La Sorcellerie, le satanisme, les sectes et les cultes, tout ça ...

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Je ne savais pas à quoi m'attendre de ce film mais ça a été une super découverte. Il s'agit presque d'un huis clos qui est esthétiquement très travaillée mais sobre, le travail du son est très important également, avec une place importante laissée au silence.
Sans révéler trop l'histoire, une femme qui semble dans une période difficile de sa vie décide de faire appelle à occultiste à fin d'accomplir le rite d'Abramelin permettant d'invoquer son ange gardien. On est super loin de Harry Potter mais incroyablement plus proche de ce que certains ordres occultes du XIXème siècle, comme l'ordre de l'aube dorée ou des gars comme Aleister Crowley, ont tenté de réaliser (le livre d'Abramelin existe réellement par ailleurs si ça peut en intéresser certains). La description du rite est fascinante en soit et la réalité de son exécution passe d'abord par des détails infimes qui laissent le doute planer sur l'existence d'un monde plus mystérieux. Mais le personnage de l'occultiste et son jeu d'acteur est vraiment là pour donner une crédibilité au moindre petit signe. Je ne pense pas avoir spoilé l'intrigue, donc foncez y si le sujet vous intéresse.

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Un des meilleurs films "sérieux" sur la sorcellerie que j'ai pu voir, jusqu'à présent. Visuellement, le film se situe dans la lignée des Gravures de Félicien Rops ou de Hans Baldung et des peintures de Goya, c'est donc pas la joie mais du coup l'obscurité de la mise en scène sers totalement le propos du film où les rigueurs de l'époque poussent une famille à la folie religieuse.

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Pouf, ta femme accouche en Italie mais manque de pot l'enfant est mort né, heureusement un prêtre te propose de récupérer l'enfant d'une femme morte sur la table d'accouchement ni vu ni connu, le hasard fait bien les choses. Mais le hasard est il vraiment là ? Avec un titre comme ça on se doute bien que non et que les prêtres qui refourgues des gamins dans des hôpitaux ont quelque choses de louche.
Ce film figurera bientôt sur ma liste de film qui pousse à détester les gosses.

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La suite de la malédiction, Damien à grandi et son oncle l'a recueilli après la mort de son père à la fin du film. Toute l'histoire tourne autour de Damien qui prend peu à peu conscience de sa véritable nature d'antéchrist. En dehors de ça on reste exactement dans la même lignée que le précédent film. Donc un plutôt bon film sur des américains qui ont peur du diable. Les morts sont toujours aussi drôles (la journaliste et le corbeau, que du plaisir) et les chants grégoriens vénères à base de JESUS CHRISTUS sont toujours là.

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Idem que pour le précédent opus. Ici Damien est adulte et c'est un genre de Macron de la win, riche et plein de succès. Le mec manigance pour devenir ambassadeur en Angleterre afin de être sur place et déglinguer le futur Jésus lors de sa seconde descente sur terre. J'ai peu de choses à rajouter par rapport aux films précédents. Il s'agit d'une des trilogie les plus cohérente à ma connaissance.

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Quatrième film que a surement tenté de relancer sans succès une nouvelle trilogie. Malheureusement le scénario est un peu trop tordu pour le relier au film précédent ce qui rend le tout laborieux. Sans spoiler, le film est clairement la suite directe du troisième opus mais l'ambiance moins noire et la musique avec de faux airs de Danny Elfman lui garantissent un place à part dans la série.

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Il s'agit d'un remake scène par scène du premier film de 76 et présent donc peu d'intérêts. Le seul bon côté à mon avis est la présence de Liev Schreiber que j'apprécie de plus en plus.

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J'en ai déjà parlé dans ma liste sur ma liste de monstres qui bouffent des gens donc je m'étend pas dessus, surtout que l'aspect sorcellerie interviens un peu de manière secondaire dans le film.

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Je ne vais pas ajouter le film le plus récent à cette liste parce qu'il sous entend quand même un peu que la sorcière n'est qu'une sorte d'anorexique capable de voyage temporel et s'attarde moins sur le lore en lui même qui est super intéressant. La première partie du film surtout mérite le détour pour tout ce qu'elle contient de témoignages et de ragots de campagnards sur la sorcière de Blair. Et je le répète encore une fois mais ce film est un vrai écran où chacun peut projeter toutes ses hypothèses quand aux mystères qu'il soulève.

