Mes filmos: Hark en Ciel

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La Romance de Liang Shanbo et Zhu Yingtai, parfois traduit par Les amants papillons, est une légende chinoise qui raconte l'histoire d'amants désespérés, préférant mourir que d'être séparés. Très belle adaptation de Tsui Hark.

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Sable virevoltant, sabre tranchant. Remake au rythme soutenu du Dragon Inn de 1967, avec des personnages agiles, notamment une Maggie Cheung aux couleurs de Jade. De l'action, des chorégraphies variées, un final comme toujours plein de bloody stuff surtout avec le Dazi la taupe qui m'a achevée ^^ New Dragon Gate Inn, the place to be !

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Une belle brochette de sadiques quand même, dans un monde aux couleurs de rêves et de cauchemars, rempli de larmes et de sang, et paré de lames virevoltantes et des chorégraphies les plus agiles. Crazy !

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Bon c'est foutraque et un peu confusant, mais le rythme effréné ne nous laisse pas trop penser au pourquoi du comment ^^ (cute bodyguard, lesbienne enceinte, cafards latinos, action man inépuisable,...) Les moments de bravoure, surtout dans la dernière partie, n'en finissent plus de nous exploser à la figure avec de la pure action. Voilà voilà, Tsuiui en mode frénétique :)

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J'ai peut-être eu un petit peu de mal à rentrer dedans pour être tout à fait enthousiasmée, mais le master Tsui Hark nous a tout de même concocté un beau western nouilles aux allures épiques, où le Kung Fu a encore la part belle dans une Chine en pleins bouleversements.

"Our Kung fu is no match for their guns." Really?! :)

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Autre adaptation d'une légende chinoise par Tsui Hark. Certaines séquences sont très belles, d'autres ont mal vieilli (certains effets spéciaux....) mais un beau boulot dans la narration et les deux actrices reptiliennes sont splendides !

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Hungry Swords. Que dire de ce Tsui Hark aux allures épiques et synthétiques.... Il y'a certes du spectacle, quelques affrontements bien menés, du cru pour la suranchère, des décors et des sabres classieux qui en font tout l'intérêt, maiiiiiiis malheureusement rien de plus. En 2h30 de film, on se sent toujours éloigné des personnages qui auraient dû tenir les Seven Swords, et on aura qu'un minime aperçu de chacun, sans réelle profondeur. L'histoire ne sauvera pas non plus le fort tant elle ne tient pas la route sur la longueur, surtout qu'au bout de 2h, en un évènement, on se demande quel était l'intérêt de tout ça... Mais bon c'est Tsui Hark, et on sera donc indulgent pour les qualités visuelles et les quelques combats et duels réjouissants.