Cover Top 50 des meilleurs FILMS D'ANIMATION de tous les temps (+8 bonus en fin de liste)

Top 50 des meilleurs FILMS D'ANIMATION de tous les temps (+8 bonus en fin de liste)

Les 50 meilleurs films d'animation jamais sortie ! allant de 1940 jusqu’à maintenant

Liste de

58 films

créee il y a environ 2 ans · modifiée il y a environ 1 mois

Redline
7.5
1.

Redline (2010)

1 h 42 min. Sortie : 19 octobre 2011 (France). Animation, Action, Science-fiction

Long-métrage d'animation de Takeshi Koike

Annotation :

Je n'en reviens pas... Ce bijou d'animation ma totalement grisée.
On ne va pas s'attarder sur son scenario très basique ni même sur les relations entre les personnages qui sont anecdotiques. Là ce qui importe le plus ! C'est tout simplement sa beauté plastique ! Son rendu visuel est absolument époustouflant ! Graphiquement, il n'y a pas de doute, c'est du Pop Art, le même qui est utilisé dans les comics américains, Une palette de couleurs très vives séparées par des ombres marqués d'une ancre très noirs. Et avec, cette patte esthétique, Koike a le génie de mêlée ça avec du Punk rock, du space opéra et du sport mécanique. Ses bikers de l'espace rétrofuturiste claque tellement visuellement ! Et avec tous ces minerais mise à disposition, koike en fait des diamants purs. Sa mise en scène est jouissive, car les scènes d'animation son rythmée aux basses de la musique, ce qui frictionne encore plus nos sens et l'animation en elle-même réussit à être efficiente quant à la sensation de vitesse extrême. Transpiration, saignement du nez, distorsion spectrale, caméra tremblante, bourrasque d'air, dégradation du véhicule, véhicule sortant du cadre, etc. Et puis quand JP utilise le "Steamlight" la dimension est pressurisée, basculant immédiatement en ligne droite, créant un ralenti, puis juste après un saut supersonique qui propulse le véhicule à une vitesse inestimable. Le spectateur bascule d'un sang chaud à un sang froid en une fraction de seconde, propageant des milliers de frissons partout dans le corps. Sensation unique et propre au film. Le réalisateur avec des dessins fait à la main et une image par seconde limitée à 24 te crée la plus puissante sensation de vitesse au cinéma. Vraiment, c'est un résultat optique parfait. Le design des personnages et des véhicules suinte tellement la créativité et j'adore le fait que les personnages soient désintéressés de l'enjeu dramatique de cette histoire, car eux ne font pas le piège de donner de l'importance au scenario très simpliste. JP et sonochi ont l'air si décontracter et les antagonistes et coureurs ont l'air si sérieux dans l'enjeu de l'histoire que ça crée un décalage plaisant qui rend attachant JP et sonochi. Toute la planète est en guerre à coup de bombe nucléaire et de monstre quantique, et à côté, nous avons 2 amoureux qui vivent leurs plus belle vie à dos d'une moto sous un ciel étoilé. Leur amour est simple et c'est ce qui la rend belle. Je suis touché par la grâce divine !
Le meilleur Film d'Animation

Ponyo sur la falaise
7.4
2.

Ponyo sur la falaise (2008)

Gake no ue no Ponyo

1 h 41 min. Sortie : 8 avril 2009 (France). Animation, Aventure, Fantastique

Long-métrage d'animation de Hayao Miyazaki

Annotation :

