Cover Les 20 jeux vidéos qui m'ont marqué

Les 20 jeux vidéos qui m'ont marqué

Mon expérience du jeux vidéos s'est malheureusement amoindri durant les années, mais je garde de grands souvenirs. Ce top est évidemment subjectif comme l'est indiqué ce titre, et n'est sans doute pas définitif par les nombreux jeux que je souhaite faire, mais toujours pas faits par manque de ...

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Liste de

20 jeux vidéo

créee il y a plus de 3 ans · modifiée il y a plus de 3 ans

Final Fantasy IX
8.3
1.

Final Fantasy IX (2000)

Sortie : 16 février 2001 (France). RPG

Jeu sur PlayStation, PlayStation 3, PlayStation 4, PC, Nintendo Switch, Xbox One, PSP, PS Vita, iPhone, iPad, Android

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Le jeu de mon enfance, je ne peux absolument pas revendiquer une objectivité. Je l'ai refait il y a peine 3 ans, et je n'ai toujours pas changé d'avis. Ce jeu est le parfait résumé de toute l'univers de SquareSoft, en combinant à la fois l'argument de vente de la société qui est l'univers fantaisiste, et le renouveau des deux précédents opus. Il dénote de Final Fantasy VII et le VIII par le souhait de renouveler à l'ambiance steampunk et médieval de Final Fantasy VI et de ceux qui lui précédait. Pourtant, il ne souhaite pas oublier ce qu'ont apporté le VII et le VIII à l'univers que ce soit en termes de gameplay, d'ambiances sombres (qui ne correspond pas à la totalité du jeu), et un développement de l'histoire à la limite du cinéma par les cinématiques proposées. Je me souviens parfaitement de l'introduction du jeu où nous comprenons que l'aspect théâtral des personnages est importante par le jeu d'apparence. Djidane qui semble être le héro au grand cœur capable de faire face à tous les dangers avec un grand sourire, finit par perdre espoir et de ne plus croire en lui et à ses capacités. La princesse Grenat paraissant fragile, est en réalité courageuse prête à s'enfuir de la domination de sa mère, et prête à défendre ses amis quoi qu'il en coûte avec le même niveau de courage que le héro. Les autres personnages font également appel à ce principe que ce soit Bibi, le petit fragile possédant une grande puissance, le chevalier Steiner paraissant ridicule et le souffre douleur du royaume finit par obtenir une reconnaissance par sa supérieure hiérarchique pour ses exploits au combat, et même les ennemis ne sont pas simplement méchants. J'aime énormément Kuja qui finit par prendre Djidane comme son égal malgré la cruauté qu'il a pu faire auparavant. L'intérêt de cette histoire est de montrer que même les petites choses peuvent faire vaciller ceux qui sont plus grands qu'eux.

Chrono Trigger
8.6
2.

Chrono Trigger (1995)

Sortie : 11 mars 1995. RPG

Jeu sur Super Nintendo, Wii

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

J-rpg que j'ai pu découvrir très récemment, je suis tellement dégouté de ne pas avoir pu y jouer bien avant car c'est selon moi un chef d'œuvre de ce genre. Il n'a absolument pas vieilli que ce soit niveau gameplay ou histoire par la complexité des deux. Cette richesse de ces deux éléments pourrait se résumer par le fait qu'on a une production de Squaresoft c'est-à-dire la série des Final Fantasy, et de Enix c'est-à-dire la série des Dragon Quest. Sans parler d'Akira Toriyama qui a déjà designé les Dragon Quest, et qui s'occupe également de la même tâche ici. Ce qui nous donne un jeux faisant preuve d'une beauté visuelle excellente pour l'époque, une bande son mémorable (Notamment le Thème de Frog), et un univers complexe par l'utilisation du voyage dans le temps. L'histoire paraît tangible car chaque personnage, si il est dans l'équipe au moment de jouer, aura un dialogue particulier en fonction des personnages qui l'accompagnent, et de la situation qu'ils font face.

Grandia
7.9
3.

