Réalisateurs : leurs parcours scolaires

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Mention : Pas rassurant
"Décidé à faire du cinéma depuis sa jeunesse, Arnaud Desplechin suit les cours de cinéma de l'Université Paris III (dont ceux de Serge Daney et Pascal Kané) puis intègre l'IDHEC (l'ancêtre de La Fémis) à sa deuxième tentative, et en sort diplômé de la section Réalisation et prises de vue en 1984."

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Mention : Pas rassurant
"En décembre 1924, petit réfugié ne parlant pas français, Henri Verneuil débarque à 4 ans, sur le quai de la Joliette à Marseille, avec sa famille rescapée du génocide arménien perpétré par le gouvernement Jeunes-Turcs de l'Empire ottoman.
Après des études à Aix-en-Provence, il devient d'abord ingénieur Arts et Métiers (aujourd'hui Arts et Métiers ParisTech) en 1943, puis journaliste au magazine Horizon en 1944."

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Mention : Plutôt rassurant
"Dans le but de devenir artiste, David Lynch suit les cours à la Corcoran School of Art à Washington, D.C., tout en terminant ses études au lycée. Il s'inscrit à l'école des Beaux-Arts de Boston pour un an, et s'essaye au cinéma, se livrant à diverses expérimentations aboutissant à Eraserhead en 1976, film-cauchemar, tourné en noir et blanc. C'est en voyant ce film que Mel Brooks décide de lui confier la réalisation d'Elephant Man."

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Mention : Très Rassurant
"Après une scolarité à Nyon, en Suisse, puis à Paris, au lycée Buffon, il s'inscrit à la Sorbonne (en 1946) en anthropologie, mais fréquente plutôt les ciné-clubs de la capitale. Il pense un temps être peintre, mais atteint de cleptomanie, il est même interné en hôpital psychiatrique. Il hante les cinémas du Quartier latin de Paris et noue des relations d'amitié avec André Bazin, Claude Chabrol, François Truffaut, Jacques Rivette et Eric Rohmer."

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Mention : Très Rassurant
"Il abandonne ses études en Californie à l'âge de 15 ans afin de rejoindre la James Best Theatre Company. Il jouait certaines scènes avec ses collègues acteurs et réécrivait les répliques. Il prit alors conscience de ses talents de scénariste. Il travaillera à 16 ans dans un cinéma porno. À l'âge de 22 ans, il travaille au Video Archive où il rencontre le futur co-scénariste de Reservoir Dogs, True Romance et Pulp Fiction, Roger Avary."

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Mention : Rassurant
"Il écrit très tôt des gags et sketchs qui sont repérés. Il rejoint ensuite l'université de New York où il est censé étudier la communication et le cinéma. Son absence de résultat et son manque d'intérêt pour les études (« Je m'intéressais pas à l'université, tout ce que je voulais c'était écrire. » Harry dans tous ses états) lui font rapidement abandonner son cursus. Plus tard, il fréquentera encore brièvement le City College de New York."

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Mention : Très Rassurant
"Élève médiocre mais passionné de cinéma, ses résultats scolaires ne lui permettent pas d'intégrer les écoles de cinéma de son choix, c'est pourquoi il suit les cours d'art dramatique de l'école d'Arcadia, à Phoenix.
A 12 ans, il tourne en autodidacte son premier film avec la caméra 8 mm de son père. (...) Par la suite, il tourne un court métrage, avec Allen Daviau, qui remporte plusieurs prix et lui permet de décrocher un contrat de 7 ans avec les studios Universal

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Mention : Rassurant
"Né à Munich en 1942, Werner Herzog passe sa petite enfance dans un petit village bavarois, puis son adolescence à Munich. Il poursuit des études littéraires. En 1963, il crée sa maison de production, la Werner Herzog Filmproduktion. Il commence à réaliser ses premiers courts métrages."

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Mention : Excellement Rassurant
"Il ne trouve aucun intérêt à l'école. Mis à part la physique, rien ne l'intéresse, et il n'arrive pas à obtenir une moyenne suffisante pour s'inscrire à l'université.
En avril 1945, à 16 ans, il réussit à vendre au magazine illustré Look une photographie d'un vendeur de journaux en larmes après la mort de Roosevelt, prise alors qu'il se rendait au lycée. La rédactrice en chef l'engage comme photographe indépendant « par pitié » dira-t-il plus tard."

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Mention : Pas trop rassurant
"Après une khâgne au Lycée Henri IV, Eric Rohmer poursuivit des études de lettres et fit une thèse de doctorat sur « L'organisation de l'espace dans le Faust de Murnau ». Professeur de lettres à ses débuts, il écrit dans plusieurs journaux et est célèbre pour son poste de rédacteur en chef aux Cahiers du cinéma, de 1957 à 1963, période durant laquelle il réalise son premier film."