Rappelez-vous de ces BD jeunesse que vos éducateurs vous lisez en maternelle quand vous aviez 4ans. et ben ce film est l'incarnation de ces BD jeunesse !
Ces splendides décors crayonnés d'aquarelle et ses animations en ligne claire époustouflante. La musique et en plus pas pompeuse, car elle sait être discrète quand il le faut et rayonner quand il le faut. L'esthétique enfantine Maternelle fusionne incroyablement bien avec l'esthétique évangéliste apporté par la petite sirène d'Andersen (car miyazaki assume s'en inspirer presque totalement).
On peut aussi voir l'énorme ressemblance avec lilo et stitch :
– le film se déroule en bord de mer
– les personnages principaux sont des enfants
– le père n'est pas présent dans l'intrigue
– une amitié se crée entre un humain et un monstre
– cette amitié va être placée au centre du film
– À la fin du film, le héros sauve son ami
– l'esthétique en aquarelle crayonnée
Le duo sosuké et ponyo est sans doute la meilleure alchimie que l'on est vue au cinéma, quand sosuke et ponyo se rencontre pour la première fois, il s'adopte si naturellement comme une amitié inconsciente et innocente typique à l'enfance. C'est merveilleux de voir leurs petites aventures dans ce monde submergé par les vagues. Rien que le fait de les voir manger des nouilles instantané réchauffe à des centaines degré mon cœur. J'aime beaucoup que le film ne catégorise pas leur relation strictement comme étant exclusivement amicale ou amoureuse.
Leur relation est empreinte d'innocence et de pureté, typiques des amitiés d'enfance. Et voir sosuke être passionné par le métier de son père en le copiant avec son chapeau de marin et son petit bateau est charmant. Vous l'aurez compris, ses 2 petits enfants vivent des aventures trop cool. On ne veut que leur bonheur, car ils sont trop chouettes.
Miyazaki a atteint l'havre de paix avec ce film
Le meilleur film sur l'enfance.

Aladdin
7.5
3.

Aladdin (1992)

1 h 30 min. Sortie : 10 novembre 1993 (France). Animation, Musique, Romance

Long-métrage d'animation de John Musker et Ron Clements

Annotation :

Plongée dans le film, on a l'impression d'explorer un bazar étrange venant tout droit des milles et une nuit, ce conte mythique d'une beauté orientale.
Sur tous les aspects, le film a triomphé. L'amour simple et tendre entre la princesse et Aladdin, le fantastique attisant toutes curiosités, un visuel d'une rareté sublime débordant de charme et de démesure, l'action démentielle, l'excentricité du génie, un suspense maîtrisé, une narration millimétré, des personnages ayant une sincérité et surtout, le film émane une puissante MAGIE INIMITABLE. Il est envoûtant.
À la fin du film, j'en ressors tremblant d'émotion et mon cœur brulé de passion
Le meilleur Disney.

Coraline
7.2
4.

Coraline (2009)

1 h 40 min. Sortie : 10 juin 2009 (France). Animation, Drame, Fantastique

Long-métrage d'animation de Henry Selick

Annotation :

Coraline est tout simplement le chef d'œuvre d'Henry Selick, son film est trop charmant.
Commençons d'abord par le personnage principale Coraline. C'est une fille très courageuse et curieuse, mais elle n'est jamais contente, c'est parent lui refuse tout et lui impose des taches et un comportement qu'elle ne veut pas. Elle recherche quelque chose d'excitant dans sa vie qu'elle trouve morne et insipide. Elle est vraiment attachante, car on s'est tous retrouvés à ça place, c'est-à-dire en manque d'attention auprès de ses parents, voulant s'amuser et oublier l'ennuie de l'existence, rêver d'une vie meilleure avec de meilleurs parents etc. Et sa curiosité à l'exploration me plait beaucoup.
Parlons maintenant du point culminant du film, son "ESTHÉTIQUE".
Alliant conte pour enfant (rappelant le petit chaperon rouge) et folklore celtique horrifique (sorcière des bois avec poupée vaudou), le film touche particulièrement quelque chose de MYSTIQUE. Rien que le jardin introduit à merveille cet univers graphique, des lumières fluorescentes de toutes les couleurs dans une nuit étoilé sous une gigantesque pleine lune, des magnifiques mets garni des meilleurs ingrédients dans une table décorés. Tout cela contenue dans une minuscule porte cachée. À mesure que le film avance tout devient de plus en plus factice, l'herbe, le ciel, et tout ce qui avait de merveilleux se décolore. Les personnages aimant auquel ont deviné leurs superficialités révèle une détresse due à la sorcière. La sorcière est vraiment effrayante, plus le film se développe, plus son visage et son corps se transforme en araignée squelettique. Et la musique dépeint tellement bien cet ensemble.
Vraiment ce film m'a enchanté et propulsé vers de nouveaux horizons artistiques.
À la fin du film, J'en ressors toucher par une trans musicale et un plaisir visuel et affectif
Le meilleur Film d'Henry Selick

L'Étrange Noël de Monsieur Jack
7.6
5.

