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Jurassic World : Fallen Franchise

Un film qui m'a tellement irrité que je n'ai pas pu passer outre ses incohérences et ses clichés. Le volcan explose, mais le T-rex-like a la dalle et veut aller boulotter un personnage ou deux. Ou la palme, pour moi : on va transfuser du sang de T-Rex à un raptor, parce que "Ça a le même nombre de doigts". Putain !
Les personnages et les situations sont des repompages d'autres films de la série, ou alors vraiment sans saveur/idiots. Une scientifique sassy, incroyable ! Un geek pétochard, fantastique ! Une fille clonée... Wait, wut ? Why ?
Seules choses intéressantes : l'angle PETA (mais finalement très sous-exploité) et la fin, qui va au moins forcer le troisième volet à évoluer, un peu dans le style Dawn of the Planet of the Apes.

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Ce second Deadpool n'a pas réussi à atteindre l'équilibre improbable d'humour un peu beauf, de références, de brisage du quatrième mur et de violence trash du premier film. La plupart du temps, je me suis bien emmerdé. Trop de références tue la référence, en plus j'ai peur que ça rende le film super daté.

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La formule n'était pas la bonne...

Des personnages clichés, des scènes clichées, des dialogues clichés... En plus d'être une comédie romantique clichée, Quatre mariages et un enterrement souffre de problèmes de rythme et d'une alchimie entre Hugh Grant et Andie MacDowell peu convaincante. Heureusement, le jeu des acteurs est bon et le film s'avère assez drôle par moments, ce qui évite la catastrophe absolue.

Bref, à voir uniquement si vous êtes un fan inconditionnel des comédies romantiques. Ça n'est manifestement pas mon cas.

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Film bof et rasant

Le premier volet était un film loufoque et touchant au concept assez original. Le second était drôle mais oubliable. Ce troisième opus est clairement “celui de trop”, avec inspiration en panne, une histoire inintéressante, des personnages qui n’évoluent pas —mis à part Lucy—, des blagues qui, neuf fois sur dix, tombent à plat.

Bref, on ne peut qu'espérer que la machine à cash laissera dorénavant Grü et les minions dormir en paix.

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Jeune blanc cool cherche vieux maitre japonais

Karaté Kid est une énième variation du monomythe, pas très inventive mais efficace, avec des personnages clichés mais efficaces et un message simple mais efficace : ne pas chercher la violence, chercher l'équilibre. Le film est un concentré des années 80 : les protagonistes sont beaux, jeunes, blancs, cool, etc. Sauf, bien sûr, Monsieur Myagi, "vieux sage japonais" de service. Heureusement que le duo élève/maître reste attachant. Mention spéciale également pour le sensei du Cobra Kaï, tellement allumé qu'il en devient hilarant.

Bref, Karaté Kid est un bon film de divertissement, cliché mais sans prétention, pour adolescents.

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On reconnait la patte de Wright et son indéniable talent pour le rythme et les transitions. Si l'histoire n'est pas des plus marquantes, les personnages sont attachants et le rôle principal très convainquant. Le film est un exercice de style, dont on pourrait lui reprocher qu'il est à la fois trop poussé —la musique incessante peut devenir saoulante—, et pas assez —j'aurais bien aimé voir plus d'éléments en rythme avec la musique, quitte à appuyer plus sur le côté "comédie musicale". En tout cas, le film vaut définitivement le détour.

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Trop inégal... La réalisation est parfois élégante, parfois peu inspirée, l’image est tantôt belle, tantôt complètement ratée, les acteurs sont parfois excellent, parfois ridicule, l’histoire est tantôt prenante, tantôt manichéenne... La musique aussi peut être subtile et efficace où verser dans le pathos le plus basique...
Difficile de saisir le vrai talent du réalisateur, dont l’interprétation de Hercule Poirot est sans doute le point le plus réussi du film.

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Zéro trouble

Je me suis littéralement endormi devant. Les personnages sont clichés, les acteurs varient du mauvais au correct, le scénario ne surprend pas... Tom Stern, directeur de la photographie d'un bousin pareil ? Après, peut-être que devant un grand écran en 3D, ca passe mieux, mais en l'état, c'est à la poubelle.

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C'est moi ou les effets spéciaux sont hideux ? Le design iconique mais très cartoonesque des symbiotes n'aide pas, en tout cas... Difficile de se sentir concerné quand toute l'intrigue tourne autour d'une telle bouillie de synthèse...
Ah, et pour une fois pas fan de la perfomance de Tom Hardy qui nous ressort son Mad Max sans véritable distinction entre Brock seul et avec Venom.
Niveau histoire c'est médiocre sans être trop affligeant. Plus une occasion manquée avec le personnage, qui manque peut être un peu de mordant ou de sadisme (syndrome Suicide Squad), mais bon... c'est un choix.

