Journal intime d'un lecteur de BD-Mangas : année 2016

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Tomes 1 et 2 (lus le 13/01/2016) : 6/10 pour les deux tomes

J'ai pris un certain plaisir à lire mes tomes en tout cas. Le côté ultra décalé des personnages et des nombreuses tueries fait sans nul doute son petit effet chez moi. Et le coup de crayon de l'auteur est toujours aussi réussi.
Malgré ce côté jouissif évident, j'y ai pas non plus vu un très fort intérêt sur la durée. C'est sympa à lire comme çà en temps réel mais une fois le bouquin fermé et ben honnêtement il ne me reste pas grand chose, j'ai quasi rien à dire je dois même avouer. J'irai même jusqu'à dire que c'est pas franchement très intéressant dans le fond.
En bref : titre sympathique pour son côté défouloir très fort, son héroïne qui semble promettre pas mal, mais pas assez intéressant pour que j'aille plus loin. Tiens, j’irai me relire Bambi puis Soil, ca vaudra mieux.

Probabilité de lire le tome 3 : 0% (faut bien faire des choix)

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Tomes 1 et 2 (lus le 13/01/2016) : 6/10 pour les deux tomes

Annotations sur fiche tome 1.

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Tome 1 (lu le 15/01/2016) : 9/10
Voir mon ressenti ici : http://www.senscritique.com/bd/Le_Club_des_Divorces_tome_1/critique/79578085
Magnique lecture pour ma part !

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Tomes 1 et 2 (lus respectivement les 13 et 29/01) : 7/10

Un bon petit shôjo d’aventure ! C’est pas si courant chez nous donc j’en ai profité.
L’histoire nous emmène dans une sorte de monde clos aux touches post-apocalyptiques. J'ai vraiment été pris dans l'histoire et pourtant la situation initiale ne semble pas non plus si originale que cela mais la magie a opéré chez moi en tout cas. Simple mais efficace. Ca m'enthousiasme d’avance d'en savoir plus.
Niveau dessin, c’est foutrement joli.

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Tomes 1 et 2 (lus respectivement les 13 et 29/01) : 7/10

Voir annotation sur fiche tome 1

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Tome 6 (lu le 29 janvier) : 7/10

Encore un bon tome plein de surprises pour cette série qui s'impose pour moi comme une vraie référence côté chroniques adolescentes.

Probabilité d’acheter le 7e et dernier tome : 100%

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Tome 1 (lu le 31/01/2016) : 8/10

Du mystère, de l'intrigue familiale, de la rêverie, une touche fantastique, des secrets du passé, un côté contemplatif, il y avait là pas mal de choses pour plaire. Le tout est couplé à un coup de crayon des plus jolis et à une belle ambiance onirique construite par l’auteur.

Probabilité d’acheter le tome 2 (et dernier) : 100%.

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Tome 5 (lu en février 2016) : 7/10, comme l'ensemble de la série depuis son début pour l'instant.

Probabilité de lire le tome 6 : il est déjà dans ma pile à lire...

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Tome 2 et dernier (lu en février 2016) : 8/10
Dans la digne lignée du tome 1.

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Tome 1 (lu le 19/02/2016) : 7/10

Premier constat : ça sent le vrai dessin, avec un léger aspect crayonné, pas un truc lisse aseptisé qu'on retrouve parfois dans certaines œuvres et çà, ça fait plaisir ! Et c’est sans compter le chara design qui a un vrai charme.
Côté histoire, c'est original d'une certaine façon mais j'ai déjà vu le truc être fait ailleurs et de bien meilleure manière. Ca n'enlève pas l’intérêt principal de ce manga qui est pour moi son univers et ses mystères. Hormis çà, pas grand-chose à dire, c’est loin d’être une lecture inoubliable dans l’ensemble.
En clair, un tome assez sympa, pas indispensable mais assez sympathique.
Probabilité d’acheter le tome 2 : 60%

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Tome 11 (lu le 20/02/2016) : 10/10 pour l’ensemble de l’oeuvre

On a un véritable tome de fin, avec vraiment beaucoup de choses qui s'accélèrent, beaucoup de changement et un final tout en douceur qui me satisfait pleinement.
Un très grand manga en tout cas à mes yeux. Dès la lecture du tome 1, du chapitre 1 même, il s'est directement placé dans mes meilleures lectures de bande-dessinées et 10 tomes plus loin, 10 ans plus tard, rien n'a changé. Je peux dire que chaque tome qui a suivi n'a fait que confirmer cette première impression sans jamais me décevoir une seule fois. C'est définitivement un titre parmi les rares à avoir énormément marqué ma vie de lecteur de manga et de BD en général. Il a aussi énormément joué dans la construction de ma passion pour le manga et a aussi beaucoup joué sur mes choix de lectures en me faisant me tourner pendant un temps vers d'autres grands titres.
Merci à Kei Toume pour ce chef d'œuvre, merci à Delcourt pour la publication et merci à cet article dans un vieux numéro de 2005 ou 2006 du défunt magazine Manga Spirit pour m'avoir fait découvrir cette auteur de génie.