L'Étrange Noël de Monsieur Jack (1993)

The Nightmare Before Christmas

1 h 16 min. Sortie : 7 décembre 1994 (France). Animation, Fantastique, Comédie musicale

Long-métrage d'animation de Henry Selick

Annotation :

Henry Selick est un de mes réalisateurs préférés, il a accompli avec ce film quelque chose de grand.
Une Histoire étrange et pleine d'idées, mêlée Halloween et Noël dans le même film pour traité de l'ennui esthétique d'une célébration, et aussi de l'importance de trouver sa place dans le monde et d'être en phase avec soi-même. Ce contraste esthétique n'a jamais été vue, ce qui est remarquable.
La relation Sally et Jack est simple et touchante, mettre ce couple dans cette comédie musicale fantastique, sublime cette romance.
Le visuel est créatif et déborde de beauté, la mise en scène de tous ces personnages dans ce petit monde ténébreux et joyeux est extatique. Selick a fait un travail remarquable sur la mise en mouvement de ce monde fou et Burton à lui aussi fait un travail superbe sur la direction artistique (conception des personnages, décoration ...) Ce monde est plein de vie malgré que tous soit mort-vivant.
Le film met au centre de l'attention sa musicalité, qui est phénoménale, les idées de mise en scène sur les musiques du film offrent une théâtralité grandiose.
À la fin du film, J'en ressors tout charmé et mon cœur brulé d'émotion.
La meilleure comédie musicale.

Le Vent se lève
7.3
6.

Le Vent se lève (2013)

Kaze tachinu

2 h 06 min. Sortie : 22 janvier 2014 (France). Drame, Biopic, Historique

Long-métrage d'animation de Hayao Miyazaki

Annotation :

C'est fabuleux.
C'est sûrement le film de miyazaki le plus personnel et le plus différent de toute sa filmographie.
On est plus sur du fantastique, le héros grandit au fur et à mesure du film et le film se place dans un contexte historique très précis. Et on s'attaque directement à l'énorme passion de miyazaki, "les avions".
Les plans et l'animation sont inspirés de tableau occidentaux, et ça se marie trop bien avec la musique en accordéon italienne, sachant que miyazaki adore se pays. C'est un peu comme porco rosso sauf qu'il n'y a pas de surnaturelle et qu'il y a un enjeu et une tendresse dévorante.
La musique est bien présente et n'aseptise pas les scènes, car desfois, elle n'indique pas de direction émotionnelle et est assez ouverte. Et dans les autres cas, elle indique une mélancolie et une nostalgie d'une époque, donc elle fait sens et ne gâche rien.
La force du film et son personnage principale qui travaille comme un fou furieux pour atteindre son but utopique. Jamais un film m'a embarqué dans cette passion aéronautique, le voir tester des prototypes, faire des essais, échouer, puis recommencer à zero et entre temps voir ses rêves idyllique avec son idole italiens captive cet entichement. Et ses rêves réconfortent à chaque fois le héros dans son avancée qui plus est sont splendides, je pense à la scène ou l'italien à ramener tout son village dans son avion pour célébrer sa construction. Et ce ciel Bleu azur maquillé de quelques nuages blanc alpestre sur un sol vert émeraude. Le titre ne ment pas, on ressent jusqu'au moindre détail le vent si léger et si lisse qui se prolifère dans les arbres et l'herbe, portant les avions en altitude.
Et cet amour irrésistible entre sa compagne et le héros, perfore le cœur, surtout quand elle est sur le point de mourir.
Un grand film d'animation.

Le meilleur film sur les avions

Le Château ambulant
8
7.

