Les films les plus influents des années 1980

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Film cerveau dont on retrouvera entre autres l'influence chez Nolan.

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Le film qui tua le Nouvel Hollywood et annonça la série HBO.

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Après Rocky, un degré de plus dans la manière de s'approcher visuellement de l'intensité du sport "live". On en retrouvera l'ombre chez Mann (Ali).

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Relecture post-moderne du sérial pour lui donner un ampleur épique à la Lean.

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Date du film de sous-marin.

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Western futuriste stylisé dont Fury Road sera la reprise moins aboutie.

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Chef d'oeuvre de l'esthétisme léché britannique 1980s. Soit un courant dont on retrouve par exemple la trace chez Fincher... et chez Mann, qui travailla dans la publicité au Royaume-Uni à la même époque que les cinéastes de cette vague.

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Le style punk d'Ishii trouve son premier aboutissement et influencera entre autres Tsukamoto.

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Annonciateur du teenage movie adulte à la Hughes.

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Petit-frère grinçant de Bickle, Pumkin est aussi le grand-père du Joker de Todd Phillips.

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L'esthétique MTV tordue pour retrouver le cinéma européen des années 1960, annonçant les WKW contemporains (et aussi le cinoche de Sofia Coppola).

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Fit date dans la pop culture sur un malentendu. Inventa une esthétique baroque pour refléter les excès des années 1980.

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Reprenant les choses où King Hu les avait laissées, Tsui Hark affranchit le cinéma des règles de la gravité et ouvre la voie au travail sur la vitesse dans le cinéma contemporain.

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Première version aboutie du "naturalisme sensoriel de Hou", le film donne le top départ de la Nouvelle Vague taïwanaise.

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Les bases d'un univers fait de fusion chair/métal qui fera école.

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Approche intimiste du yakuza eiga annonçant en partie Kitano.

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Les bases du style Cameron et un film annonçant le tout technologique à travers la figure du cyborg.

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Mise en place de la formule Ghibli.

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Avec trois sous, deux frangins relisent le Film Noir de façon parodique et existentielle, annonçant le cinéma des années 1990.

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En intégrant à la Série B ricaine l'esprit du punk rock et du western spaghetti, Cox influencera Tarantino.

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Croisement du film cerveau et de l'esthétisme léché 1980s dont on retrouvera l'ombre chez Aronofsky.

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Par son flair visuel, le film fit renaître le cinéma chinois continental de ses cendres.

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Approche adulte du teenage movie annonçant Apatow. Et compréhension profonde des tourments adolescentes permise par celle du Rock (Hughes accepta le suffestion de Sheedy de citer un texte de Bowie comme d'autres auraient cité un grand écrivain).

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Le cauchemar derrière l'innocence sixties et les bases du Lynchland. Cité dans Reservoir Dogs, preuve que le film rappela à ceux qui le découvrirent la possibilité de filmer "autrement".

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Mann avait posé sur le petit écran les bases de son influente esthétique avec la série Miami Vice, il la sublime ici.

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L'invention d'un genre et d'une approche esthétique/chorégraphique de l'action qui fit école, au point que la plupart des figures de style wooiennes font autant partie du domaine public que le déhanché du King.

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En petit-frère de Coppola, Carax retrouve la Nouvelle Vague en passant par le tout visuel 1980s.

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Retrouve le classicisme en respectant le cahier des charges de l'actioner reaganien.

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Une date du cyberpunk dont l'ombre se retrouvera entre autres chez Tsukamoto.

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Transpose visuellement bien avant Kassovitz l'énergie du Rap sur grand écran.