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One-shot (lu le 21/02/2016) : 7/10

Là encore, ça a été une lecture sympathique mais pas vraiment indispensable.
Gros point fort à mes yeux : le superbe coup de crayon de Samura. D'un niveau similaire aux derniers tomes de L'habitant de l'infini, le dessin et le character design sont magnifiques. Très impressionnant dans ce one-shot, Samura est bien mon dessinateur manga préféré, ca se confirme !
Niveau histoire, on est dans le thriller historique. Je suis pas spécialiste du tout de l’histoire russe du XXe siècle mais j'ai trouvé ça plutôt intéressant même si la narration et le rythme souffrent parfois un peu. En effet, beaucoup d'éléments (la quasi totalité en fait) arrivent vraiment à la toute fin qui est assez dense, une meilleure répartition aurait rendu le tome plus homogène et donné plus d'enjeux au 2 premiers tiers.
Le sujet est quand même assez original en manga mais il me semble que cette partie de l'histoire russe (et ces personnages) a été souvent traitée dans des œuvres de fiction (les spécialistes pourront nous dire). Le béotien que je suis sur le sujet a quand même relativement accroché au dénouement, aux explications scénaristiques sur tout ce qui venait de se passer au long du tome, aux personnages aussi (là aussi le chara design en est la raison principale mais pas que) même si certains sont clichés à souhait.
En bref : un one-shot sympathique mais pas du tout inoubliable (et que j’aurai sans nul doute oublié d’ici à un an) malgré ses dessins du tonnerre.

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Recueil (lu le 01/03/2016) : 5/10

Les histoires sont dans l’ensemble assez peu intéressantes et surtout assez mal racontées (les ficelles scénaristiques sont parfois carrément grotesques). Ma préférée reste « Le jeûne » mais elle fait 10 pages. La fin de « La faucille » m’a aussi surpris, je l’avoue.
J'ai préféré le 1er recueil de nouvelles paru chez Le lézard noir l'année dernière mais il faut avouer que ce n'est pas dans les histoires courtes que Umezu brille réellement. Ce format nécessite à mon sens une approche que n'a pas l'auteur et malheureusement les quelques défauts de l'auteur (qui passent sans le moindre souci dans une oeuvre magistrale comme L'école emportée ou même dans une moindre mesure dans Baptism) sont trop mis en exergue par le format très court des nouvelles.
Heureusement, le dessin, le design général, l'expression d'horreur des personnages, l'ambiance sur quelques histoires sauvent le truc à mes yeux car ce sont des éléments très réussis comme d'hab avec Umezu.
Une véritable déception pour moi.

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Tome 1 (lu en mars 2016) : 8/10

En voilà une découverte qui fait plaisir ! De l’auteur, je n’avais lu que Dragon Head que j’ai bien apprécié, les titres comme Maiwai et La Dame de la chambre close ne me bottant pas plus que çà, il s’en est fallu de peu pour que je passe à côté de cette belle chronique d’une vie en reconstruction. Les avis positifs lus un peu partout sur le net ont eu raison de moi.
Un vrai coup de cœur pour l’instant : la faute au dessin de Mochizuki et surtout ses cadrages, la faute aussi à ces personnages sobres et authentiques !
Probabilité d’acheter le tome 3 : 100%

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Tome 2 (lu en mars 2016) : 8/10

Voir annotations tome 1

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Tome 1 (lu le 13/03/2016) : 8/10

Découverte de cette série culte pour moi !
Deux tomes de lus, troisième que je débute très bientôt.
Déjà tous les éléments d'une superbe aventure qui sent bon l'épopée et le drame.
Vite ! La suite !
Probabilité d'acheter la suite : déjà fait !

(Merci Anko)

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Tome 2 (lu le 20/03/2016) : 8/10

Voir annotations tome 1.

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Tome 4 (lu le 29/03/2016) : 7/10

Un tome d'Arslân très similaire aux précédents avec son lot d'action, quelques nouvelles révélations liées aux intrigues de cour et du teasing sur ce qui semble être la vraie faction qui tire les ficelles.
Bref. Dans l'ensemble, je trouve que ca se lit bien mais c'est pas non plus folichon étant donné que rien de bien passionnant ni même palpitant ne s'est passé depuis le début de l'oeuvre.
Vu que Yoshiki Tanaka (Legend of galactic heroes) est aux commandes (de l'oeuvre d'origine en tout cas), j'attendais un niveau très supérieur sur tout ce qui touche au scénario et à l'écriture des personnages. C'est pour l’instant beaucoup trop convenu et c'est dur d'imaginer que les personnages ont été écrits par le même homme qui a créé ceux de LOGH.
Comme pour les 3 précédents, je mets 7/10 au tome 4 mais c'est bien car la note de 6.5 ne peut être mise.

