Les 100 films qu'il faut avoir vus... selon Laurent Delmas

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Que dire ? Comment noter ? C'est plus un exercice, un test, un documentaire, qu'un réel film bien loin de nos ambitions et critères actuelles.
Très honnêtement, ça m'a laissé de marbre. Voir des gens sortir d'une usine en silence n'a, avec des yeux actuelle, absolument aucun intérêt. Ce qui en fait son attrait c'est de se rappeler qu'il s'agit du premier film. En ce sens, ça me semble normal qu'il soit cité dans le livre. Il y a finalement à la fin quelque chose de touchant à voir ce petit fragment d'une époque lointaine... Je constate que les chapeaux étaient vraiment à la mode... et j'aime bien le gentil toutou. Mais bon à par ça que dire. Il n'y a rien à dire, juste à découvrir si ce n'est pas déjà fait.

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Vu il y a des années... J'ai à peu près tout oublier. Il faudrait que je le revois mais j'en ai gardé de bons souvenirs. à revoir.

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Vu en classe de Seconde.
Très bonne comédie avec un bon scénario malin. Après je n'ai plus trop de souvenirs... à revoir.

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En lisant le synopsis et vu sa réputation, je m'attendais à quelque chose de plus sombre. Littéralement, limite polar/ déprimant. Pas tant que ça.
J'ai mis un peu de temps avant de bien rentrer dedans, le soucis selon moi c'est que l'intrigue qui concerne plusieurs personnes d'un village se lance vite hors au premier visionnage on découvre les personnages et leurs relations. Du coup d'une certain façon il faut arriver à prendre le train en marche mais en définitive j'ai réussis à attraper les wagon que vers le milieu (à peu près vers l'enterrement). à ce moment là j'étais dedans et suivre cette petite enquête était passionnante et s'est finit assez vite. Les personnages, notamment le médecin, sont peu attachant et sa relation avec l'autre femme en manque d'affection m'a paru un peu rapide. Je trouve que l'idée d'une suspicion générale est très bonne, mais ça irait mieux dans des univers où l'on connait déjà un peu tout le monde (ça irait très bien pour un album d'Asterix par exemple). Et en fin de compte, compte tenu de l'époque, c'est une idée assez habile de faire un parallèle avec le climat suspicieux. J'ai surtout aimé la fin qui laisse une légère ambiguïté (la femme en se vengeant, n'est elle pas un corbeau elle aussi ?), ce qui m'a marqué.
La mise en scène est bonne, et surtout la photographie réeussis, avec pas mal de beau plans. c'est un film qui je trouve à plutôt bien vieillis et se regarde bien. Après, vous l'avez compris, je n'ai pas non plus était à fond dedans.

Du même réalisateur je préfère largement Le salaire de la peur.

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Vu en classe de 6ème, en cour de Français en guise de cadeau de Noël.
Au delà d’échappé au cour, j'ai vraiment beaucoup aimé le film. Je n'en garde que quelques souvenir, mais la poésie, l'alchimie entre les deux personnage et la réussite des effets spéciaux rendent ce conte excellent. J'aimerai le revoir avant de donner une note.

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Je le sentais mal: je n'aime pas les comédies musicale. Et pourtant... j'ai aimé ! Il y a une tel bonne humeur, un scénario intéressant (il faut dire que dès que ça parle du monde du cinéma et du doublage, ça me parle), rythmé et avec quelque jolies chansons. La chanson éponyme notamment. D'autre en revanche m'ont moins marqué voir un peu fatigué. Et dommage que le rythme du film soit soudainement plombé par près de 20min de la mise en image du projet du protagonistes. Bref, un film charmant et amusant ! Et remis dans son contexte, faire le parallèle entre l'arrivé du son au cinéma et ici l'arrivé de la couleur est brillant.

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Grand chef d'oeuvre d'Akira Kurosawa, que dire de plus. Et c'est mérité, même si... je ne sais pas, je ne suis pas non plus fan de ce film. Je vois toute ses qualités, son scénario simple et efficace, ses scènes d'actions courtes et intense, ses cadrage et le personnage de Toshiro Mifune plus fougueux que je ne l'imaginais et le final amère réussis et inattendu. Mais la VOSTFR couplé à la relative longueur (d'autant plus que je l'ai visionné assez tard) font que je ne suis pas non plus complètement rentré à fond dans le film.

