Jeux vidéo terminés en 2024

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Commencé fin décembre, terminé le 1er janvier.
Si l'on met de côté la fin qui n'en est pas une vraie (d'autant plus frustrante car il se passe des choses non expliquées), et la certaine facilité du jeu grâce à Elika, j'ai bien aimé l'aventure. Le jeu possède une patte artistique assez singulière et une ambiance (j'ai remarqué quelques jolis morceaux dans la BO par ailleurs) qui lui permettent par exemple de d'avantage se démarquer de la célèbre trilogie que les Sables Oubliées. Le prince est tête à claque mais les dialogues dispensables donc ça va.

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Terminé en une après-midi, Kao ne présente que peu de challenges, mais ça tombe bien, je cherchais un petit jeu à faire entre deux. Dans l'ensemble ça fonctionne comme le deuxième opus, rien de bien nouveau mais quelques séquences permettant d'éviter la monotonie. On sent quand même que c'est petit budget.

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Je ne pensais pas autant apprécier ce 8e épisode : la progression est fluide (et assez couloir mine de rien, on est jamais perdus), jamais trop difficile, et assez varié en terme d'ambiances. Forcément la maison de poupées ou le château sont plus mémorables que d'autres passages mais c'est parce que le côté horreur est encore présent. Vers la fin dans l'usine, malgré de nouveaux ennemis transformés intéressants on est aussi armés jusqu'aux dents. Forcément, c'est moins marquant, mais pas inintéressant. Le jeu s'avère assez court finalement, ce qui lui va bien, et il est rudement beau, quoiqu'un peu trop statique à mon goût par moments où ça manque clairement d'objets que l'on aimerait briser.

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Terminé dans sa version remasterisée. Même si j'adore la 64, je suis content d'avoir pu terminer le jeu avec cette nouvelle version, forcément plus maniable et jolie, sans dénaturer le jeu de base. Je n'avais jamais fait ce Quake inédit, c'était l'occasion. Celui-ci s'avère assez classique et un poil moins bien (et surtout plus court) que sa version de base mais cela reste une curiosité intéressante. On est parfois pas bien loin d'un Doom 64 niveau ambiance, mais je préfère quand même ce dernier qui va plus loin pour se démarquer de ses origines.

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Un mission pack certainement moins accrocheur que le jeu de base. On le parcours quand même assez bien (ça reste du Q2) mais j'ai trouvé le placement de certains ennemis peu subtils, et je ne parle pas des tourelles omniprésentes !

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Je le remonte d'un point. Postal est vraiment atypique, fourré de bugs, de graphismes qui ont mal vieillis, de pièces vides, de missions finalement assez prévisible (des ennemis qui arrivent quand tu récupères un objet de mission), mais son côté bac à sable reste unique et toujours défoulant.
Rajouter les armes de l'extension était je pense une bonne mise à jour, tant certaines font des ravages et permettent d'oublier que même en terme de plaisir de shoot c'est pas la joie !

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Une fois passé l'aspect fun et original du titre, on se retrouve finalement sur du très classique FPS couloir, et ces derniers sont bien étroits d'ailleurs. Je ne dis pas que ce n'est pas bien, on s'amuse suffisamment, j'ai adoré faire valdinguer mes ennemis, mais à la fin, et pourtant le jeu n'est pas des plus longs, on sent qu'on arrive au bout du concept. On sent qu'ils ont tenté des choses, comme cette salle vers la fin où il ne faut pas tirer sinon tout risque d'exploser, mais ce n'est pas assez développé. Le mode Écho est malheureux juste des portions du jeu de base. On peut néanmoins le voir comme un Duke Nukem Forever amélioré par moments.

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On reprend la même formule mais cette fois on est de retour dans des niveaux couloirs, avec quelques nouvelles armes de corps à corps très sympa à manier mais des missions pas toujours terribles malheureusement.