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Faire une suite au premier était très con mais ils ont évité de reprendre le même principe narratif, en partie en tout cas. Donc comment ça se passe concrètement ? On démarre par un panneau nous expliquant qu'il s'agit d'une reconstitution avec des acteurs d’événements réels. Le premier film a eu un grand retentissement médiatique et les touristes affluent pour sur les lieux du tournage pour rechercher des indices, le doute persiste sur l'authenticité ou non du premier film. Dans ce cadre on suit un groupe de caricatures (le mec rigolo, la gothique, la sorcière wanabe, le chercheur un peu chiant...) partis faire une visite guidée dans les bois mais ça tourne mal et un autre groupe de randonneurs est retrouvé mort. Voilà le pitch. En soit qu'on passe d'un found footage à une reconstitution je trouvais l'idée vraiment bonne. Le gros soucis du film c'est que le gars qui l'as fait devait être monteur en chef sur MTV dans les années 90 parce que c'est ça du début à la fin. Donc c'est un peu mystérieux, pas angoissant et assez moche, mais surtout c'est survitaminé. Le film aurait vraiment gagné à avoir une mise en scène plus distancée façon Lake Mungo, d'autant plus qu'il entre très bien dans la mythologie du premier film.

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Le thème de la sorcellerie interviens dans la série des paranormal activity dés cet épisode sur le tard et de manière plutôt surprenante.

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Cet épisode spin off élargie le thème de la sorcellerie et du genre de complot qu'on a pu entrevoir dans l'épisode précédent.

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La conclusion des manigances des mamies sorcières et compagnie avec une vrai fin qui nous laisse penser qu'elles ont réussi leur coup mais on reste vachement dans le flou sur ce qu'elles comptaient obtenir.

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C'est un peu comme Sabrina l'apprentie sorcière avec des élément de Clueless (le film, pas la série) et un peu de Buffy (la série, pas le film).

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Je suis vierge du manga et de l'anime du coup je l'ai vu avec des pote pour être le témoins neutre du film et le sentiment que j'ai eu c'est que tout été rushé comme c'est pas permis, bon je suppose que faire tenir un anime entier en 1h40 doit se faire avec des concessions mais là vas y les raccourcis au forceps.

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Deux copains, par un concours de circonstances plus forcé qu'un enfant de chœur dans un presbytère, réussissent à ouvrir un portail laissant entrer des démons qui foutent la merde dans la maison, mais grâce au livret d'un 45 tours de métal, qui s'avère être un guide satanique, ils réussissent à refouler les petites saloperies. Mais suite à d'autres concours de circonstances Les démons reviennent et le jeune Billy réussira à les buter grâce au pouvoir de l'amitié et à sa fusée thunderbolt. Le film en lui même est un mélange de poltergeist et gremlins mais le mélange ne prend qu'a moitié. Par contre les démons, malgré un design fait à la truelle, sont pas mal animés (parfois il s'agit de mecs en costumes) et sont super bien intégrés dans les décors et ça c'est chouette.

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C'est grosso modo le premier film mais en mieux.

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Un film found footage qui tourne autour de la pierre Philosophale, l'alchimie, Nicolas Flamel et tout ça. Imaginez un mélange entre Sydney Fox l'aventurière et Grave Encounters, le tout à Paris.

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Un autre found footage qui se penche sur des exorcismes.

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Le film ne montre pas de sorcellerie à proprement parler mais en traite malgré tout. Donc dans Carrie on a l'histoire d'une gamine toute déboussolée par son corps qui change, l'éducation ultra catho de sa mère et son rôle de souffre douleur au bahut. Adolescence à chier donc. Mais à tout ce merdier vient s'ajouter des pouvoirs télékinétiques qu'elle ne contrôle pas et qui l'effraient. Malgré tout elle trouve un soutiens chez sa prof de sport.
Carrie est un super film sur l'adolescence et sur la persécution et c'est là qu'on trouve le rapport à la sorcellerie. A la fois à travers le personnage de la mère qui, dans son extrémisme religieux la place à la limite de la sorcière maléfique. Mais c'est surtout la chasse aux sorcières envers Carrie qui est un gros rappel de l'inquisition. L'élément le plus significatif dans tout ça est que Carrie est une victime, ce qu'elle déclenche arrive malgré elle, elle subit sa propre nature autant que le jugement des autres.