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Si je ne dis pas de bétise, j'ai commencé à le regarder à la télé récemment. Mais alors désolé, je ne sais pas si j'avais la tête ailleurs ou juste pas le bon état d'esprit, mais alors j'ai trouvé ça d'un ennuis ! ... j'avais juste envie de faire autre chose et j'ai finit par éteindre la télé après 20-30min sans être rentré dedans. Suivant vaguement l'intrigue, me foutant complètement des personnages et de ce qui pouvait leur arriver, les images me passaient comme ça sous les yeux.
Vu sa réputation il va falloir que je lui laisse une seconde chance. Donc pas de note pour l'instant.

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Le film ne me faisait pas envie, mais connaissant mal le cinéma indiens je me suis dit "aller pourquoi pas". Vu la note vous vous doutez que ça e m'a pas transcendé...
Bon déjà la VOSTFR + le rythme relativement lent ne m'ont pas aider à bien rentré dans le film. D'autant plus que le message est d'autant plus pertinent si l'on connait le contexte de l'époque (monté d'une classe aisé/ riche par rapport à des familles nobles). Le soucis étant que la confrontation passe rarement par l'image ou alors ça ne m'a que peur marqué. Heureusement le drame qui survient au milieu du film à relancé mon intérêt et j'ai par contre beaucoup aimé la fin qui nous faisait ressentir l’angoisse du protagoniste. à cela s'ajoute quelques chanson indou très "dépaysantes", je n'ai donc pas passé un mauvais moment dans ce salon, mais bon voila... ça ne m'a pas transcendé. Je suis passé à côté sauf pour la fin on va dire.

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Un des Hitchcock les plus connu et réputé... J'avais commencé à le regarder il y a des années et franchement je n'avais pas aimé. Peut être que ce soir là je n'était pas dans le bon état d'esprit. Du coup forcément j'avais des appréhensions à tenter une seconde fois. Et bien cette fois, oui je suis rentré dedans et j'ai beaucoup aimé. Une fois l'intrigue mis en place, le mystère qui entoure l'héroïne et la relation de plus en plus rapproché avec John, le protagoniste, captive jusqu'aux deux coups de théâtre qui surviennent vers la fin. Là dessus j'étais surpris de comment le film allait se finir. Et hélas j'ai trouvé le dernier segment plutôt poussif et pouvait être résumé. D'autant plus que la toute fin me divise. D'un côté je trouvé l'idée intéressante (en plus d'être triste/ choquante) mais là façon dont c'est amené est si précipité et à la limite de l'absurde (quand on voit qui est la silhouette...) que ça m'a donné l'impression d'une fin bâclé. La musique de Bernard Herrmann m'a plutôt plus pour les moment plus mélancolique mais ne m'a pas plus emporté que ça et certain plans sont magnifiques (le cimetière, la foret de séquoia), même si l'ensemble a pris un coup de vieux. ça a son charme mais pour moi c'est peut être un peu trop classique/ sage. (mis à par la scène de cauchemar, là aussi autant j'apprécie certain effet, autant d'autre...). Mais oui, c'est très bien mené, les personnages sont attachant avec une psychologie bien travaillé, il se dégage une sorte de poésie et de noirceurs et rien que pour "l'invention" du traveling compensé, il vaut vraiment le coup d'oeil.

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J'ai longtemps pensé que ce film était une grosse comédie façon La guerre des boutons, avec une bande d'enfants enchaînant les bétises.
Au final on ne s’intéresse qu'à l'un d'entre eux, sur sa vie simple mais mouvementé qui dépeint l'origine d'un voyou. J'ai trouvé ça touchant, déjà parsque la confrontation avec l'école et les adultes parle à l'enfant qui est encore en moi, et puis ce plan de fin, après que notre héros est couru pour échapper à la civilisation et son enfermement, se retrouve bloqué et fait un regard caméra d'une tel tristesse, comme pour traduire l’angoisse d'être dans une impasse aussi bien propre que figuré.
Le film reste quand même politiquement correct, le héros se fait à chaque fois punir pour ses actes. Il est ambigu, à la fois sympathique pour son interprétation et anthipatique par certaine de ses actions (fumer, voler...). Sa chutte est bien amené mais d'un autre côté j'ai du mal à la comprendre car sa famille, malgré ses soucis, nous est présenté avec subtilité: tentot sympa (sortie au ciné, confidence), tantot très dur (la mère qui rentre et qui râle, le père qui menace son fils de mentir pour un simple livre...). La musique, surtout une, ajoute un brin de mélancolie à toute cette tranche de vie qui semble viré au cauchemar, rendant ce film encore plus poignant.