Grandia (1997)

Sortie : 31 mars 2000 (France). RPG

Jeu sur PlayStation, Saturn, PlayStation 3, PS Vita, PSP

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Tout comme Final Fantasy IX, jeu de l'enfance donc zéro objectivité, et je l'ai refait, je constate toujours son efficacité. Comme ses compères, il fait preuve d'un travail dans l'histoire, le gameplay, et la bande son. Je me souviens encore du générique qui précède le menu du jeu, où nous savons que nous sommes là pour partir à l'aventure, sans forcément possibilité de revenir à la maison. Les personnages sont tangibles par leurs écritures où on ressent une évolution de caractère. Le personnage principal Justin, caractéristique du héro partant à l'aventure, se durcit en comprenant qu'il risque de faire face à quelque chose qui le dépasse. Son amie d'enfance, Sue, qui part du même principe que Justin mais à la différence ne peut pas devenir plus forte à cause de son âge, et la tristesse de la voir partir nous fait regretter en tant que joueur de ne pas pouvoir la rendre plus forte pour cette aventure. Le premier personnage rencontré au cours de l'aventure, Feena, a quand à elle déjà prouvée ses capacités, mais elle finit par faire face à ses limites en voyant la ténacité de Justin, et devient comme le spectateur fasciné par ses convictions. Ce jeu est donc un récit qui cherche à nous faire passer de notre statut d'enfant à l'adulte faisant face à ses responsabilités.

Shadow of the Colossus
8.4
4.

Shadow of the Colossus (2005)

Wanda to Kyozō

Sortie : 15 février 2006 (France). Action-Aventure

Jeu sur PlayStation 2, PlayStation 3

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Sans aucun doute, l'un des œuvres les plus citées comme la définition elle-même d'art du jeux-vidéos, ce jeu fait parti selon moi de ceux dont on ne peut pas voler ce titre. L'histoire simple au premier abord, nous fait comprendre notre statut de joueur qui est le seul à prendre des décisions, et qui va devoir agir sans pour autant le vouloir. En effet, notre but est de terrasser seize titans afin de ramener à la vie un être qui nous est chère. Cependant, ces titans sont majestueux par leur immensité et leurs caractères uniques, sacrés et mythologique, et lorsque l'on est spectateur, nous souhaitons juste observer pas les tuer, mais le récit nous imposant un choix, on finit par le regretter. Le gameplay est excellent, on a une réelle impression de basculer à chaque fois que l'on est sur un des titans qu'on est entrain d'affronter, notamment ceux qui peuvent voler, nous rappelant que nous sommes infiniment petit, et nous devons faire preuve d'ingéniosité en comprenant comment atteindre leurs points faibles. C'est donc un récit qui se rapproche de David contre Golliath.

Red Dead Redemption
8.2
5.

Red Dead Redemption (2010)

Sortie : 21 mai 2010 (France). Action-Aventure

Jeu sur PlayStation 3, Xbox 360, PlayStation 4, Nintendo Switch, PlayStation 5

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Alors, j'ai mis ce jeu, non pas pour son gameplay qui n'est pas si intéressant que ça par recule malgré ce qu'il nous permet de ressentir, je l'ai placé si haut pour le récit qui me plaît pour mon plaisir cinéphilique, puisque Rockstar s'inspire de nombreux classiques du genre du Western dont un qui me vient en tête instinctivement soit La Horde Sauvage de Sam Peckinpah, traitant du même sujet, la similitude des personnages notamment du nom, et l'aspect crasseux et mortifère des deux œuvres. John Marston est l'un de mes personnages préférés par le développement qu'il possède, et par le fait qu'on commence dans le fil de l'histoire, et qu'on a donc un avant histoire, rendant tangible ce que nous voyons. De même, j'aime énormément la position que nous avons, où nous dévoilons au fur et à mesure le passé de la bande de Dutch Van Der Linde. Ce dernier est extrêmement intéressant par le développement, qui sera aussi peaufiné dans Red Dead Redemption II, qui traite de l'histoire de la bande avant que Marston décide de capturer ses anciens compagnons, et reprenant une réplique de Dutch où nous avons en face de nous un monstre au cœur d'or, conscient de sa nature contradictoire. Je n'en dévoile pas plus, car le récit doit être découvert, et je vous l'avoue que je me retiens très fort pour ne pas parler d'une scène qui m'a marqué par son intensité et son dénouement.

