Les films qu'on m'a présentés comme géniaux et qui se sont avérés être des daubes qui m'ont flingué le cerveau

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La seule fois où j'ai eu envie de quitter une salle de cinéma, j'ai dû dormir à la place.
Le dénominateur commun des critiques laudatives "c'est un magnifique film sur la mélancolie".

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Il faut faire piquer Hans Zimmer

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Il faut faire piquer Hans Zimmer bis

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Il faut faire piquer Hans Zimmer ter

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Sans Omar, c'est le naufrage, déluge de bons sentiments gerbants.

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Une merde infâme totalement anecdotique, avec des citations kamoulox placées aléatoirement à droite à gauche pour faire plaisir au pseudo érudit.

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j'ai eu envie de me trancher les veines.

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Bon je l'ai vu en vf, ça n'aide pas, surtout que je hais colin farrell à la base et que là ils lui ont donné une voix d'attardé mental

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film chorégraphique.

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Film philosophique PMU

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Film le plus surcoté de tous les temps.

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Je l'ai vu en vf aussi malheureusement, mais je doute que la VO le rende plus intéressant. Le pire film de Ben Stiller.

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La mouche du pauvre.

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Legolas qui surfe sur des Mammouths dirigés par des arabes.

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Regarder Shrek à la télé dans un film diffusé au cinéma, la mise en abîme qui en dit long sur la qualité du film.

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Mathilde aime Manech : rarement Tautou n'aura été aussi insupportable

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Rocky au féminin avec un soupçon d'euthanasie et la finesse légendaire du vieux clint.

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IVEUU IVEUU IVEUUU WALLYYYY IVEUUU IVEUUU WALYYYYY

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Elles auraient pu se suicider dès le début, ça nous aurait épargné l'heure trente de purge.

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Un pensum fatiguant où deux anges écoutent les pensées emmerdantes à souhait du monde entier. Quelques échos à l'allemagne dévastée par la seconde guerre mondiale. Un Colombo ex-ange qui se demande ce qu'il fout là.. Et un film interminable et abscons, qui doit plus au scénariste fatiguant qu'est Peter Handke, qu'à Wim Wenders qui s'est contenté d'illustrer plutôt pas mal cette branlette intellectuelle bidon.

Purge. Mais poétique, avec de jolis plans, donc pas si mauvais. Et puis Bruno Ganz est involontairement marrant avec ses sourires niais.

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oooh des jolies mangoustes en 3d sur une île poilue..

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Un sommet de clichés, un anti manichéisme hyper manichéen et primaire (ouh le méchant faisait semblant d'être gentil mais en fait il est méchant et il a une vilaine seringue avec laquelle il fait bobo. Ouhhh le nazi il est nazi mais il est pas si méchant il est même gentil, mais comme il est nazi il va mourir), Un raté du grand verhoeven largement plus inspiré avec son chef d'oeuvre "soldier of orange"

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concept complètement débile et vain

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bon j'adore la partie avec de niro mais c'est tout, la partie au présent est d'un chiant...

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Je l'ai vu que très jeune, et tout ce dont je me souviens c'est que c'était interminable et qu'il y avait des gros sangliers méchants qui couinaient beaucoup.

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2h40 de daniel day lewis qui frétille de la moustache

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Le woody allen du pauvre sans humour, ni légèreté, ni finesse, ni intelligence, ni subtilité, ni brio. Aussi chiant que pourrait l'être la vraie vie.

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Les aventures de bobo garel et de bobo duris

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Le final du film est une énorme blague à la frontière de l'imposture. Après effectivement c'est une expérience sensorielle, mais si les mecs pouvaient la fermer au lieu de débiter des conneries, ce serait pas plus mal, parce que putain c'est éprouvant... (cf ma critique pour en savoir plus)

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Un téléfilm juke-box complètement mou. On étire des scènes, le temps que la plus ignoble BO des 80's arrive à son terme, pendant ce temps les acteurs se demandent quoi foutre. Outre un scénar écrit avec les pieds, Petersen a un charisme de moule et parle tout seul pendant la majorité du film, ce qui est pour le moins fascinant.