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Je sais qu'avec Godard il ne faut pas s'attendre à un film conventionnel. De lui je n'avais vu que A bout de souffle, qui ne me l'avait pas coupé. Le Mépris, lui, m'a laissé... perplexe. Intrigué mais pas vraiment investit, j'ai essayé de m'accroché à quelques détails à défaut de vraiment être avec Michel Picoli et ses déboires avec la somptueuse et mignonne Brigitte Bardo. Le sujet est intéressant, l'univers du cinéma et les questions autour de l'Odyssey me parlent, les plans qui se succèdent avec la magnifique musique de George Delarue et quelques répliques confèrent un soudain moment de grâce. Enfin, le cadre et les paysages de Capri rendent l'ensemble tout à fait agréable à regarder. Quelque plans bien pensé m'ont plu (Michel et Brigitte chacun très bord cadre, à la limite d'en sortir, et un "mur" les sépare illustre à merveille leur séparation). Mais entre le son de mauvaise qualité, la relative vacuité du scénario et sa simplicité, mais surtout cet espèce de détachement vis à vis de ses comédiens qui évoluent dans le cadre et parle presque dans le vide m'ont empêché d'avoir une total empathie et donc un investissement dans ce film qui m'a partiellement fait décrocher. J'y vois bien le côté iconoclaste de son réalisateur, mais il n'a pas suffit à me toucher ou me séduire. Aucun mépris, juste un peu d'ennuis...

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Je vois bien où le film veut en venir, et je l'ai même bien ressentis à la fin. La fin d'une époque, et d'une certain classe... oui mais bon, la politique ce n'est vraiment pas mon truc. De plus ne connaissant pas l'histoire de l'Italie, j'étais largué pendant une bonne partie du film, essayant de comprendre où était le soucis qui tracassait les personnages. Au final je suis resté très perplexe devant ce film qui, couplé à sa longueurs, a finit par m'ennuyer...
Dommage car la mis en scène est très bonne, et les décors comme la photographie sont somptueux, il y a parfois presque l'impression de voir des tableaux. Les acteurs sont excellent et certain dialogue sont vraiment bon et donnent matière à réfléchir sur le monde et ces personnages. En ce sens j'ai déjà bien aimé la tout fin où l'on ressent progressivement la mélancolie du "guépard"... M'enfin bon, ça ne m'a globalement pas spécialement plus en dépits que oui, c'est un grand film historique.

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Chef d'oeuvre de la SF, et il le mérite. Malgré une partie sur la Lune un peu trop lente à mon gout, le reste est excellent. L'idée du monolithe, l'intense survie des hommes contre le vide de l'espace et la domination de la machine, puis le point d'orge à la fin complètement psychédélique et abstrait. Hélas, la lecture du roman la démystifie un peu, puisque mettant des mots précis sur des images et un montage qui laissent à interprétation. Évidement, très réussi pour son époque au niveau des effets spéciaux, bref, pas mon film de SF préfère, mais assurément un de mes préférés de Kubrick.

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Des quelques films que j'ai vu de ce réalisateur, c'est sans doute un de mes préféré avec Le Samouraï. L'ambiance pesante et austère que l'on retrouve dans ses films fonctionne à merveille une fois encore, en plus de parfaitement coller aux sujet. En fin de compte c'est plus une histoire qui présente les (més)aventures d'un groupe de résistant, qu'une grande intrigue linéaire. Ce qui du coup permet au récits de surprendre (on peut s'attendre à une grande scène d’infiltration dans la prison à la fin mais il n'en est rien, Melville déjoue les attentes du spectateur et forcément cela déçois au même titre que les personnages qui sont contrarié). Le film est donc ponctué de plein de moment fort (la scène d’exécution au début... glaçante) comme le serait plein d’anecdote sur ces temps difficile. Un film important pour ce qu'il raconte, forcément. Mais j'ai un peu de mal à accrocher à ce genre de récit qui semble rebondir sur des péripéties, ce qui fait que mon intérêt est parfois retombé en plus de me laisser quelque fois sur ma faim. Mais un film aussi prenant que poignant, très bon.