The Legend of Zelda: The Wind Waker
8.3
6.

The Legend of Zelda: The Wind Waker (2002)

Zelda no Densetsu: Kaze no Takuto

Sortie : 3 mai 2003 (France). Action-Aventure

Jeu sur GameCube

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Enfin un jeu où je vais pouvoir parler de gamedesign et de gameplay, puisque la série des Zelda possède des jeux les plus riches en évolution de gameplay et d'univers, évidemment on ne compte pas ceux de Philips CDI. Or on remarque que ce soit pour A Link to the Past ou encore Twilight Princess, une recherche au niveau des décors, des énigmes, et du gameplay, et ici le jeu ne fait pas exception. Le cel-shalding participe à l'aspect onirique de l'aventure, et reviens à un aspect graphique ressemblant à Zelda A Link to the Past, et contraste avec l'aspect réaliste de Zelda Ocarina Of Time. Le jeu accumule les mêmes qualités de ses prédécesseurs comme la musique, le bruitage, ou même le rythme d'exploration (Malgré qu'on peut critiquer le passage qui a énervé tous les joueurs c'est-à-dire la recherche des morceaux de la tri-force, même si cela ne me dérange pas plus au départ, mais ennuyant à force). Parallèlement, je le met comme mon Zelda préféré car il nous présente une idée d'univers intéressant, et surtout le personnage de Ganondorf est minutieusement bien traité, non pas comme un méchant souhaitant juste se venger. Là, il souhaite retrouver sa gloire passé, et sa terre natale enseveli par l'océan. Donc, ce n'est pas un épisode à oublier bien au contraire, puisque Zelda Breath of the Wild semble s'inspirer de la pâte graphique de Wind Waker, tout en proposant autre chose.

Beyond Good & Evil
7.9
7.

Beyond Good & Evil (2003)

Sortie : 14 novembre 2003 (France). Action, Aventure, Action-Aventure

Jeu sur PlayStation 2, Xbox, PC, GameCube

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Premier jeu français de ce top, conçu par Michel Ancel, celui qui donnera Rayman, nous avons ici un pure jeu de Science-fiction dystopique, où la crasse et la mécanique donne un aspect steampunk à l'histoire. Ce que je peux apprécier dans ce jeu est tout simplement l'exploration où nous sommes dans la même position du personnage, Jade, photojournaliste où le but est de découvrir la vérité de l'armée contrôlant la population. Les graphismes des visages, ou encore de l'animation des corps sont extrêmement travaillés, et très bien accompagnés par l'écriture où nous avons une énorme sympathie pour ce que vivent les personnages et les risques qu'ils prennent. J'espère que la suite va pouvoir sortir dans les meilleures conditions, et qu'il va développer son univers tout en gardant la saveur du premier.

Kingdom Hearts II
8.1
8.

Kingdom Hearts II (2005)

Sortie : 29 septembre 2006 (France). Action, RPG

Jeu sur PlayStation 2

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Je vous l'avoue que j'étais méfiant vis à vis de la série Kingdom Hearts, le postulat de base de fusionner à la fois l'univers de Final Fantasy et celui de Disney, mis à part proposer une histoire tarabiscotée, je ne savais où est-ce qu'ils voulaient en venir. Cependant, le résultat est bien amené dans le premier titre, et également dans celui-ci où l'histoire est développée, nous demandant de faire preuve de compassion à l'égard des personnages, mêmes ceux n'existants plus réellement. Le fait de nous introduire à un personnage se nommant Roxas, au lieu de notre héro traditionnel, expliqué dans Chains of memories, il me semble, est ici super bien traité car j'ai énormément de peine lorsque le personnage fait face à une vérité, ressemblant à une thématique très Philip K Dick, que son monde n'existe pas, mais créé artificiellement pour ramener Sora en vie. Nous n'avons pas le choix, et il le comprend malheureusement. Dans le traitement des univers de Disney, l'histoire poursuit cette même recherche d'évocation, où chaque monde correspond à une difficulté, à un mal-être ou autres choses tourmentant le héro et devant le résoudre pour poursuivre son récit. Ce que j'aime énormément ici comme les autres titres de la franchise, exceptée Kingdom Hearts III malgré de bonne intention, c'est le traitement des combats qui est de plus en plus dynamique au fur et à mesure qu'on découvre des ennemies plus forts que nous. Je me souviens d'un combat que j'ai dû refaire une vingtaine de fois, c'est celui face à Roxas, qui m'a balayé un nombre incalculable de fois.