Le Château ambulant (2004)

Hauru no ugoku shiro

1 h 59 min. Sortie : 12 janvier 2005 (France). Animation, Aventure, Fantasy

Long-métrage d'animation de Hayao Miyazaki

Annotation :

Si le fantastique devait s'incarner, c'est en ce film qu'il le ferait.
Tout est bizarre au premier abord, beaucoup de clicher de scenario devait s'appliquer dans ce film, mais miyazaki fait le choix de prendre une tout autre direction. Sophie qui n'est pas gênée à avouer son amour a hauru, là où tous les films pour enfant et ado marquerait une certaine gêne. Sophie n'est pas pressée de retrouver son apparence, elle n'a pas l'intention de se venger du maléfice qu'elle a subi, là où tous les films peu originaux concentrerait leur intrigue sur ça.
Dans sa filmographie, Miyazaki réalise toujours 2 type de film, soit c'est un totoro, c'est-à-dire un film qui va tendre vers la contemplation et la tranche de vie, avec peu ou pas d'enjeu. Ou soit c'est un nausicaa, c'est a dire un film qui a un récit épique avec de grand enjeu et beaucoup d'action. Là ce film est tout autre, il est à la foi une tranche de vie fantastique pleine de beauté où les enjeux ne sont pas préoccupants et a la foi un récit épique qui confronte 2 nations belliqueuses dont la fin va susciter un enjeu pour nos personnages.
Les personnages sont tous attachants, hauru est très touchant, car il a une façade très charismatique, mais au fond, il est terrifié par sa laideur qu'il dissimule par sa magie, Sophie robotique au début révèlera une humanité est une dévotion rare, la sorcière très ténébreuse au début révèlera une mignonnerie dans ses faiblesses inavouée.
Et au niveau de l'architecture ses époustouflant de voir ces bâtiments occidentaux et à la foi de voir dans le château ambulant une chambre d'un souffle orientale débordant de charme.
Le film émane une vraie magie est les comportements des personnages surprennent tant ils sont dépourvus de clichés
Le meilleur film fantastique

Fantasia
7.5
8.

Fantasia (1940)

2 h 04 min. Sortie : 1 novembre 1946 (France). Animation, Sketches, Comédie musicale

Long-métrage d'animation de James Algar, Samuel Armstrong, Ford Beebe, Norman Ferguson, Jim Handley, T. Hee, Wilfred Jackson et Hamilton Luske

Annotation :

Des tableaux de la genèse prenants vie sous la pâte de Disney avec de l'animation abstraite et onirique retraçant les plus grand chef d'œuvres de la musique classique.
Extatique.
Rien à rajouter de plus.

Le meilleur spectacle d'animation

The Legend of Hei
7.7
9.

The Legend of Hei (2019)

Luo Xiao Hei zhan ji

1 h 41 min. Sortie : 7 septembre 2019 (Chine). Animation

Long-métrage d'animation de Mù Tou (MTJJ)

Annotation :

The legend of Hei comme Le voleur et le cordonnier fait partie des films d'animation impensable sortie tout droit de nos rêves les plus fous !
Le style graphique emprunte la ligne claire qui est Magnifique, je dirai même qu'aucun film d'animation n'a cette qualité de ligne claire.
Les 2 personnages (infinity et Hei) forme un duo très attachant. Infinity est très taciturne et inexpressif, mais en réalité, il cache une tendresse est une bonté infinie. Hei est naturellement bon, mais malgré sa naïveté et son âge, il révèle une grande sagesse.
L'exploration est jouissive, on aimerait vivre dans ces décors paisibles.
Les combats sont un peu brouillons, mais révèlent une qualité d'action remarquable, les techniques de combat et les mouvements ont été murement pensés.
Le scenario est intéressant, le méchant est un esprit incarnent la nature et la neutralité est incarnée par l'urbanisation des hommes et les gentils sont les esprits. Il est rare que dans un film pour enfant, on mette comme méchant la nature.
Le film va concentrer son temps aux péripéties de hei et infinity dans ce paysage chinois et maritime absolument délicieux
À la fin du film, j'en ressors émerveillé et apaisé.
Le meilleur Film d'animation Chinois.