À noter une super chanson d'Eminem pour l'occasion

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C'est vide, et long, et inintéressant, et vide, et chiant, et vide. Pas infâme. Mais vide.
Etrangement il m'a encore moins intéressé que Predators. Peut-etre était-ce la prestation imbrobable de Brody qui m'avait maintenu en éveil, ou alors ma sympathie pour Fishburne. Je ne sais pas.
Laissez la franchise reposer en paix, please.

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C'est très propre, très drôle et visuellement irréprochable. L'histoire originale d'Astier est parfaitement dans l'esprit d'Astérix... on sent qu'il a parfaitement compris, et qu'il aime, le matériau de base.
Quelques menus défauts : un rythme parfois un peu en deçà même si je ne saurai dire pourquoi. La voix d'Obélix, trop molle, alors que les autres sont au top. La musique est passe-partout et ne soutient pas assez bien l'action sur la fin, qui est finalement assez moyenne.

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Film à suspense très efficace, superbement réalisé et avec un casting cinq étoiles impeccable. On se demande à quel point l'histoire vraie a été enjolivée pour les besoins du film (et rentrer dans le cahier des charges classique des superproductions, ce qui est peu être son seul vrai défaut), mais en tout cas l'aventure est palpitante !

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Un film d'horreur quelque part à mi chemin entre un Carpenter et un King. Visuellement très intéressant, même s'il n'y a quasiment aucun build-up à l'ouverture de la boite et l'apparition des Cenobites, montrés dès la première scène du film. Évidemment certains effets ont mal vieillis, mais on s'en accommode bien. À voir pour les amateurs du body horror et pour découvrir un univers horrifique original.

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Par rapport à son prédécesseur il souffre de personnages plus faibles et d'une histoire moins accrocheuse et plus nébuleuse... même si l'enfer représenté est très intéressant et bien amené. Les Cénobites sont également vaguement humanisés mais c'est franchement raté.

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Les vrais et beaux moments de grâce ne compensent pas malheureusement la longueur et la poussivité du film, en particulier au début. L’accent et le français perfectibles de Gordon Levitt n’aident pas, même si d’un point de vue américain j’imagine que l’illusion fonctionne. Et je trouve sa constante narration souvent pénible.

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Très bien joué, très bien filmé, très bien écrit... C’est subtil et enfin on prend pas les spectateurs pour des cons, ce qui me fait très plaisir. Malheureusement... il y a pas mal de longueurs. Une demi-heure aurait pu être coupée pour dynamiser le tout, mais ça aurait voulu dire couper de très bonnes scènes avec des personnages intéressants, ce que manifestement McQueen n’a pu se résoudre à faire. Dommage, on est passé à un cheveu d’un chef d’oeuvre !

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Un scénario palpitant (ce qui n’est guère étonnant pour une adaptation de Tom Clancy) et des acteurs crédibles sans être éblouissants permettent de passer outre la réalisation quelconque. On ne s’ennuie pas dans ce blockbuster intelligent ! Un très bon film d’action.

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L'interprétation de Jack Ryan par Baldwin est bonne sans être franchement mémorable... contrairement à tout le reste de film ! Probablement mon film de sous-marins préférés. On regrettera juste que les motivations des officiers russes pour faire défection sont naïves (pour Sam Neil) ou obscures (pour Connery). Et l'intrigue avec le saboteur, pas assez bien expliquée (qui était-il vraiment ? pourquoi a-t-il saboté le sous-marin ? comment a-t-il pu récupérer ses ordres après le départ du sous-marin ? etc).

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Harrison Ford, quoi ! De loin la meilleure incarnation de Jack Ryan (bien au dessus d'Affleck, de Baldwin ou Krasinski). Il faut dire que l'histoire, beaucoup plus personnelle, aide à rendre le personnage plus intéressant. C'est cependant à double tranchant car les enjeux sont nettement moins importants (la protection d'une personnalité et de la famille Ryan) et le contexte moins intéressant (l'IRA). Enfin, la séquence de fin n'est pas des plus palpitante. Reste que l'on passe un bon moment. Et Harrison Ford, quoi !

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Harrison toujours au top, suite très bien faite de Jeux de Guerre, avec une intrigue mieux ficelée, en 5 actes et construite en miroir. Les jumeaux Ryan/Cortez (le "Ryan latino") sont particulièrement intéressants, en particulier dans la scène où ils réalisent en parallèle que les Américains ont tiré le missile. Du côté du négatif, la fin traine un peu en longueur.