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L'ambiance de solitude et le désespoir que ressent De Niro dans ce film est superbement retranscrit dans ce New York de nuit, avec à la composition un excellent thème jazzy de Bernard Herrmann qui renforce ce coté "maussade/ nostalgique". L’espoir qu'incarne la femme d'un tout autre milieux rend d'une certaine façon la romance poignante. Puis le dernier quart du film prend une autre tournure qui pourrait faire l'objet d'un film à lui tout seul, d'ailleurs je pensais que Taxi Driver parlait surtout de ça à la base. Du coup, je suis presque déçus que ses envies de justicier ne soit pas plus développé, mais la réalité le rattrape bien vite, ou alors est-ce ses songes ? La fin un brin énigmatique laisse songeur... Un film à l'ambiance réussis et dont le scénario simple mais pas basique m'a captivé de bout en bout.

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Film passionnant et pesant, portant un autre point de vu sur la rafle de 1942. L'on suit Mr Klein, joué par Delon, à la recherche d'un autre Mr. Klein, sans jamais nous le montrer, permettant de donné une enquête personnelle où le héros comme le spectateur sont pris de doutes. Peu de musiques, ou alors quand il y en a c'est pour rendre l'ensemble plus pesant. Les quelque traits d'humour du héros permet au film d'apporter un peu de nuance et de ne pas sombrer dans un pessimisme total, la fin étant particulièrement sinistre, évidement vu le sujet traité. Enfin pas mal de beaux rôles, Delon derrière sa stature imposante montre un visage pris de doute, et Michael Lonsdale toujours en apparence blasé joue une ordure tout en nuance. J'ai été marqué, excellent film.

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J'ai longtemps eut peur de Alien. Pensant qu'il s'agissait d'un énième film d'horreur qui avait marqué les esprit uniquement pour son inventive créature. Pourtant, j'ai pris mon courage et bravé les 2-3 petit jumpscare, pour découvrir un film passionnant de bout en bout. Une histoire en deux grande parties, permettant de développer les personnage puis relancer l'intrigue, menace multiple, ambiance oppressante et mystérieuses, design inventif. Bref, j'ai été pris au tripes, heureusement pas de Xenomorphe. Son originalité , la réussite de son scénario aussi bien écrit qu’exécuté et le fait qu'il soit le premier, en font pour moi le meilleur de la saga.

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Souvent entendu parlé, je ne savais pourtant pas de quoi ça allait parler mis à part du Vietnam. Moi et les films de guerre... bof... mais justement, ce n'est pas un film sur la guerre ! Et c'est en partie ce qui m'a plu. Au delà de la mise en scène de coppola splendide, magnifiant l'horreur (l'intro avec les palmiers qui brûlent au ralentis avec The End par dessus) comme rendant certain passage absurde (la fête qui part en vrille, les soldats qui partent faire du surf), il se dégage une sorte de folie irréel du film, évitant un côté trop brut et donc trop froid/ sinistre. Mais surtout l'histoire, si elle démarre de façon classique, flirte en quelques sorte avec l'aventure et l'espionnage, puisque le héros joué par Martin Sheen part à la recherche du fameux colonel Kurtz porté disparu mis à par qu'il serait le chef d'une tribu de fanatique. Superbe idée de nous révéler la psychologie de l'antagoniste indirectement au compte goutte par le biais d'extrait, renforçant une sorte de menace mystérieuse. Pris par l'ambiance et l'intrigue, par les moyen mis en oeuvre, avec des scènes choques (la mort d'un des soldat peu après avoir reçu un courrier de sa famille) et pertinente (le discourt sur la guerre lors du repas avec les français, bien que je trouve cette discussion un brin maladroite). Bref, excellent film !

