Oh, la barbe !

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Ni Mulder ni Scully ne travaillent plus pour le FBI. Elle est désormais médecin dans un hôpital où elle essaye de sauver un gamin d'une maladie mortelle incurable. Lui est enfermé dans leur maison, dans son bureau où il continue, seul, comme un dément, d'enquêter sur des choses. Avec une épaisse barbe, bien sûr. Jusqu'à ce que le FBI, qui coince sur une affaire bizarre avec un voyant bizarre, refasse appel à Fox. Qui, s'il ne se rase pas dès la reprise de son service, le fait à un moment crucial où il saisi un détail important qui le met sur la bonne piste !

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Bruce Wayne, reclus dans son manoir, retiré de la vie publique, ne portant d'ailleurs plus le costume de Batman, porte sur son visage émacié, une barbe épaisse. Puis, soudain d'aplomb, resurgit dans la life de la jet set de Gotham, les joues éclatantes.

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Rochester, croyant avoir perdue la seule femme qu'il ait jamais aimé et devenu aveugle suite à un incendie, végète piteusement, assis des heures durant sous un arbre, laissant pousser une barbe broussailleuse. Jane le retrouve là, en piteux état. Ouf !

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Dans la jungle de Jumanji, Allan, limite retourné à l'état sauvage, a le visage recouvert d'une belle barbe type homme des cavernes. Le voilà de retour dans la vraie vie, le vrai monde. Hop, la scène du rasage de barbe : enfin, derrière les poils qui tombent, l'homme se retrouve et renaît.

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Ricchie Tenenbaum y "est barbu toute la première moitié du film. Il est intéressant de remarquer qu'il se rase juste AVANT sa tentative de suicide (ratée) et qu'après ça il reprend du poil de la bête." (Merci Fatpooper)

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Dans lequel "Will Smith se rase de façon spectaculaire quand il décide de passer du statut de clodo cosmique à celui de super-héros." (Merci Oph)

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Val Kilmer, parfait sosie de Jim Morrison mime à la perfection la déchéance de l'idole des jeunes et de la drogue et du passage de portes, avec une belle barbe fournie. Ça fait hippie, alors ça va.

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Le héros, dont j'ai oublié le nom, perd son amoureuse dans un bête accident de balle perdue. Du coup, il pète un boulon et se met à faire des calculs de fous sur les tous tableaux en ardoise de son labo pour inventer LA machine ! Bien sûr, durant tout ce temps, il a les yeux révulsés et une épaisse barbe hirsute.

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Le malin Lex Luthor, aidé par un comique black en vogue durant les 80'S, fabrique une Kryptonite de synthèse dont les effets sur le pauvre Clark le transforment en dark-version de lui-même. Voyou, il se met à commettre de mauvaises actions. Et surtout : il ne se rase plus. Oulala.

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Simon, beau gay, peintre et sensible, qui fait la fête pour son vernissage chemise ouverte sur son torse épilé, se fait plus tard cambrioler et tabasser. USA oblige, sans mutuelle, les frais d'hôpital qui s'ensuivent le ruinent pour de bon. Spirale dépressive où il s'enfonce. On le voit alors petite barbe grisâtre. Jusqu'à ce qu'il reprenne du poil de la bête (haha) et se présente sous son jour meilleur, joues glabres.

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Schwarzy "croupit en prison avec une magnifique barbe et la bazarde dès son évasion. " (merci zombiraptor)