Probabilité d'acheter le tome 5 : 55% (j'ai envie de voir si le tout se bonifie au moins un peu)

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Tome 2 (lu le 01/04/2016) : 7/10

Comme pour le 1er tome de cette série en 2 volumes, j'ai beaucoup apprécié le character design. Vraiment très réussi à mon sens tout comme le dessin dans l'ensemble même s'il est très minimaliste niveau décors.
Niveau histoire, j'ai trouvé le tome assez alambiqué. Cette histoire de manga dans le manga s'est complexifiée par rapport au tome 1 et ca permet au manga d'explorer des pistes plus surprenantes et plus originales.
Il faudrait néanmoins que je me relise les 2 tomes d'affilée, plus au calme.

En bref : une série originale, plus surprenante qu'il n'y paraissait au début mais pas du tout inoubliable.

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Tome 16 (lu le 01/04/2016) : 8/10

Je rattrape enfin mon retard sur la série. Le dernier tome lu étant le 15 qui date de juin 2015...

Après une série d'arcs plus ou moins longs avec des enjeux plus ou moins importants, la série attaque depuis son 10ème tome son arc le plus important à la fois sur le plan scénaristique (beaucoup de révélations sur le background et sur les personnages dont le Gekkô, le héros) et sur le plan de la longueur.
Avant de me lancer, je me suis donc relu assez rapidement les tomes 10 à 15 histoire de me remettre dans le bain. Ca ma permis de confirmer tout le bien que je pensais de la série depuis son début et même plus car l'arc en cours apporte enfin les enjeux importants qui manquaient peu-être à la série auparavant (mais l'intérêt n'était pas que là).
Entre action pure (comme ce tome 16, 100% orienté baston/affrontements) et révélation scénaristique (sur l'origine du héros, son lien -s'il existe- avec ce qui semble être le bad guy de la série), Moonlight Act ne me déçoit toujours pas et est actuellement l'un de mes shônen d'action préféré.15 tomes de qualité pour l'instant.

Toujours pas du niveau de l'inatteignable (pour moi) Karakuri Circus du même auteur, Moonlight Act s'impose chez moi comme une référence du genre grâce à son action rondement menée, son dessin furieux, ses personnages attachants et son univers des plus original (tout le manga est bâti sur les liens qui existe entre le monde des contes de notre enfance et celui de nous, lecteurs, permettant des passages de l'un vers l'autre).

Probabilité de lire le tome 17 : 100% car déjà acheté et le reste suivra sans nul doute.

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Tome 17 (lu le 02/04/2016) : 8/10

Pour moi, l'un des meilleurs tomes depuis le tout début de la série.
Un mix équilibré entre pas mal de révélations scénaristiques qui suscitent beaucoup d'intérêt et encore et toujours de l'action.
L'attente pour le tome 18 va être trèèès longue !

Probabilité d'acheter le tome 18 : 100%

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Tome 1 (lu le 02/04/2016) : 5/10

Acheté 1 Euro dans le cadre des 24 Heures de la BD.

L'idée de base de nous mettre en scène une héroïne dans la Grèce antique et de détourner certaines crétaures ou certains évènements phare est sympa mais ce 1er tome n'a pas du tout suscité le moindre intérêt chez moi à la lecture.
J'ai pas trouvé la lecture foncièrement mauvaise mais juste trop plate.

Probabilité d'acheter le tome 2 : 0%

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Recueil (lu les 02/04 et 03/04/2016) : 7/10

Un bon recueil d'histoires assez courtes (10 pages pour la plupart et parfois une vingtaine) publiées de 1968 à 1970 par le fondateur du courant gekiga.
Les thèmes abordés sont principalement le travail, la sexualité et les relations homme-femme de manière plus globale. Le tout est extrêmement noir et pessimiste (parfois trop pour moi, je dirai même), on ressent toute l'anxiété et la colère qui devaient habiter Tatsumi à cette époque.
Mettre en scène ces drames, ces fragments de vie, au sein d'un si petit nombre de pages et avec autant d'efficacité montre bien le talent de l'auteur.
Le format est parfois trop court pour s'immerger complètement et ressentir de l'empathie mais le côté "cliché" (au sens photographie) de toutes ces vies montrées n'en est que plus brut.

Probabilité d’acheter le prochain recueil de l'auteur : 80% (32 Euros le tome quand même)

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Tome 1 (lu le 03/04/2016) : 6.5/10

Acheté 1 Euro dans le cadre des 48 heures de la BD.