Steamboy
6.9
10.

Steamboy (2004)

Suchîmubôi

2 h 06 min. Sortie : 22 septembre 2004 (France). Animation, Action, Aventure

Long-métrage d'animation de Katsuhiro Ôtomo

Annotation :

Steamboy est pour moi le meilleur film de Katsuhiro Ottomo.
Est-ce que j'ai vraiment besoin de souligner son esthétique steampunk absolument démentiel ? de son architecture ghotique/steampunk/dieselpunk/art-déco ? de ses répliques frissonnantes ("Par tout dans le monde, l'humanité attend les bienfaits de la science ! PARTOUT DANS LE MONDE L'HUMANITÉ ATTEND LES BIENFAITS DE LA TOUR STEAM ! ") ? du Style des personnages très charismatique (Edward Steam ayant la peau pâle et un corps cyborg façon steampunk, Ray avec sa tenue aéronautique steampunk) ?
Et surtout le ton du film est grisant.
On parle d'inventeurs des temps modernes voulant par leur technique utilise le pouvoir de la Science pour élever l'humanité au-delà du divin.
La Tour Steam est incroyablement fascinante et terrifiante à la fois. Quand Ray prend la première fois l'ascenseur de la tour avec son père, on a l'impression de descendre les Abymes de l'enfer et d'entrée dans le cœur de la machine infernal, sa salle de contrôle est un Dôme Astrale Divin pour montrer le clair-obscur avec l'intérieur de la Tour.
Plein d'idée de steampunk, plein d'idée d'animation.
Mais, l'énorme défaut du film, c'est qu'à l'image de son scenario, le film est trop instable, le film détient une idée esthétique forte, mais qui s'échappe de son réceptacle si facilement.
La guerre éclate trop bêtement, on a plus d'affect pour l'enjeu, trop d'explosion (comme akira), le traitement philosophique n'est plus poussé dans la seconde moitié du film, de mauvaise idée de scenario (meme si le scenario on s'en fout, quand le film montre du mauvais scenario, il n'en profite pas pour montrer autre chose), au premier tiers du film, on devine facilement tout ce qui va se passer.
L'ambition est finalement retombée à la bassesse de l'échec.
Néanmoins, il est reste la meilleure œuvre sur l'art du steampunk.

Le Voyage de Chihiro
8.4
11.

Le Voyage de Chihiro (2001)

Sen to Chihiro no Kamikakushi

2 h 05 min. Sortie : 10 avril 2002 (France). Animation, Aventure, Fantasy

Long-métrage d'animation de Hayao Miyazaki

Annotation :

Une pépite d'or !
Pour résumer, le voyage de chihiro c'est comme Alice au pays des merveilles sauf que toute l'esthétique est enrobée d'une féerie mêlée entre Chine et Japon sous poudrée de quêtes initiatiques. C'est un délice visuel à chaque instant et toutes les idées de mise en scène complètement mystique colle, une ambiance qui ne s'en va jamais !
Chihiro énervante par sa maladresse et sa timidité au début du film va devenir attachante par la suite. On ne comprend pas tous le lore ni toutes les histoires qu'entourent les personnages clés du film (haku, yuubaba, sans visage etc...) mais ce n'est pas important, car ça renforce l'immersion dans ce monde, ces questions qu'on se pose sur eux renforce l'attractivité que le spectateur a au film et c'est très malin d'avoir pensé à ça. Ce qui accentue encore plus l'immersion et l'exploration, c'est cette lenteur que le réalisateur dissémine dans son film, on prend bien le temps d'animée chaque maladresse de chihiro et l'interaction qu'elle a avec le décor pour que le spectateur s'imprègne de l'espace et de l'énergie d'un lieu. Au bout de 30 minute de film, je pouvais déjà dessiner une carte entière du monde de chihiro. Les plans basculent d'un minimalisme à un surplus de détails minutieux. Et les scènes étrange marque à vie, je pense au moment où chihiro nettoie le gros tas de morve avec une coulée d'eau chaude divine, très satisfaisant. Ou même toute la gestuelle de yuubaba très burlesque.
Seul défaut, je dirais que la musique dessert l'émotion de certaine scène, car elle est utilisée à outrance durant tout le film.
À la fin du film, j'en ressors passionnée de la nuit et de mythologie.
Le meilleur film de purification

Les Indestructibles
7.1
12.

