Mes références absolues

Annotation :

J'y ai réellement joué sur le tard, mais ça me titillait depuis que j'ai 7/8 ans.
Enorme claque, même à notre époque ! Une atmosphére comme on en fait rarement, et un gameplay d'exploration prenant.

Annotation :

A l'époque où commençait à fleurir cette délicate flore appelée acné sur mon visage d'ange blondinet, je découvris les joies de la colonie de vacance. Pour psychiques.
J'en ressortit avec une expérience étrange. Je me souviens avoir interagi avec des choses, mais vaguement. Car ce n'était rien comparé aux gens que j'ai rencontré, à ce que j'ai entendu, et ce que j'ai vu.

Annotation :

A une époque morose où le jeu de plate-forme est de moins en moins représenté dans les gros studios, Rayman arrive pour me sauver de l'asphyxie. Et me file un orgasme au passage. Tout en me faisant revenir à l'époque où je commençais à me transformer en sale geek.
Vous pouvez presque oublier les autres Rayman tellement cet opus est incroyable et se paie même le luxe de faire un joli doigt à Mario qui semble se reposer sur son laurier galactique.

Annotation :

Les décors et personnages crayonnés me cramponnent de leurs bras métalliques pour m'embarquer dans leur ville qui me paraît à la fois paisible et familiére. J'ai la sensation étrange que les habitants d'ici, malgré leur apparence de metal, posséde quelque chose de tout à fait humain. La musique m'adoucit et j'oublie peu à peu ce qui m'entoure. Je me surprend à résoudre des casse-têtes corsés, alors que le simple fait de voir un Rubik's cube me hérisse le poil. Machinarium brille d'une âme unique. Quelque chose qu'on voit trop rarement dans le paysage vidéo-ludique.

Annotation :

Dans ma tendre jeunesse, je haïssais plus que tout les jeux trop violents. C'est simple, je ne comprenais pas l'engouement qu'avaient mes camarades pour des jeux comme GTA, et j'étais plutôt du genre puritain. Mais petit à petit, ma curiosité eu raison de mon comportement bien "famille de France". Et je finis par jouer à Half-Life 2. Et je compris à quel point j'avais eu raison d'élargir mes horizons.

Annotation :

Le Sonic ultime. Alors oui, le 1 et le 2 sont certainement les meilleurs objectivement, mais il y a quelque chose d'assez incroyable pour un jeu de plate-forme 16-bits dans ce S3&K. Ce n'est pas la qualité d'un Mario pour le Gameplay, mais la variété des décors, les 3 personnages, l'univers coloré, la musique apportent une sacré putain de plus-value au jeu, rendant l'expérience assez unique.

Annotation :

Je l'ai trés récemment fini, et je n'en sui pas sorti indemne ! Cela faisait un moment que je connaissais la réputation de ce chef d'oeuvre incommensurable. Donc j'y allais avec toutes les chances d'être déçus, puisque mes attentes étaient trés hautes ! Et bien le jeu à réussi l'exploit, en 5 minutes à peine, de me faire dire "Putain, mais ils ont développés ce jeu pour moi, ou bien ...?". Oui, le jeu était encore au-dessus des espérances que j'en avais ! Prenant le meilleur du Gameplay de Super Metroid, l'enrichissant de nombreux ingrédients bien trouvés comme le systéme d'évolution à la RPG (sans cependant sacrifier l'action), le tout avec une grosse emphase sur l'exploration ! Et par dessus le marché, on nous offre un bestiaire d'une diversité rare, une atmosphére emo-gothique extrêmement classy, et une OST couronnant parfaitement le tout. Pas un seul moment ce jeu ne m'a ennuyé, et pas à un seul moment je n'ai eu envie de m'arrêter pour ne prendre ne serait-ce qu'un simple pause. J'hésite franchement à le mettre au-dessus de Super Metroid... Mais non. Cela dit, si je classe ce Castlevania en dessous de Super Metroid, c'est seulement à cause de trés peu de choses. Je ne m'étendrais pas plus sur le sujet, je concluerais simplement en disant que si on apprécie l'exploration, on se DOIT d'avoir fait les deux jeux. Voilà. Point.