Sly 2 : Association de voleurs
7.7
9.

Sly 2 : Association de voleurs (2004)

Sly 2: Band of Thieves

Sortie : 27 octobre 2004 (France). Plateforme

Jeu sur PlayStation 2, PlayStation 3, PS Vita

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Parmi Ratchet et Clank, et Jack and Daxter, il y a la série des Sly Cooper, que j'ai voulu refaire plusieurs fois pour l'ambiance noir et jazzy de l'univers. Le premier opus posait la barre assez haute pour sa difficulté immense, où le rythme était d'une importance capitale, redéfinissant le terme de jeux de plateforme. Cependant, l'équipe ayant produit le un, a voulu agrandir l'espace d'exploration donnant l'impression d'être voleur devant réaliser un coup sans être pris. Sans doute, certains pourront me dire à juste titre, que l'aspect jeu de plateforme est dénigré, cassant la difficulté du premier. Pour moi, il contrebalance par plusieurs autres mécaniques de gameplay, et il enrichit les personnages donnant l'impression qu'on les rend plus fort par l'acquisition de nouvelles techniques. Je vous l'avoue que j'aime énormément quand les personnages risquent gros, et ici la menace du retour de Clockwerk me touche particulièrement pour ce qu'il évoque au personnage principal, et pour ce qu'il ferra subir à lui et ses compagnons. L'enrichissement des caractères, des dialogues, et de l'univers me plaisent, et l'aspect impressionniste à la limite du cel-shalding me transporte au sein de cette bande de voleur.

Blade Runner
8
10.

Blade Runner (1997)

Sortie : 14 novembre 1997. Aventure, Point’n’click

Jeu sur PC

CinéphileduCoin a mis 9/10.

Annotation :

Etant un immense fan des Androïdes rêvent-ils de Moutons Mécaniques de Philip K Dick, et de Blade Runner, le film de Ridley Scott, je devais forcément croiser le chemin du point and click adapté de l'univers du film, poursuivant les thématiques de l'auteur de Science-fiction. Or on remarque que l'équipe de développement fut méticuleux à la fois sur la manière dont le joueur va avoir dans ses relations avec les autres personnages, et dans son envie spécifique de faire évoluer le personnage, et également dans le respect de l'ambiance d'origine. Pour ce qui est du premier cas, nous pouvons se comporter comme on le souhaite en rendant plus humain ou plus antipathique notre personnage principal, puisque le choix de tuer ou non des réplicants va nous obliger à prendre le pas sur ce que nous visionnons de la nature humaine. Pour le second cas, de nombreux décors, de séquences, ou même de personnages issues du film vont réapparaître nous replongeant dans l'ambiance du film qui nous faisait preuve d'une grande mélancolie, et d'un mal de vivre profond. Ce jeu est donc pour ceux qui ont énormément aimé le film.

Final Fantasy VII
8.4
11.