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Un grand classique de Spielberg, mais personnellement j'aurai mis Jurassic Park. J'ai vu la nouvelle version, mais le film reste toujours aussi touchant et pertinent. Le fait de "cacher" les adultes pendant plus de la moitié du film, à l'exception de la mère, confère au film une vision intéressante sur l'enfance. Au delà de ça c'est un scénario simple mais original et très bien raconté. Sa photographie excellente (notamment les scènes au crépuscule), l'aspect crédible d'E.T et la musique de John William (pas sa plus mémorable je trouve) en font une réussite technique.

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Pas le Leone que je préfère mais certainement un de ces meilleurs. Mon préféré de sa trilogie Il était un fois... En deux grosses parties, dont la première nécessaire pour comprendre et ressentir toute la nostalgie de l'amitié perdu entre Noodle et Max. La bande son d'Ennio Morricone une fois de plus sublime la mise en scène, allant de paire avec cette nostalgie et cette mélancolie. Peu d'action, mais quelques scènes tendu pour une histoire néanmoins intéressante à suivre alors que les films de mafieux ce n'est pas trop mon truc. Mis en perspective dans sa trilogie, on voit alors l'évolution des Etats Unis avec à chaque film la fin d'un mythe, ici la mafia du temps de la prohibition. Très long, mais du coup encore plus fort, un film testament qui en devient encore plus touchant.

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J'ai progressivement apprécié ce film. Intrigué par le début, je me suis vite ennuyé par ce frère mutique et l'autre sur les nerfs dans un début qui paradoxalement n'avance pas en plus d'être servis par une VF un peu moyenne. Mais plus l'histoire avançait et plus j'ai été intéressé et touché par cette relation entre une famille "brisé" et un père absent qui essaye de s'expliquer. Tout le segment Road movie est très sympa, et le dénouement, bien que long, m'a beaucoup touché. Le film se finissant alors sur une note douce amère... Je ne suis pas fan de ce genre d'histoire de famille, mais passé les très belles couleurs, panoramas et le début original (un frère perdu ressort de nul par), on est finalement dans une énième histoire de famille touchante. J'ai donc aimé, et été plutôt agréablement surpris.

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Aillant découvert récemment les films des frère Coen, j'étais bien curieux de regarder ce film sur un scénariste mis à mal par l’angoisse de la page blanche et gêné par divers événement impromptu.
Bah je m'attendais un peu à autre chose, à un héros pris de névrose, s'enfonçant de plus en plus dans la folie... et au final non. J'ai beaucoup aimé la performance des acteurs, les personnages sont réussis et je savourais les réaction incongrus du directeur de Capitol Picturs. Néanmoins j'ai trouvé quelques longueurs (tout les passages avec l'écrivain ivre...) et la fin du film (sa dernière grosse demis heure) ma vraiment laissé sur ma faim, ne comprenant pas où les scénariste voulait en venir avec ces histoires de tueur et la mort inattendu d'un des personnage. La fin tombe un peu à plat, soit, mais du coup j'en ressort un peu déçu... Reste donc une belle galerie de personnage, une histoire bien mené et une très belle photographie qui nous fait ressentir la crasse de l'hôtel.

Personnellement j'ai préféré d'autre films des Coen, j'aurai mis Fargo ou O'Brother.

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Je ne m'attendais par un film sur un triangle amoureux. Mais comme quoi, avec un sujet aussi simple et vu et revu peut accoucher d'excellent film. Notamment grâce à son cadre et son ambiance. Le choix de la nouvelle Zélande apporte de super décors et un cachet exotique au film. Cela permet d'ailleurs de recentrer les relations entre les personne, comme perdu dans une jungle. La bande son de Michael Nyman (qui m'avait déjà donné envie de m’intéresse au film) est splendide. Des musiques mémorables, mélancoliques, s’adaptant à merveille aux scènes. Enfin, les personnages sont bien écrit et lévolution de l'héroïne la rend touchante et aboutis à un climax déchirant. La toute fin d'ailleurs, un brin énigmatique (on peut interpréter ça comme un rêve) permet d'éviter un happy end trop plan plan. Le film est juste dans les sentiments et la relation des personnages, montrant la difficulté d'un amour impossible et de la cohabitation, surtout dans un pays qui n'est pas familier.
Un film beau et fort qui m'a touché.

