

Dans ce vilain Exterminator sans queue ni tête, une paire de séquences prennent pour décor South Bronx, histoire de profiter de ce lieu propice pour parler d'insécurité...
A part ça, on s'ennuie sec et les promesses démentes de l'affiche ne sont que poudre aux yeux. Je l'ai plutôt amère...

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Dans ce film (et de fait le lieu qui aura des conséquences désastreuses pour le "héros"), Sherman Mc Coy et sa dulcinée se retrouve en plein South Bronx et sont pris à parti par deux zonards du coin...
Preuve donc qu'en 1990, South Bronx était encore (partiellement) une zone décatie et laissée à l'abandon, où il ne faisait pas bon vivre (ou passer, le cas échéant)...

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Tout est dans le titre !
Documentaire sur le New York Fire Department, nous y suivons donc les soldats du feu dans leurs incessantes interventions dans le South Bronx. En effet, ce quartier étant le plus pauvre de New York (le plus pauvre des USA à cette époque, en fait), les immeubles sont vidés par suite des mutiples explusions dues à des loyers non payés. Les landlords (proprios) se retrouvent donc avec des bâtiments vides et ceux-ci sont squattés et dégradés au fur et à mesure.
Devenant des coquilles vides ne rapportant plus d'argent, les landlords eux-mêmes mettaient le feu à leurs buildings...
Et donc, le NYFD intervient des milliers de fois par an dans cette zone franche.