Final Fantasy VII (1997)

Fainaru Fantajī Sebun

Sortie : 14 novembre 1997 (France). RPG

Jeu sur PlayStation, PC, PSP, PlayStation 3, PlayStation 4, PS Vita, Nintendo Switch, Xbox One

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Je l'ai placé dans mon top, non pas pour le fait que ce soit une figure mythique du jeux vidéos, mais plutôt parce qu'il a tout de suite fonctionné sur moi. Je suis extrêmement sensible, lorsque l'on traite des thèmes issus de la Science-Fiction, mais avant d'aborder les points positifs, nous allons constater d'une chose c'est-à-dire le jeu est moche, mais même moche pour l'époque. L'aspect playmobile des personnages peuvent grandement gêner lorsque l'on suit l'histoire par le fait qu'on n'ait pas accès à des caractéristiques propres aux personnages. D'après certaines critiques, les cinématiques ont mal vieilli à cause des mouvements très robotiques, mais je n'en prend pas en compte par le fait que la nature symbolique de l'image garde son sens, et n'est pas dénaturé par le temps. Chaque image présente un décor magnifique, ou l'atrocité de l'événement qu'on voit, malgré les problèmes techniques. De même, ce Final Fantasy est important, car il essaye d'aborder des thèmes assez forts sur la protection de la nature, sur la domination des grandes entreprises sur la vie humaine, ou encore sur la détérioration de la société. C'est un jeu qui reste fort malgré l'âge, mais que je peux comprendre qu'on n'y joue plus.

Ratchet & Clank 2
7.6
12.

Ratchet & Clank 2 (2003)

Ratchet & Clank: Going Commando

Sortie : 19 novembre 2003 (France). Plateforme, Action

Jeu sur PlayStation 2, PlayStation 3, PS Vita

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

La série des Ratchet and Clank est juste excellente que ce soit le premier introduisant un univers burlesque de Science-fiction, celui nommé Opération Destruction complexifiant les confrontations, A Crack in Time qui va chercher à comprendre les personnages et rendre tangible nos deux héros qui nous étaient déjà chers, ou enfin le sorte de Reboot de la saga qui va pouvoir redonner un élan de fraicheur dans le gameplay, et transmettre le plaisir de jeu à une nouvelle génération. J'ai mis le second épisode parce que j'avais aimé l'ambiance plus sombre ou froide par rapport au premier, et j'avais aimé la manière qu'ils avaient eu de rendre difficile les séquences de combats. Cependant, je garde énormément dans mon estime les autres épisodes qui ont tous un cachet unique qui se différencie des autres.

Batman: Arkham City
7.9
13.

Batman: Arkham City (2011)

Sortie : 20 octobre 2011 (France). Action-Aventure, Beat'em up, Infiltration

Jeu sur PlayStation 3, Xbox 360, PC, Mac, PlayStation 4, Xbox One

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Comme pour beaucoup de personnes, et ça ne va pas être une surprise, je suis un grand fan de l'univers de Batman par le fait que ce soit le seul super-héros dont je peux m'inquiéter de son sort par le fait qu'il n'est pas de super pouvoir, et également pour les méchants qu'il affronte entretenant une relation inconsciente et malsaine avec eux. The Killing Joke, Batman The Dark Knight Returns, ou encore l'Asile d'Arkham résument parfaitement ce que j'aime, Batman crée ses propres ennemis, sans doute ils ne seraient pas là sans lui. Or la série Arkham va dans ce sens en développant la psychologie des personnages, les rendant ambigus. Batman Arkham Asylum est le premier que j'ai testé, et j'ai été pris instinctivement dans l'univers nous plongeant comme son héro au près des fous de l'asile. Cependant, j'ai préféré mettre le second épisode qui a corrigé les problèmes de son prédécesseur, comme le fait que la map soit vivante par le nombre de personnages qui grouillent ou encore qu'on puisse entendre leurs conversations, l'exploration qui est plus perfectionnée, ou encore les compétences à accumuler qui permettent cette fois ci de complexifier le gameplay. Les combats de Boss sont ici impressionnants car on a l'impression d'affronter de véritables colosses, nous mettant réellement à la position du personnage, un héro sans pouvoir.

Jak and Daxter: The Precursor Legacy
7.5
14.