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J'aime beaucoup la réalisation de Park Chan-wook, très inventive, variée et qui cherche régulièrement à nous sortir de notre zone de confort. Les acteurs aussi sont très bons, même si l'antagoniste est clairement trop jeune pour le rôle. L'histoire de vengeance est prenante. Pour autant, sans que je ne m'explique pourquoi, j'ai trouvé le film pas toujours bien rythmé. De même, ma suspension consentie d'incrédulité a parfois été mis à rude épreuve, notamment sur les révélations finales. L'idée et le parallèle avec l'histoire d'Œdipe roi est intéressante, mais je n'y a pas cru. L'hypnose est un ressort un peu trop facile, peut-être. Toujours est-il que j'ai passé un bon moment et que je suis content d'avoir enfin vu ce film.

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On retrouve l'humour absurde des frères Cohen, mais rapidement ça tourne en rond. Et pour cause : une fois qu'on a compris le ressort (l'absurde) on s'attend à ce que toutes les conventions soient inversées et ce qui devait nous surprendre et nous choquer tombe à plat. Pour des raisons de timing j'avais du arrêter avant la dernière histoire et je n'ai jamais eu spécialement l'envie de reprendre.

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L'univers décrit est absolument fascinant et très original : une bouffée d'air frais qui joue avec les conventions des films de flic et de fantasy. Les acteurs sont bons et l'histoire est prenante, bien que parfois un peu convenue ou alors embrouillée. Le dénouement final reste malheureusement assez plat et décevant, mais je regarderait une suite éventuelle avec plaisir.

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Encore un fois, quelques bonnes idées (la ville, ou le dilemme de fin du héros), mais pour ce qui est de l'exécution on repassera. En plus, c'est franchement laid. Je ne pense pas aller plus loin dans cette série filmique.

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Une esthétique de Michael Bay au rabais qui serait rentré en collision à grande vitesse avec un J.J. Abrams du dimanche : téléobjectif, travellings circulaires, contre plongées incessantes, ralentis, lens flares, et des couleurs saturées qui donnent un aspect jouet en plastique dégueulasse au film.
Une écriture qui me fait deviendir plus con à chaque scène et à chaque réplique (“Johnny, chicken burrito her”).
Des acteurs qui n’en ont rien à foutre, dont Taylor Kitsch le bien nommé, Liam "j’ai-des-factures-à-payer" Neeson et Rihanna, qui doit se chercher un nouvel agent.
Le compositeur des Transformers. Parce que, qui ne se souvent pas de la musique des Transformers ?
Un film, manifestement pensé pour des enfants, qui a un objectif double : utiliser une esthétique de jouets pour vendre l’armée américaine et sa propagande, et utiliser l’image bad-ass de l’armée américaine pour vendre des jouets. Ce qui le rend deux fois plus nauséabond. C’est loin d’être le premier, mais j’ai rarement vu de tentative aussi minable.
Un budget de 220 millions. Et ça me déprime.

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On ne sait jamais si cet humour absurde et vulgaire est véritablement drôle, complètement raté, ou tellement foiré qu'il en devient irrésistible. Ça fait partie du style Ferrel, et plus généralement de l'ADN du Frat Pack. Un vrai exercice de funambule, que certains verront échouer lamentablement... ou pas. Chez moi, ça fonctionne au coup par coup, mais reste que Anchorman est l'une des toutes meilleures comédies de cette génération de comiques américains.

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Le premier avait été une bonne surprise, drôle et plutôt intelligent. Cette suite nous vomit dans les yeux ses placements de produits à n'en plus finir (mais vous comprenez, c'est des "références") dans un internet cliché. Je l'ai trouvé moins fin, moins drôle et plus forcé. En un mot, moins bien écrit. On est presque au niveau de The Emoji Movie, c'est dire. Sa seule qualité, mis à part la bonne ligne occasionnelle, est sa morale, plutôt originale.

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Redmayne virtuose, Vikanders bouleversante. Sur le fond comme sur la forme, c'est fin et élégant. J'aime beaucoup la réalisation de Hooper, avec des lumières froides mais douces, une palette de couleurs claires et subtiles, des plans extérieurs composés comme des tableaux. À noter une très bonne bande son.

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Regarder un accident au ralenti, c'est toujours fascinant. D'autant plus lorsqu'on prie pour que se plantent ces projets vaniteux qui ne vivent que par leur marketing. Mon reproche au documentaire est une structure parfois un peu brouillonne, qui n'aide pas toujours à la compréhension.

Annotation :

Scénario anecdotique, humour frat-pack fidèle à lui-même (on aimera ou pas), Zoolander se laisse regarder sans franchement marquer.