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Si ce second opus ne sera pas aussi marquant que son ainé, supérieur à bien des niveaux, ce fut un réel plaisir de me replonger dans cet univers et ce gameplay, si unique, ou du moins n'ayant que peu d'équivalent. Le jeu est parfois très joli à admirer dans ses panoramas, on garde de belles sensations, et l'idée de l'Open World fonctionne assez bien, donnant un petit vent de fraîcheur bienvenue. Évidemment le monde n'est que très peu peuplé et reste certes rempli d'un nombre incalculable de collectibles, mais on suit les missions avec plaisir, avec même un final épique sur le toit du monde. Néanmoins dans l'ensemble on ne va pas se mentir, l'histoire reste globalement assez convenue et prévisible, et c'est un peu dommage car elle est d'avantage au cœur de cette suite.
Un petit mot pour parler de l'ambiance sonore de Solar Fields très satisfaisante. Même si je pense préférer la BO du premier on est quand même sur des sonorités presque indissociables de cet univers et de sa DA qui donne envie d'être riche et de se payer un appartement design.

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Joué principalement sur 2023, j'ai bien aimé cette formule Soulsienne de Star Wars. Déjà car le jeu est quand même moins punitif et donc plus accessible que les jeux de From Software sur lesquels je galère. Niveau gameplay, les combats sont assez funs, même si je trouve plus difficile à placer les soins par rapport à Bloodborne par exemple, à cause d'une animation un peu longue. J'ai rencontré quelques bugs, dont pas mal de chutes, et les chargements sont interminables sur PS4 : est-ce que le jeu était poussé à fond ou parfois mal optimisé ? En tout cas, la fin était assez épique et ça m'a donné envie de revoir certains des personnages. Le fait d'avoir laissé le jeu en pause pendant près d'un an à sûrement aussi évité une certaine répétitivité.

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Toujours un plaisir que de se replonger dans l'univers de BioShock, et cette extension est franchement sympa ! Sans révolutionner la formule (un seul pouvoir et une seule arme en plus si je ne m'abuse), la durée de vie est correcte mais surtout le soin apporté à l'ensemble est là : on est sur le même niveau de qualité que le jeu de base, avec de nouveaux persos et un twist final assez sympa.

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Le jeu ne mérite pas une note si basse. Plutôt mignon avec son pixel art, le jeu est de plus gratuit, difficile de se plaindre de ce côté là. Au delà du fait qu'il reste assez minimaliste en terme de gameplay comparé au dernier opus des tortues, le jeu est surtout extrêmement court : seulement 30/40 minutes pour le terminer, même en utilisant un ou deux continues, et pourtant le jeu n'est pas bien difficile.

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S'il n'est plus vraiment nécessaire de présenter Rayman 3, très bon opus de la série, cette version HD reste quand même très proche du jeu de base et les ajouts sont minimes, même visuellement. Toujours plaisant à faire ceci dit, même si je commence à me demander si les meilleurs Rayman ne sont pas les deux derniers en 2D.

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Dans le haut du panier des jeux Microids pour le coup ! On est sur un petit jeu de plate-formes rempli de collectibles mais qui se parcoure bien et s'avère même plutôt joli par endroits, malgré de bien longs temps de chargements. Il possède aussi les défauts présents depuis 20 ans dans le milieu, à commencer par la caméra. Je doute avoir la patience de le terminer à 100% mais au moins le terminer en difficile permet de mourir quelques rares fois, et de se creuser les méninges pour récupérer certains objets.

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Terminé le temps d'une bonne année je dirais, ce Lego Racers 3 officieux s'apparente plus au 2e opus de la franchise, avec tout un tas de missions entre les courses. L'Open World est assez complet, à l'image du jeu qui regorge de choses à faire, donc très sympa à parcourir, même si pas mal de missions me semblent bien difficiles. Je déplore quand même qu'il y a beaucoup de chargements longuets, dont des mini freezes parfois en course (lorsque l'on bute un adversaire) ou l'impossibilité de recommencer la course directement si l'on termine deuxième. On ressent également un sentiment de brouillon pendant les courses, c'est vite le bordel. Ce qui m'a le plus dérangé néanmoins c'est ce syndrome de Mario Kart Wii, qui fait que l'on te colle quand tu es en tête mais qu'on a l'impression que c'est facile de revenir dans la course quand on est à la traîne... Du coup mon 7 paraît un poil gonflé par le plaisir d'avoir un nouveau jeu de courses Lego, c'est vrai.