J'en attendais rien du tout et au final j'ai trouvé ce tome 1 plutôt efficace dans son genre.
C'est la bonne grosse action de base comme on en voit des tonnes et ici seul le contexte/univers change mais toujours est-il que ça fonctionne plutôt bien.
C'est pas du tout mon délire à la base donc je ne continuerai pas la série à moins que les autres tomes passent aussi à prix bradé... ;-)

Probabilité d'acheter la suite : 15%

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Tome 3 (lus les 04/04 et 05/04/2016) : 8/10

Encore une excellent tome, un cran même au dessus du précédent. Je lis les tomes à mon rythme mais j'ai l'impression qu'il ne faut surtout pas rusher ce manga tant chaque tome est d'une densité incroyable.
En tout cas, la quête de Siddhartha est toujours aussi passionnante et j'ai hâte de lire le moment de sa rencontre avec Devadatta.

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Recueil (lu le 07/04/2016) : 7/10 + coup de coeur

Voilà un recueil d'histoires courtes axées tranches de vie que j'avais repéré depuis un bon nombre d'années sans jamais franchir le pas ! C'est désormais chose faite et je ne le regrette pas.
J'ai trouvé chaque nouvelle très réussie. Iô Kuroda maîtrise parfaitement le format en insufflant à ces histoires beaucoup de douceur, parfois un peu de mélancolie, souvent grâce à des petits moments de vie sans grand intérêt mais où l'on ressent les mêmes choses que les personnages qui y gagnent donc beaucoup en consistance.

Une belle surprise pour moi. J’achèterai sans aucun doute les 2 autres recueils de l'auteur parus chez Casterman et j'ai d'autant plus envie de lire un jour Sexy Voice and Robo, un autre de ses mangas uniquement disponible en version US pour l'instant.

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Tome 4 (lu le 10/04/2016) : 8/10

Encore un très bon tome pour cette série. Le tome est principalement centré sur les austérités de Bouddha en tant ascète et commence à refaire le lien avec ses origines (Kapliavastu).
Toujours aussi dramatique, toujours aussi réussi.

Probabilité d’acheter le tome 5 : il est déjà dans ma pile à lire…

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Tome 5 (lu le 10/04/2016) : 8/10

Encore un tome exceptionnel pour cette très belle série.
C'est un vrai régal de suivre tous ces morceaux de vie, plein de tendresse, de joies, de rires et de pleurs dans ce petit foyer pour enfants.
Matsumoto a décidément un talent d'orfèvre pour nous dépeindre toutes ces vies avec autant de douceur et de sobriété.
L'un des vrais must mangas de ces dernières années !

Probabilité d’acheter le tome 6 : 100% (et c'est l'attente qui va être ardue)

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One-shot (lu le 18/04/2016) : 8/10

J'ai enfin eu l'occasion de lire ce grand classique de Mizuki grâce à cette seconde édition de l'oeuvre proposée l'éditeur Cornélius depuis quelques jours (la première étant indisponible depuis déjà quelques mois). Donc déjà un grand merci à Cornélius pour cette réédition.

Le premier point qui me fascine toujours avec les oeuvres de Mizuki c'est tout d'abord le dessin. Il y a toujours ce décalage impressionnant entre des décors quasi photo-réalistes et le character design si atypique de l'auteur. Dans Opération Mort, c'est encore porté à un tout autre niveau tant certaines scènes/paysages peuvent faire froid dans le dos (Ces planches finales du tonnerre !) tout en gardant ce charme si particulier chez les personnages. Je suis décidément fan de son dessin.
Du côté de l'histoire, Mizuki nous dépeint un tableau d'une noirceur quasi apocalyptique, semi-biographique (l'un des soldats est très inspiré par l'auteur même) qui nous montre ces côtés de l'armée japonaise de l'époque et de la mentalité ambiante d'alors qui parait clairement révoltante pour moi lecteur. Cette vision sans concession de l'auteur a été en tout cas passionnante pour moi. Cette double casquette "oeuvre historique/drame militaire" en fait un incontournable du manga à mes yeux.
A ne pas bouder car il y a fort à parier que d'ici quelques années, cette édition aussi deviendra dure à dénicher en occaz à prix honnête.

Ça n'a strictement rien à voir mais mon oeuvre préférée de l'auteur reste toujours NonNonBâ.

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One-shot (lu le 19/04/2016) : 7/10
(Emprunté en médiathèque)

Mon premier Maruo. J'étais pas forcément chaud pour me faire une oeuvre en ero-guro, la spécialité de l'auteur, donc L'île Panorama est l'idéal pour débuter avec Maruo, j'ai l'impression.
J'ai bien aimé en tout cas. Le dessin de Maruo est assez impressionnant, notamment au niveau des expressions sur les visages. Un bon cru.