Jak and Daxter: The Precursor Legacy (2001)

Sortie : 14 décembre 2001 (France). Plateforme, Aventure

Jeu sur PlayStation 4, PS Vita, PlayStation 3, PlayStation 2

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Jeu de plateforme et d'exploration, j'aime beaucoup ce jeu qui ne révolutionne pas le genre c'est vrai puisque c'est dans la lignée de Crash Bandicoot ou même de Mario 64, mais je l'apprécie pour l'univers, le gameplay, et le design des personnages. On a un libre choix de où on souhaite parcourir la map. Je n'ai pas forcément grand chose à raconter mis à part que j'ai eu une très bonne expérience de jeu avec ce titre, et que je n'ai pas retrouvé dans sa suite, où je n'ai pas compris la décision de rendre l'univers plus sombre, peut-être dû à la difficulté de raconter une histoire poursuivant le premier.

The Last of Us
8.4
15.

The Last of Us (2013)

Sortie : 14 juin 2013. Action-Aventure, Survival horror

Jeu sur PlayStation 3

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Jeu Post-Apocalyptique que je n'ai pas forcément besoin de repréciser l'histoire, puisqu'il a été nommé plusieurs fois jeu de l'année, et que sa suite sortie dernièrement a dû forcément atterrir à vos oreilles. L'ambiance du jeu est extrêmement bien travaillé, ayant l'impression d'être acculé dans un coin à chaque fois que je n'ai plus beaucoup de vie, de munitions, ou même des outils pour créer des armes. En effet, sa mécanique de gameplay est basé sur le fait que si vous essayez de bourriner comme une brute vous allez galérer d'avantage dans la suite des événements, et je parle d'expérience personnelle, notamment dans le passage des égouts avec pleins de zombies. La relation entre Elie et Joel est l'élément essentiel du jeu car on voit établir une forme de paternité du personnage principal envers cette jeune fille qui a vécue seule, à cause des nombreux morts qui l'entourent. Or on a une impression de réelle renforcée par l'interprétation des acteurs, des dialogues, et surtout de la manière dont l'histoire va décidée de s'articuler. Sans doute, le plus gros soucis, que j'ai rencontré surtout avec la version PS4, c'est les nombreux bugs de personnages qui soit foncent vers l'ennemis nous faisant repérer dans la même occasion, ou les bugs d'ennemis qui ne voient ou entendent strictement rien quand je tue un de leurs alliés. Sauf que c'est problème là, je l'ai rencontré sur la remasterisation, peut-être que certains vont le constater également sur la version PS3.

Rayman 3: Hoodlum Havoc
7.4
16.

Rayman 3: Hoodlum Havoc (2003)

Sortie : 20 février 2003. Plateforme

Jeu sur GameCube, PlayStation 2, Xbox, PC, Mac, Xbox 360, Game Boy Advance, N-Gage

CinéphileduCoin a mis 9/10.

Annotation :

Dernier Rayman 3d qu'on a pu avoir en histoire solo sans que les lapins crétins débarquent pour lui voler la vedette, Rayman 3 corrige les gameplay ou la fluidité manquante du second épisode The Great Escape, qui était excellent, et propose un univers beaucoup plus loufoque que d'habitude, et surtout un univers d'avantage steampunk. Ce jeu me fait énormément rire pour son humour (Pouvant être lourd à certains moments je peux comprendre), pour les mécaniques de gameplay au moment de la transition de deux mondes, ou encore l'animation des ennemis. Le caractère des personnages est d'avantage travaillé par rapport aux opus précédents, et l'ambiance semble donner vie à ce qui se passe autour de nous.

Ōkami
8.2
17.

Ōkami (2006)

Sortie : 9 février 2007 (France). Action-Aventure

Jeu sur PlayStation 2, Wii

CinéphileduCoin a mis 10/10.

