les plus beau monologues, discourt, phrases...

Annotation :

Le monologue du Dr Roberto Miranda vers la fin du film. ( De par sa violence et sa profonde vérité )

Annotation :

Le discourt final qui résume absolument tout la beauté humaine !

Annotation :

Le monologue du Colonel Kurtz's "I’ve seen horrors… horrors that you’ve seen. But you have no right to call me a murderer..."

Annotation :

Le discourt du soldat baleine en pleine nuit au toilette.

Annotation :

La dernière chanson puis son silence...

Annotation :

Le poème Roy Batty "I've seen things you people wouldn't believe... Attack ships on fire off the shoulder of Orion... I watched C-beams glitter in the dark near the Tannhäuser Gate. All those moments will be lost in time, like tears in rain... Time to die."

Annotation :

Poème du stalker, "Que tout ce qui a été planifié se réalise. Laissez-les croire. Et laissez-les rire de leurs passions. Parce que ce qu'ils appellent la passion n'est en réalité pas une énergie émotionnelle, mais simplement la friction entre leur âme et le monde extérieur. Et le plus important, laissez-les croire en eux-mêmes. Qu'ils soient impuissants comme des enfants, car la faiblesse est une grande chose, et la force n'est rien. Quand l'homme naît, il est faible et malléable. Quand il meurt, il est dur et insensible. Quand un arbre pousse, il est tendre et souple, mais quand il est sec et dur, il meurt. La dureté et la force sont les compagnes de la mort. La souplesse et la faiblesse sont des expressions de la fraîcheur de l'être, car ce qui s'est endurci ne gagnera jamais" ( traduit du russe vers le français )

Annotation :

La simple question de Nino a un jeune homme immobile sur la berge "vous voulez aller de l'autre coté ?" ( de par sa simplicité qui traduis l'innocence de l'instant face a la réalité de se qu'il vois réellement )

Annotation :

Le journaliste : que pensez vous des italien ?
Le réalisateur : Le peuple le plus analphabète, la bourgeoisie la plus ignorante d’Europe.

_______________________________________________________


Le réalisateur : Action !
Stracci : ...
Le réalisateur : Action !
Stracci : ...
Le réalisateur : Action !
Membre de l'équipe : il est mort !
Le réalisateur : Pauvre Stracci. Crever. Seul moyen pour nous rappeler qu'il était vivant

Annotation :

you see, in this world, there is to kinds of people, my friends :
those with loaded guns and those who dig.
You dig

Annotation :

Un réparateur de fenêtre s'accroupi et dit :

On est la pour vous aider, d'accord ?
Si vous nous aidez, sa nous aide à vous aider.
Prenez une fourmilière, d'accord ?
Une fourmilière haute comme un homme, comme trois hommes, au début, se n'est qu'un grain de sable. Le temp passe. Le grain de sable devient fourmilière, d'accord ?
Comme pour les réparations... Les petites choses deviennent grandes.
Enfaite sa nous aide de nous parler du grain de sables.
N'attendez pas que sa deviennent une fourmilière, d'accord ?

Annotation :

"On arrête pas les nuages en construisant un bateau"

sherif : lee it's him... You William Blake
William Blake : Yes i am... do know my poetry
(Il sort son revolver et le tue)
William Blake : certain born to endless night

Annotation :

"C'est un opéra pas la vrai vie"

Duan Xiaolou : - Je ne l'ai jamais aimé (pour une trahison magistrale)

Annotation :

"qu'il est horrible de savoir, lorsque ce n'est d'aucune utilité pour celui qui sait"

Annotation :

bye-bye, by !

Annotation :

la scène finale, ou le monologue de la tronçonneuse.

"parce que cette scène et tellement poétique et chaotique, et tout naissance artistique nait un peu du chao. "

Annotation :

- Ho il y a un trou dans mon manteau... (parce que c'est tellement mal dit, et mauvais que sa ma marquer a l'encre indélébile)

Annotation :

- C'est marquée 50% de réduction. Maintenant, j'enlèverai 50% de ta tristesse. La tristesse moins 50% .

- L'amour est plus grand que tout.
Quand bien même je parlerais les langues des hommes et des anges sans l'amour ma parole est d'airain, vide comme un coup de cymbale. Quand bien même j'aurais le don de prophétie, que je connaîtrais tous les mystères et toute la science, si je n'ai pas l'amour je ne suis rien. Quand je distribuerais mes biens pour nourrir les pauvres, quand je livrerais mon corps aux flammes du bûcher, si je n'ai pas l'amour cela ne me sert de rien. L'amour et patient et plein de bonté. Il n'est pas envieux vantard, orgueilleux. Il n'est ni malhonnête ni intéressé. Il n'est pas irritable, et ignore le mal. L'amour ne meurt jamais. Les prophéties finiront, les langues se tairont, la science disparaîtra. Car partielle est notre science, partielle aussi notre prophétie. Mais quand viendra ce qui est parfait, ce qui est partiel disparaîtra. Lorsque j'était enfant, je parlais en un enfant, je pensais en enfant, je raisonnais en enfant. Mais Lorsque je suis devenu homme, J'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant. Car nous voyons, à présent dans un miroir, en énigme, mais alors nous verrons face à face. A présent ma connaissance est partielle, mais alors je connaîtrai comme je suis connu. Maintenant donc demeurent : foi, espérance, amour. ces trois choses. Mais la plus grande d'entre elles c'est l'amour.
Tu connais même pas ce passage. Cet obsédé sexuel de prêtre ne t'a rien enseigner de la Bible ! tu ne connais rien de dieux tu comprend !

