Top 100 - La Musique de ma vie

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La naissance, la vie, la chute, l'espoir, la crainte, l'amour, la mort.
L'histoire de l'univers est dans Atom Heart Mother.

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"Un jour ou l'autre, il faudra qu'il y ait la guerre, on le sait bien. On n'aime pas ça mais on ne sait pas quoi faire."
Le Sud est en apparence une jolie chanson sur un jolie endroit. Mais c'est surtout la plus belle des parenthèses de bonheur, la plus cristalline et aérienne des secondes de sérénité juste avant la mélancolie. Cela ne dura qu'un instant, mais qu'est-ce qu'on était heureux.

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Puissiez vous briller de mille feux aussi longtemps que possible.
On touche à la grâce, ici.

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Pas la version de Buckley ! Jamais cette version.
Leonard Cohen un des derniers immenses poètes de la chanson. Un géant qui marchait au milieu des autres; un parolier de génie et un performeur invincible de puissance lyrique.
Hallelujah est son chef d'œuvre et il s'agit d'un hymne à l'amour et à l'érotisme. Quelle beauté.

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Never know best.

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Le classique absolu. Nous sommes tous une autre brique dans le mur, et on rêve tous un peu de le briser.
Quel bonheur que le mirage d'une révolte tuée dans l'œuf.

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Le premier morceau de métal de l'histoire est une composition de Vivaldi: le dieu du violon et mon musicien préféré.
Faites moi confiance; posez vous et écouter la Follia. Vous n'êtes pas prêt pour ce que vous allez vivre.

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C'est bizarre, c'est unique - c'est magnifique.
Rien n'y ressemble, et Kate Bush est un des rares génies à trôner dans son style.

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Un des meilleurs albums de tous les temps.
La véritable et plus parfaite adaptation d'Orwell.
Et quelle instru nom de dieu.

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Probablement une de celle que j'ai le plus écouté.
Celle qui me touche le plus intimement avec Evidemment.
Rarement une chanson a été aussi sincère et pure.

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La meilleure d'Eminem pour moi, et la chanson qui m'a fait découvrir le grand artiste qu'il est. Une très belle composition et un percutant hommage aux fanatiques des temps modernes.

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France Gall est ma chanteuse préférée; elle le sera sans doute toujours. Son duo avec Michel Berger nous donna parmi les plus beaux morceaux de musique française que je connaisse.
Evidemment, sa plus belle, est un hymne à la mélancolie; à un temps révolue et à la tragédie de faire survivre notre joie à ceux qu'on laisse derrière.

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Coup de cœur le plus récent. Un morceau de surpuissance au sens énigmatique. Il s'en dégage une fureur incandescente tout en subtilité. Inlassable.

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La version unplugged est encore meilleure, mais la chanson de base est formidable. Un des plus intemporels classiques qui soit et qui en plus d'être bien écrit avec des lyrics riches de sens à travers les époques et les tons, possède une des mélodies les plus catchy qui soit et dans le plus noble sens du terme.

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Shingeki No Kyojin brille entre autre par ses OST.
Elles sont nombreuses a être brillantes et inspirantes; même en comptant les opening qui sont pour la plupart mémorables.
Mais Vogel Im Kafig, en plus d'être la plus belle des musiques de l'anime, est une petite œuvre d'art, tant dans le chant, que dans l'exceptionnelle mélodie de Sawano, et enfin dans ce que ça raconte.

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Un conte mystérieux et splendide se dissimule dans ce petit air qui mine de rien, semble en avance sur son temps dans sa capacité à fabriquer des légendes en quelques notes.

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Cowboy Bebop n'est pas un de mes animes préférés, mais il a définitivement une des meilleures, si ce n'est la meilleure, des BO d'anime. Chaque morceau de musique, que ce soit de Yoko Kanno ou des Seatbelts est un classique instantané.
Call me call me est mon morceau préféré, le plus touchant et celui que je passe et repasse en boucle quand j'en ai besoin.

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Je regretterai toujours de ne pas avoir pu voir David Bowie en concert.
Un des plus grands artistes de la musique qui ait été, pour moi.
Life on Mars, au milieu de bien d'autres, demeurent comme un pilier de la chanson céleste.
Je ne suis jamais aussi proche d'autres planètes ou de vies aliens qu'en écoutant ce titre atmosphérique et hors du temps.

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Ma préférée de Deep Purple. Le final est gravé dans mon coeur.

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Le plus beau des génériques.
Adieu Monika.

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Elle est très importante pour moi celle là.
Un jour, je sais qu'elle me fera pleurer toutes les larmes de mon corps. Et je redoute ce moment.

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Une ambiance de film noir ou de cabaret des années 20.
Une chanson qui semble traverser toutes les autres et sublimer le mythe originel de l'amour fou. Qui peut résister à Mad about you ?

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J'ai découvert Aimee Mann dans le chef d'oeuvre de PTA, Magnolia. Je les adore toutes, mais s'il faut en choisir, c'est évidemment celle-ci.
Un sourire d'espérance et de désespoir dans l'exact même temps.
Quel miracle.

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Johnny Cash est l'un des rares artistes qui arrivaient à faire presque mieux à chacune de ses covers. Un interprète merveilleux qui resplendit d'autant plus sur cette reprise de Hurt pour laquelle sa voix est entièrement faite.
Un chant du cygne crépusculaire qui n'appartient qu'à l'âme qui a longtemps vécu.

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Encore une de Pink Floyd, mais qu'y puis-je ? C'est mon groupe préféré, et on ne peut ignorer celle-ci. Un des meilleurs solos de guitare de tous les temps, et une remarquable composition encore une fois.
C'est avec cette musique que je comprenais pour la première fois qu'on pouvait survoler les champs de la réalité sans être dans un état second; ne sous-estimons pas la musique.

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J'ai découvert cette version dans ma série préférée, The Leftovers (je trouverais toujours un moyen d'en parler) et elle m'a charmé comme rarement une reprise orchestrale m'a atteinte.
J'aime évidemment énormément l'original de Metallica qui est un petit chef d'œuvre (entendons nous bien) mais celle-ci me touche encore plus et en sublime le sens dans un paroxysme crépusculaire.

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On m'a beaucoup parlé de Pat Metheny par le passé. J'ai un peu honte d'admettre que je l'ai réellement découvert avec un ending de Jojo. Mais bon, y a pas de mauvaises façons de découvrir de grands artistes après tout.
C'est une musique absolument géniale, capable d'insuffler par son simple instrumental des émotions et un élan de nostalgie qu'on croirait venir d'ailleurs. J'en ai été obsédé longtemps; je le suis toujours un peu.
Je voyage en écoutant Last Train Home.

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Le triple générique de fin d'un de mes films d'animation préférés de tous les temps; j'ai nommé Kizumonogatari.
Les paroles sont françaises, pour une composition japonaise.
L'ultime amour mélancolique déversé dans ce qui est et restera une œuvre d'art aux facettes aussi ambiguës que démentes. L'évolution entre les deux fois féminines est ce qui me choque le plus; dans le meilleur sens du terme.

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On a cherché des successeurs à Brel; il n'y en pas.
Grand interprète, grand parolier.
Immense chanson. Incontournable.

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Je l'aime encore plus depuis que j'ai lu le one shot de Fujimoto qui lui fait un clin d'œil. Un jolie hymne à poursuivre sa route, sans rancœur. Comme dirait l'autre, "pose un regard sans haine sur le monde."
Elle a beaucoup grandit au moi.