Annotation :

Malheureusement, n'ayant jamais trouvé dans les supports d'origines, je vais devoir me contenter de la version HD de la PS4, donc ce qui se trouve là et qui n'était pas présent dans l'original est hors de ma portée. Ce que je peux dire en revanche, c'est que le jeu est magnifique grâce notamment au travail du cel-shalding qui renforce l'aspect mythologie japonaise. La musique, et le bruitage sont ici extrêmement bien travaillés, tout comme l'animation lorsque l'on se déplace avec la trainée d'herbe qu'on fait pousser. Le gameplay est très intéressant par le fait que l'on va devoir utiliser un pinceau afin de créer, de frapper, ou d'interagir avec l'environnement. Ce jeu est un conte s'inspirant de la mythologie japonaise, et possède des messages sur l'importance de la nature, mais on peut rajouter également de l'art présent dans les divinités, dans le pinceau, ou la musique.

Final Fantasy VI
8.4
18.

Final Fantasy VI (1994)

Sortie : 1 mars 2002 (France). RPG

Jeu sur Super Nintendo, PlayStation

CinéphileduCoin a mis 9/10.

Annotation :

Le dernier jeu de la série Final Fantasy que je vais mettre, sa note n'est pas définitive car je vais rajouter des éléments au fur et à mesure pour compléter ma critique, mais pour l'instant je suis impressionné. Le gameplay avec les arcs de combinaison, la bande son, et le style graphique font que j'apprécie déjà le jeu. On remarque d'ailleurs une transition vers une ambiance plus sombre par rapport aux précédents titres, sans doute par les éléments steampunk. L'introduction va rester pendant longtemps comme l'un de mes préféré car là on a une recherche de mise en scène très poussée, et par la suite l'animation des décors, ou des personnages rendent vraisemblables l'histoire. D'ailleurs, j'aime beaucoup le personnage principal, Terra, et la recherche d'identité du personnage. Kefka est également un personnage mémorable dès son introduction par sa musique, et son animation, où nous comprenons que c'est le chaos lui-même, et de sa recherche de destruction. Ce que je trouvais aussi impressionnant c'était la multiplicité des personnages, des lieux, ou même des thèmes qu'ils abordent, où on pourrait se dire que c'est incompréhensible, mais on se souvient de la manière dont ils sont introduites, les événements qu'ils ont dû faire face, et ce qu'ils évoquent au joueur.

Xenoblade Chronicles
8
19.

Xenoblade Chronicles (2010)

Xenoblade

Sortie : 19 août 2011 (France). RPG

Jeu sur Wii, Wii U

CinéphileduCoin a mis 9/10.

Annotation :

Même chose que pour Final Fantasy VI, la note n'est pas définitive, et risque de changer au fur et à mesure de mon avancé, mais j'adore l'univers. Cette idée que le monde où on est c'est sur un titan est juste génial car on va pouvoir se déplacer sur ton son corps, ce qui donne envie d'apprendre d'avantage sur la mythologie du jeu. Le système de gameplay permet de dynamiser les combats, la bande son est excellente, et les personnages ne sont pas juste des plots, ce sont de véritables personnages avec des capacités qui leur sont propres, et une interaction entre eux qui ne sert pas à rien. Pour l'instant, je n'en dis pas plus par le peu de découverte que j'ai pu faire, mais j'ai été pris rapidement dans l'ambiance, et dans l'enjeu de l'histoire.

Super Metroid
8.3
20.

Super Metroid (1994)

Sortie : 28 juillet 1994 (France). Action-Aventure, Plateforme

Jeu sur Super Nintendo, Wii, Wii U, Nintendo Switch

CinéphileduCoin a mis 9/10.

Annotation :

C'est mon premier Metroid que j'ai pu tester, et c'est le meilleur jeu pour introduire à la série puisqu'il apporte tout ce que ses successeurs essaieront de perfectionner que ce soit la mécanique de gameplay, le système d'exploration, les items ou encore les énigmes. Le jeu est très difficile pour un non initié (ce que je suis), mais il propose un univers de Science-fiction impressionnant pour l'époque, avec des graphismes qui permettent de rentrer dans l'ambiance indéniablement. Malgré la difficulté immense, on ressent une sorte de fierté d'avoir galéré pour se surpasser. D'ailleurs, la saga Metroid possède une influence indéniable (Tout comme Castlevania) sur le genre du Metroidvania que ce soit pour Hollow Knight, Ori, Dead Cells ou encore Bloodstained.

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