Annotation :

"Ce film est pour moi. Nous y sommes, toi et moi. Pourquoi fais-tu ça? Ou pourquoi ai-je fait ça ? Vous avez réalisé mon rêve. Je vous l'ai demandé. Je t'ai promis quelque chose en retour et je ne l'ai pas encore tenu. Vous gagnez, je perds. À moins que le chemin que vous m'avez tracé soit semé d'embûches et que la réponse passe avant la question. Ouais, je fais ça. Maintenant je sais pourquoi. C'est le remède, d'après ce que j'ai vu ici. Tout devient clair. Cela a du sens pour ceux qui comprennent.

Donc l'Amérique, la pauvreté, voler pour manger, traquer les producteurs, les acteurs, les stars de cinéma, aller dans les clubs en espérant voir une star, avec mes photos, les magazines de karaté. C'est tout ce que j'avais. Je ne parlais pas anglais. Mais j'ai fait 20 ans de karaté. Parce qu'avant, je n'étais pas comme ça. Ça, c'est moi aujourd'hui. Avant, j'étais petit et maigre. Et j'ai commencé le karaté. D'où le dojo, d'où le respect, tu croiras les gens qui disent « Oss ! ». C'est le code du samouraï. C'est l'honneur. Pas de mensonges. Donc ce type aux Etats-Unis, ce n'est pas la même chose. Personne ne vous dit « Oss ». Parfois, les gens du show business disent : « On va le baiser. » Je croyais aux gens, au Dojo. J'étais chanceux et j'avais beaucoup de femmes. J'ai toujours cru en l'amour. Il est difficile pour une femme qui a trois enfants de dire : « Lequel est-ce que j'aime le plus ? » Une mère… si vous avez 5, 6, 7 ou 10 femmes dans une vie, elles ont toutes quelque chose de spécial, mais personne ne s'en soucie dans les soi-disant médias.

Et la drogue ? Une fois que vous avez tout compris, vous parcourez le monde. Quand vous avez été dans tous les hôtels, vous êtes la prima donna du penthouse. Et dans tous les hôtels du monde, en voyage, on veut quelque chose de plus. Et à cause d'une femme, enfin à cause de l'amour, j'ai essayé quelque chose et je suis devenu accro. Van Damme, la bête, le tigre en cage, l'homme du « Bloodsport » sont devenus accros. J'étais épuisé mentalement et physiquement. Au point que je m'en suis sorti. Je m'en suis sorti. Mais tout est là. Tout est là. C'était vraiment dur. J'ai vu des gens dans une situation pire que moi. Je suis passé de pauvre à riche et je me suis demandé : pourquoi ne sommes-nous pas tous comme moi ? Pourquoi tous ces privilèges ? Je suis juste un gars ordinaire. Cela me rend malade de voir des gens qui n'ont pas ce que j'ai. Sachant qu’ils ont aussi des qualités. Bien plus que moi !

Ce n'est pas ma f

Annotation :

le film entier !

Annotation :

- tu a envi d'uriné Friday ?

- Non...

-Répond-moi franchement, as-tu envie de pisser ? (elle pointe un revolver sur sur le jeune Homme)

- Oui

- Est-bien pisse toi dessus, qu'est que t'attend ( elle repart)

- (il se pisse dessus)

----------------------------------

- Tu regarde mes seins ? Mes sein on fait de moi un être d'exception. tu voie quoi ?

- ... (un temp il la scrute) Une femme.

- Tu ne sais pas voire au-delà des apparence !

----------------------------------

- Moi je trouve que sa sent l'huitre

- Nous somme sur un huitre, démesuré... et je suis sa perle !

-----------------------------------

- Reviendra te chercher quand tu sera une femme.
L'espérance est une joie, presque égale a la joie.

Annotation :

(Un soldat [A] tien une caméra dans les main, et les Lens son protéger par des film plastique)

[A]- C'est ma petite putain ça, toujours dans mes bras, elle a même ses capotes la p'tite salope.
[B]- Et si doit ouvrir ton ventral rigolo
[A]- à l'altitude où ils vont nous largués t'aura pas le temp l'ouvrir rigolo.

--------------

La mort c'est l'triomphe de l'apesanteur.

--------------

Que sait-ont des mort, si se n'ait que bientôt on leurs ressemblera.

--------------

Le sacrifice de la vie est une chose terrible, y'en a qu'une de pire: le sacrifice de l'honneur

Annotation :

La mère - Un jour se s'ra ton père et moi que tu tuera d'chagrin
Le fils - Et bah c'est bien, comme ca on retrouvera pas l'arme du crime.