Les Indestructibles (2004)

The Incredibles

1 h 55 min. Sortie : 24 novembre 2004 (France). Animation, Action, Aventure

Long-métrage d'animation de Brad Bird

Annotation :

Depuis 2004 et jusqu'à maintenant, aucun film de superhéros n'a su atteindre sa cheville.
Malgré que le film est 20 ans cette année, je trouve l'action du film et son esthétique encore très impressionnantes.
Avoir réussi à convertir des dessins animés en 2d des années 50 à un style déco-punk/Art déco en 3d est remarquable. L'action est captivante et surprend toujours, les répliques colle trop bien à l'héroïsme et le vintage. Et la musique est parfaite.
Vraiment le film est une réussite sur le plan belliqueux et plastique.
Les mises en scènes offre des plans sublime (surtout quand ils sont sur l'ile de syndrome) le personnage de monsieur indestructible malgré qu'il incarne un héros représentatif du genre à une personnalité touchante et propre à lui. Le voir comme un père de famille stressé par son travail, voulant tout arrêter pour retrouver sa gloire d'antan. Plus tard dans le film, il finit piégé par Syndrome et on ressent toute sa peur et son inquiétude envers lui et ses proches, il regrette son égoïsme et ça le rend crédible
Mais le défaut du film reste qu'il est un film familial avant tout, et qu'il doit forcément être très rythmé pour ne pas ennuyer le spectateur.
À la fin du film, j'ai les yeux remplis de super
Le meilleur film de superhéros

Shrek 2
6.6
13.

Shrek 2 (2004)

1 h 33 min. Sortie : 23 juin 2004 (France). Animation, Aventure, Comédie

Long-métrage d'animation de Andrew Adamson, Kelly Asbury et Conrad Vernon

Annotation :

Shrek 2, c'est un peu comme kingdom hearts, l'entièreté de leur univers est constitué de référence et c'est cool de voir ce genre de film faire ça, car il se dégage toujours quelque chose de créatifs sous cette montagne de caméo. Au cours du film, on ne peut jamais prévoir ce qu'il va se passer, évidemment les arcs narratifs, les conclusions et introductions sont connus, mais leurs exécutions sont inconnues. C'est marrant et génial de voir cette culture américaine très moderne fusionner parfaitement avec un univers fantastique-médiéval. Les gags fonctionnent et ne sont pas lourds (appart pour l'âne) les idées de mise en scènes sont insolites. Et surtout le message du film malgré qu'il soit simpliste et connus est tellement bien exprimer, la beauté intérieure est ce qui importe pour une relation amicale ou amoureuse et c'est crédible, car le film nous prouve que Shrek sous couvert d'une forme humaine n'est pas plus beau qu'en ogre et pareil pour l'âne et Fiona. Leur sympathie et leur confiance en eux dépassent leur enveloppe corporelle

Le Garçon et le Monde
7.6
14.

Le Garçon et le Monde (2013)

O Menino e o Mundo

1 h 20 min. Sortie : 8 octobre 2014 (France). Animation, Aventure, Road movie

Long-métrage d'animation de Alê Abreu

Annotation :

Cette critique exprime parfaitement mon avis -->https://www.senscritique.com/film/le_garcon_et_le_monde/critique/45549942 et je rajouterai que l'idée du film qui est de nous emmener dans un voyage hallucinant et la meilleure des idées pour dévoiler tout ce panorama esthétique

Tarzan
6.9
15.