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Un excellent film, qui m'a beaucoup marqué de par son esthétique et ses idées. Le concept de la matrice m'a autant effrayé que perturbé plus jeune, mais l'idée est excellente et l'histoire invite à réfléchir. De l'action innovante pour l'époque, un univers effrayant et fascinant au service d'une intrigue bien menée, seul le coté sombre/ morne de l'ambiance me repousse mais pour le reste j'adhère. J'aime moins ses suites (le 2 un peu trop bavard/ mou, le 3 trop "bourrin") sauf le très sympa Animatrix hélas méconnu.

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Un film qui ne laisse pas indifférent et en ce sens je l'ai trouvé intéressant. Avec sa narration nébuleuse, le film porte bien son nom car si Mulhollande Drive est une route, suite à l'accident l'on se perd en chemin et l'on dévit d'une ligne directrice clair. Si les 3/4 du film on une forme de logique, David Lynch brouille les pistes sur la fin, permettant à chacun(e) de se faire son interprétation. Intéressant mais cela me parait vain car il y a des indices pour générer (in)consciemment des liens entre les scènes alors que dans l'absolut le film n'en a pas vraiment (ou alors il y en a un mais je suis très bête et je n'ai vraiment rien compris). J'ai cependant aimé l'ambiance de rêve (l'absence de lien entre certaine scène) et de cauchemar (le visage horrible, le cadavre sur le lit).
Au final je ne sais pas trop quoi en penser... J'ai à peu près aimé mais je ne suis pas client de ce genre d'oeuvre un peu non conventionnel qui laisse sujet à interprétation.
Sinon j'ai bien aimé les actrices, et je ne dis pas ça que pour les scènes intimes.

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J'ai bien aimé ! ... mais pas adoré. Je ne suis déjà pas un fana de sport et tout ce qui tourne autour, quand bien même le film met plus l'emphase sur ses personnages et la relation paternel entre Eastwood et son élève... Le film prend une tournure dramatique et inattendu à la seconde moitié du film, chose à la quel je ne m'y attendais pas du tout.
Le film devient alors encore plus poignant et sort du lot dans son genre, je trouve. C'est d'ailleurs pour ça que je lui ai mis 8 et pas 7, car dans l'absolut je n'ai pas non plus follement adoré. Mais très bon film, touchant sans tomber dans le pataud larmoyant et une jolie leçon de vie tout en restant humble. La mise en scène reste efficace, rien de bien sensass à signaler ou qui m'ait marqué.

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Typiquement le genre de film cannois/ film d'auteur en noir et blanc polonais lent et sombre. Mais franchement... j'ai trouvé ça pas mal ! Surtout au début, l'intrigue s’installe, on voit le village évoluer au fils de l'année, on s'attache aux personnages et une ambiance tendu plane sur le village. Et c'est tout. Pas vraiment d'évolution, on s’intéresse finalement aux histoire d'un peu tout le monde (le prof, le groupe d'enfant, le médecins...) avec quelque moment sombre très bien réalisé avec une certaine sobriété ou violence verbale. Mais bon, l'histoire m'a un peu ennuyé sur la fin, et le message comme quoi l'on voit les germe de la seconde guerre mondial m'est complètement passé par dessus de la tête... L'ambiance est intéressante et les histoire plus ou moins poignantes.

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Vu en 3D à l'époque. Je n'avais pas compris tout le tintamarre que l'on a faits avant sa sortie. Connaissant mieux la biographie de Cameron, je comprend qu'après 10 ans d'attente, surtout après Titanic, on puice attendre son nouveau film au tournant. Bah je l'ai bien aimé Avatar, bien rythmé, bien raconté, touchant et divertissant. Surtout l'idée de l'avatar même, qui peut faire un parallèle avec le jeu vidéo, donne une véritable originalité dans cette histoire, il est vrai, plutôt classique.
Par contre niveau effet spéciaux, certes c'est très beau, mais je ne comprend pas où sont les révolutions là dedans. C'est quand même à cause de ce film qu'on a eut cette mode infernal des films en 3D !
Bref, je le trouve quand même un peu surcoté, mais je n'irai pas jusqu'à le descendre non plus. Bon film de SF, pas mon préféré de Cameron. (à revoir)