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Whaou Tina, c'est la méchante, c'est une meuf tellement cool qu'elle a des photos géantes d'elle au dessus de son plumard !
Carrie, la vengeance est à quelques détails près un copié collé de celui de De Palma mais c'est une relecture assez malheureuse du premier film. En soit le message change du tout au tout, et c'est indiqué dans le titre, puisque Carrie comprend très tôt la nature de ses pouvoir et apprends à la utiliser. On passe donc d'une Carrie paumée et victime qui tue par défense à une Carrie en pleine conscience de ses moyens qui se transforme Phénix Noir pour buter tout le monde par vengeance avant de s'envoler vers l'infini et au delà. En lui même le film n'est pas si mauvais mais la mise en scène et ses clichés le fait passer d'un film sur l'adolescence à un film pour adolescents.

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Vu le synopsis j'avais vraiment peur de voir un nouveau film à chier de possession/satanisme à ajouter sur une pile déjà trop grande. Mais en réalité il a plein de petite qualités qui le rendent sympathiques et un peu à contre courant des productions actuelles sur un thème comparable. Ici on a plus l'impression d'avoir à un film des années 70 ou 80 question retenue dans la mise en scène. Peut être que le faible budget joue pour quelques choses dans le manque d'effets visuels, mais la qualité, plus que la quantité, est là et fait le travail. Pour dire vrai le seul vrai défaut tiens dans le manque d'originalité de l'histoire car le film désamorce beaucoup des éléments qui paraissent clichés dans son premier tiers (les jeunes rebelles sataniques, l'histoire d'amour entre ados, la relation mère/fille). Donc à voir pour qui cherche un petit drame psychologique sans prétention avec un peu de paranormal plutôt qu'un vrai film d'horreur.

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Un docteur reprend la permanence d'un petit village de la côte espagnole où des chevaliers zombies viennent sacrifier une fille tout les soirs.
Le film est clairement une série Z qui cherche à faire comme chez les cousins anglophones (jusqu'à donner aux personnages des noms anglais) mais qui ne fait au final rien de bien intéressant ni d'effrayant (à part la poitrine siliconée de la fille dans l'intro). Les personnages ne sont pas cohérents, leurs réactions disproportionnées ou absentes, au choix. Le déroulement de l'intrigue est des plus classique et les personnages stéréotypés. Et puis merde, les zombies, je veux bien qu'ils soient convaincants mais ils sont hyper lents ! Bien plus que dans le nuit de morts vivants. Du coup on a du mal à les voir comme des dangers, même quand ils arrivent à cheval ils sont filmés au ralentis.
Petit soucis de son aussi, ils ont sûrement dû faire le film pile au moment où on a inventé l'effet de réverb, le monteur son en a tartiné partout comme un taré, le moindre grincement de porte déglingue les tympans c'est dégueulasse.
Il faut aussi parler de Teddy, un genre de Baptou fragile avec la tête d'Elie Kakou qui se fait taper par tout le village et qui flippe tout le temps, surement pour accentuer l'idée que quelque chose ne tourne pas rond ici.

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Il n'y a pas vraiment de sorcellerie à la Harry Potter dans ce film mais le tout tourne autours de notions et de l'histoires de courants ésotériques proches de la wicca et compagnie. C'est assez sympa à voir malgré quelques éléments flous dans le scénario.

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Je ne veux pas spoiler, seulement le gros twist du film implique de la sorcellerie et il est vraiment génial. Super film. Keur keur.

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Un père est son fils, tout les deux médecins légistes, reçoivent un dernier corps à autopsier, malheureusement, celui là n'est pas ce qu'il semble être et d'étranges événement commencent à se manifester. Là je ne souhaite pas spoiler le film je ne dirais rien mais c'est une bonne surprise sur le thème de l'enquête médicale.

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Bah bordel, Adrian Paul a pas eu une carrière fantastique après Highlander. Le film est bizarrement fichu, on a l'impression qu'il a deux réalisateurs qui ont bossé dessus tant certaines scènes sont dissonantes, et différentes. Pourtant ça partais bien et en cours de route ça devient de la grosse chiasse. Pas cool.

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Il ne s'agit pas de sorcellerie à proprement parler mais le déroulement de l'histoire, son contexte et tout ce qui tourne autours