Tarzan (1999)

1 h 28 min. Sortie : 24 novembre 1999 (France). Animation, Aventure

Long-métrage d'animation de Chris Buck et Kevin Lima

Annotation :

Au cœur de l'Afrique, dans une jungle qui ne pardonne rien, nous suivons l'odyssée de Tarzan. Le film offre un paysage d'une rare beauté, des immenses cascades d'eau s'échouant sur une faune et une flore resplendissante. Une action féroce, surhumaine, d'un rythme jouissif. Et surtout un personnage intriguant.
Au début du film, dans les 20 premières minutes, c'est un peu niait, malgré la violence, Tarzan attise la pitié et recherche l'attention d'une famille dont il voudrait bien en faire partie. Puis quand il devient adulte, le film a le génie de changer le ton et de nous montrer de l'action pure et dur ! De grande acrobatie et d'agilité avec l'environnement, des combats démentiels et des parcours semaient d'embûche, toutes ces mises en scène ne font que bonifier davantage cet environnement local si impraticable par des humains en rajoutant une adrénaline vertigineuse. Tarzan est devenu prestigieux et en même très tendres, nous voulons le suivre et voir sa réaction et après son enthousiasme à la culture humaine.
Voir cet homme abandonné par les humains se faire petit accepter par la famille des gorilles nous touche, car on sent que tarzan aime cette famille malgré qu'il le dénigrait bcp au début du film et qu'il fait tout pour se rendre utile, puis il a su faire ces preuves et gagner le cœur de Kerchack. Vous l'aurez deviné, la force du film est tarzan et son interaction avec son environnement.
Il ne peut pas être placé plus haut, car le film a un peu trop de musique, ce qui décontenance l'émotion de certaines scènes (même si par moment, elle joue le rôle inverse) et n'assume pas complétement sa violence (pas de sang sur le jaguar ni sur Kerchak , la mort de Clayton est hors champs ...)
Malgré tout le film réussit son immersion dans cette jungle inhospitalière guidée d'un héros fort et courageux

Lilo & Stitch
6.7
16.

Lilo & Stitch (2002)

1 h 25 min. Sortie : 22 juin 2002 (France). Animation, Aventure, Comédie

Long-métrage d'animation de Chris Sanders et Dean Deblois

Annotation :

L'émotion marche.
Un visuel Retrowave/Hawaï avec une esthétique "space-toys"comme ratchet et clank ce qui offre un confort visuel et une chaleur rarement égalée.
Et en plus les décors sont tous en aquarelle ce qui renforce cette sérénité. Malgré que dans le film Stitch dit qu'il est une peluche (ce qui renforce la commercialité et définit Stitch comme un produit plutot que comme un personnage), on ne peut que remarquer qu'il est en réalité adorable et tendre sous cette brutalité monstrueuse.
Lilo est adorable aussi, car elle pardonne tout et fait preuve de responsabilité (plus que nani), sa façon de parler est trop juste et prend les gens comme ils sont sans les juger.
La musique est très bonne aussi, mais elle aurait pu ne pas être trop présente
À la fin du film, j'en ressors apaisé.
Le meilleur film sur Hawaï

La Tortue rouge
7.2
17.

La Tortue rouge (2016)

1 h 20 min. Sortie : 29 juin 2016. Aventure, Animation

Long-métrage d'animation de Michael Dudok de Wit

Annotation :

Critique résumant parfaitement mon avis --> https://www.senscritique.com/film/la_tortue_rouge/critique/98487438

Mon voisin Totoro
7.8
18.

Mon voisin Totoro (1988)

Tonari no Totoro

1 h 26 min. Sortie : 8 décembre 1999 (France). Animation, Fantastique

Long-métrage d'animation de Hayao Miyazaki

Annotation :

Une musique enchanteresse accompagnant un panorama d'une douceur délicate.
Si l'enfance devait s'incarner, il s'incarnerait en ce film, il est tellement juste dans son traitement de la curiosité et des plaisirs perdus de l'enfance.
Le film présente une belle campagne universelle avec du fantastique très très bien exploiter, le mystère se dévoile petit à petit et la mise en scène joue hyper bien son rôle, d'en montrer suffisamment pour qu'on soit très curieux et en même ne pas en montrer trop pour attiser l'enthousiasme pour la suite.
Le film est beau dans sa musique et son visuel, il nous met si bien dans la peau d'un enfant.