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Mention : Peu rassurant
En gros : il se fait remarquer très tôt, il met en scène et joue. Il se balade en Europe où il se fait passer pour ce qu'il n'est pas. Le "Fake" étant un peu au centre de son parcours, il se rend célèbre grâce à une fausse annonce légendaire à la radio (les martiens auraient débarqué !), qui en fait était une adaptation réaliste de La Guerre des Mondes. Le contrat rêvé de la RKO (carte blanche) naît de là, Citizen Kane etc.

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Mention : Pas rassurant
En 1935, le nouveau studio qui deviendra par la suite la Tōhō cherche des assistants-réal. A.K. participe au concours, qui demande aux candidats de rédiger un essai sur les défauts fondamentaux des films jap et les moyens d'y remédier. A.K. dit que si ces défauts sont fondamentaux, il n'y a aucun moyen de les corriger. Sa lettre au ton moqueur lui permet de passer les exams suivants. Le réal Kajirō Yamamoto insiste fortement pr que A.K. soit recruté et il sera son mentor.

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Mention : Pistonné
Né dans le milieu de la finance, de la banque et de la pol américaine. Peu intéressé par ses études d'éco politique, il ne parvient pas à décrocher son diplôme. Grâce à sa famille qui a des intérêts dans les studios, il entre en 1941 à la RKO Pictures comme employé de production. Il devient bientôt second assistant réalisateur en 1942. Réformé pendant la 2GM, il entame une carrière d'assistant réalisateur (manque de main d'oe à Holl). Au contact avec plein de "grands"

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Mention : Pas rassurant
Il commence à filmer des courts d'horreur en 8 mm avant même d'entrer au lycée. Il est diplômé en 1971 à l'University of Southern California's School of Cinematic Arts (USC). Pdt ces années, il participe en tant que co-scénariste, monteur et compositeur de musique, au court-métrage réalisé par James Rokos, The Resurrection of Broncho Billy, qui emporte l'Oscar du meilleur court de fiction en 1970. Le film, vendu à Univeral, sera projeté en avant-programme pendant 2 ans.

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Mention : Assez rassurant, huile de coude.
Il paraît avoir été un écolier médiocre ; il abandonne les études à 16 ans (1923) et entre comme apprenti dans l'entreprise familiale, où il est formé par son grand-père. Sportif, il découvre ses talents comiques dans le cadre de l'équipe de rugby du Racing Club de France. Il se produit ensuite sur de nombreuses scènes ; la guerre, un mariage, une fille... Il écrit le scénario de L'école des facteurs, qu'il finit par réaliser en 1946.

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Mention : Pas rassurant
Emigré italien (pardon, sicilien !), il galère bien dans ses débuts, entre à Caltech et obtient un diplôme d'ingénieur chimiste qu'il se mérite bien. Phase de déprime, son diplôme en mains, il finit par se laisser aguicher par une annonce dans un journal. Bluffant, il se voit confier une petite réalisation, puis il grimpe, petits boulots dans le cinéma, et finalement il devient gagman, et comme il rend Harry Langdon célèbre, celui-ci l'impose comme scénariste et réal. Etc

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Mention : Plutôt rassurant
"Malgré sa passion pour le cinéma, Wes Anderson fait des études de philosophie et, parallèlement, tourne des courts-métrages en super 8 qui le forment à la technique cinématographique et notamment au montage.
Étant ami avec les frères Andrew, Luke et Owen Wilson, il décide de ne pas aller dans une université de cinéma, se déclare autodidacte, et se lance dans un projet de court-métrage qui deviendra bientôt Bottle Rocket, son premier long-métrage."

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Mention : Plutôt pistonné
"Issu d'une famille bourgeoise romaine, RR a vécu dans une atmosphère culturelle prononcée. Son père était un architecte connu de la capitale, bénéficiant de la fortune d'un oncle entrepreneur. Il a construit le premier cinéma romain, autorisant RR à assister à de nombreuses séances, dès très jeune. Au décès de son père, RR se met à travailler comme preneur de son, et exerce accessoirement tous les métiers liés à la création d'un film, devenant compétent partout.

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Mention : Cuiller d'argent dans la bouche
"La famille Visconti, qui régna sur Milan jusqu'au XVe siècle, appartient à la grande aristocratie italienne.
Visconti fréquentait activement le monde de l'opéra et du mélodrame, qui l'influença beaucoup (sa famille avait sa tribune attitrée à La Scala). Sa carrière cinématographique débuta en 1936, en France, où il travailla pour Renoir (rencontré grâce à Coco Chanel) comme assistant, à la réalisation et au choix des costumes de 2 de ses œuvres.

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Mention : Pas rassurant
"Souffrant de poliomyélite, il passe une grande partie de sa jeunesse alité, ce qui favorise son imagination avec l'improvisation, à la maison, de spectacles de marionnettes. En utilisant la caméra 8 mm de son père, il fait ses tout premiers films en amateur à l'âge de 10 ans. Après le lycée, il part étudier le théâtre à l'Université de Hofstra avant d'aller à la MFA en réalisation de l'École UCLA Film School où il rencontre Jim Morrison"