L'URSS des cinéastes

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Dans un kolkhoze, le meilleur travailleur est aussi le meilleur musicien. Élu secrétaire de la section du komsomol, puis au soviet local, il croit devoir renoncer à la musique.

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Dans la taïga sibérienne, les gardes-frontières luttent contre deux agents japonais qui veulent empêcher la création par les Tchouktches et les Russes d'une ville nouvelle, Aérograd, une cité radieuse...

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L'emblème du cinéma épique soviétique.Avec la fameuse bataille du lac où les lourds chevaliers, avec leurs longues capes blanches, sont engloutis dans les eaux noires entre les plaques de glace.
Avec aussi la musique de Prokoviev.

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Six épisodes, dont cinq tirés de Grand-peur et misère du IIIe Reich de Bertolt Brecht. Le sixième fait intervenir les partisans dans la guerre contre l'envahisseur nazi.

Film interdit par la censure soviétique.

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Le pilote Nikolaï Ermolov est au front. Sans nouvelles de lui, ses amis le croient mort. Sa femme Liza garde confiance.

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Aliocha - grand, musclé, les cheveux blonds sur le côté, sourire grand comme la place Rouge - et Youssouf - petit, brun, sympathique et rigolo, timide et colérique - débarquent sur une petite île de la mer Caspienne. Ils tombent instantanément amoureux de la directrice du kolkhoze.

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En 1923, devant la délinquance des enfants errants dans les grandes villes, un inspecteur, s'inspirant de la pédagogie de Makarenko, les réunit dans un camp de travail.

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Octobre 1917 : l'insurrection est sur le point d'éclater à Moscou. Deux familles choisissent les camps opposés

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Un cirque ambulant, pendant la guerre civile, dans une petite ville. Un clown fameux et son fils, bolchevik, préparent un numéro à deux. La ville tombe aux mains des blancs. Le jeune Bouldi est arrêté.

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Récit de l'amitié entre deux soldats, un juif et un de l'Oural, pendant le siège de Léningrad.

Mark Bernes crée dans ce film l'une des chansons les plus connues de la guerre, Sombre nuit (Темная ночь / Temnaïa notch).
https://youtu.be/1vRYwaJC5FY

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Le Chef de Gare passe la plus grande partie de son temps au lit à lire les aventures du chevalier Don Diego. Une vieille dame (Pélagie) est arrêtée et mise en prison pour avoir traversé les rails de chemin de fer à un endroit interdit, ce que font régulièrement beaucoup de voyageurs. Il faudra bien des démarches et beaucoup d\'énergie pour tenter d\'obtenir la libération de la dame.

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Odessa, 1918. Les Allemands mettent à sac la ville et la guerre civile entre bolcheviks, anarchistes et indépendantistes fait rage.

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1864. Le gouvernement tsariste, procédant à la russification de la Géorgie, ordonne la déportation des Tcherkesses du Caucase en Turquie. Mais les habitants d'une petite commune tranquille et prospère opposent une résistance aux Cosaques chargés de l'évacuation...

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Ayant perdu son père, Alexis Pechkov revient vivre à Nijini-Novgorod avec ses grands-parents. Un locataire lui apprend à lire et écrire. Aliocha part seul gagner sa vie parmi les hommes.

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LA SYMPHONIE DU DONBASS

Premier documentaire soviétique en son direct, à la gloire du plan quinquennal et de l'industrialisation. Et des nouvelles possibilités ouvertes au cinéma.

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Alors que Kotchine élabore les dernières modifications d'un avion supersonique secret, sa maîtresse, qui rêve d'Occident, photographie à son insu ses travaux pour le compte d'un espion étranger.

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En 1919, dans un bourg minier du Donetzk, en Ukraine. En l'absence de leurs maris partis au front, les femmes résistent à leur manière aux soldats de l'Armée blanche.
Une tragédie musicale sur une partition de Dmitri Chostakovitch.

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Poudovkine profite du tournoi international d'échecs qu'accueille Moscou en cette année 1925 pour montrer la place importante que tient le jeu dans la vie du peuple russe.Aussi, quand la fiancée du héros lui pose un ultimatum, le pauvre bougre n'y voit rien d'autre qu'une énième stratégie de mater son roi. Pourtant le litige est consommé et notre amateur d'échecs est à deux doigts de la perdre...
C'est le premier film réalisé par Poudovkine. Il y fait jouer trois réalisateurs connus (Yakov Protazanov, Boris Barnet et Youli Raïzman) et également plusieurs joueurs connus d'échecs dont Capablanca, Reti et Griounfeld

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A la veille d’une fête religieuse, le voleur Korkis, qui vient de s’évader de prison, et son complice Schultz se trouvent sur le parvis du temple et, à la vue de la richesse étalée par les moines mercantiles, décident de voler le temple

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États-Unis, fin du XIXe siècle. En prison, Bill Porter, qui deviendra O. Henry, écrit des nouvelles « à l'encre rose » pour consoler les pauvres gens.

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La rébellion de la Grève n'est jamais idéologique, elle répond à une nécessité concrète (la faim, l'injustice, les conditions désastreuses de travail).
"La Grève" s'ouvre sur une citation de Lénine : "L'organisation est la force de la classe ouvrière. Sans l'organisation des masses, le prolétariat est nul" et se termine par "Prolétaire, n'oublie pas !", après une scène de massacre en règle.

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« Jamais un film de fiction ne s'était autant approché d'un opéra. Et les conditions dans lesquelles Sergueï Eisenstein devait travailler font que l'ensemble est encore plus dramatique, plus opératique que la plupart des opéras. La première partie d'Ivan le Terrible fut un grand succès en 1944, notamment au Kremlin. Joseph Staline aimait se reconnaître dans le portrait du tsar "héroïque" Ivan IV. Au départ, il était question d'un triptyque, mais la deuxième partie d'Ivan le terrible, Bojarski Zagovar, plut beaucoup moins au tsar rouge. Le récit ne parle plus de conquêtes et de pacifications mais des nombreuses intrigues et machinations à la cour d'Ivan IV. On ne le dit jamais haut et fort, mais il est clair qu'on vise le régime sanguinaire de Staline au Kremlin.» (Paul Verhoeven)

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Partie plus personnelle de l'auteur

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En 1910, le jeune ouvrier Maxime découvre l'activité révolutionnaire grâce à l'institutrice Natacha. Arrêté, il rencontre en prison un vieux Bolchevik. Il passe dans la clandestinité.

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La vie difficile d'une femme moderne, une journaliste nommée Khokhlova.

Il ne reste qu'un fragment du film, qui pourrait bien avoir été le meilleur de Koulechov.

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Une vendeuse à la sauvette tombe enceinte, le père de l'enfant se met en ménage avec sa voisine. Elle recueille un sans-abri. Les deux couples suivent des chemins divergents.

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HORS DU CHEMIN !

Fin des années 1920. Le Conseil municipal de Tbilissi décide la reconstruction d'un quartier de la ville et ordonne de détruire la vieille église. Mais les couches bourgeoises de la population protestent et tentent de s'opposer à cette décision.

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Réalisé pour le premier anniversaire de la mort de Lénine, un « cinépoème » de montage en trois parties : l'œuvre de Lénine, sa mort, et enfin le récit de l'année écoulée, intitulé : « Lénine est mort, mais sa force est avec nous. »

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Chronique de l'électrification en URSS. Parmi les premiers films sonores.