L'Œuf de l'ange
7.4
19.

L'Œuf de l'ange (1985)

Tenshi no Tamago

1 h 11 min. Sortie : 22 décembre 1985 (France). Animation, Drame, Fantastique

Long-métrage d'animation de Mamoru Oshii

Annotation :

En parfait accord avec cette critique -->https://www.senscritique.com/film/l_oeuf_de_l_ange/critique/78246977
Et je rajouterai que dans sa filmographie, le réalisateur n'a jamais aussi bien réussi à poser une ambiance si grisante et une fin aussi limpide que mystique.

Dingo et Max
6.4
20.

Dingo et Max (1995)

A Goofy Movie

1 h 18 min. Sortie : 3 juillet 1996 (France). Animation, Aventure, Comédie

Long-métrage d'animation de Kevin Lima

Annotation :

Max est un lycéen qui vie sa vie de lycéen du mieux qu'il peut malgré son stresse et sa timidité qui le ronge. Son manque de confiance en lui et d'aisance sociale s'effacera plus tard par son courage et son ambition. Et dingo est un père atypique, fun et déglingo ne sachant pas comment se comporter avec son fils. Nous voyons que sous ses airs de débile mentaux maladroits se cache un père craintif, aimant son fils de tout son cœur et souhaitant le mieux pour lui. C'est donc avec ces 2 excellents personnages que nous partons dans un voyage à travers l'Amérique. L'art pop des années 90s est tellement belle à voir, des motels avec des lits remplient d'eau, des fringues typiques des années 90, plein d'objet adhoc de cette époque, des dégaines de superhéros (sûrement les idoles des jeunes Américains), des stars comme Elvis MJ Elton John... Et le tout englober d'une musique Pop Rock directement inspirer de Mickael Jackson. Leurs péripéties sont jouissives à suivre, car voir max déprimer durant tout le voyage et dingo faire tout son possible pour mettre la bonne ambiance afin de remonter le moral de son fils est très touchant.
C'est sans doute le meilleur film pour ressentir la vibe des années 90 (alors que je n'ai jamais vécu cette époque)
Max ressemblerait à n'importe quel adolescent et aucun père ne ressemblerait à Dingo, la subtilité est là.

Akira
7.9
21.

Akira (1988)

2 h 04 min. Sortie : 8 mai 1991 (France). Animation, Science-fiction

Long-métrage d'animation de Katsuhiro Ôtomo

Annotation :

Ce que j'adore avec Otomo c'est que, avant de s'attaquer à un champ artistique, en l'occurrence le Cyberpunk, il va emprunter plein d'idée novatrice et de référence clés pour être le plus juste possible.
Dans Akira, on ne peut que voir l'influence de l'illustre Syd Mead. Ses énormes bâtiments dépassant les nuages autant larges que longs et ses véhicules si smooth et aérodynamique. Et son talent d'animateur ancestralise beaucoup de scènes impactantes, je pense à la scène ou testuo et sur le trône de l'olympe et qu'il se transforme petit à petit en abomination organique ou la scène ou testuo vole la moto de kaneda et commence à avoir ses pouvoirs s'éveiller.
Mais outre le fait que l'animation sublime l'univers installé, le point le plus intéressent et exaltant du film et la relation testuo Kaneda.
Tetsuo rongé par la jalousie envers son ami parce qu'il a une plus belle moto que lui, parce qu'il est plus faible que lui, parce qu'il est obligé de se faire aider pour s'en sortir. Et tout à coup Tetsuo se retrouve doté de grands pouvoirs qui le dépassent, et le fait que ça soit celui qui était toujours le second, celui qui avait de la rancœur est assez intéressant pour le développement du personnage.
Ce que j'ai trouvé dommage, c'est que le film en fait un peu trop en termes de spectaculaire, ce qui surprend plus au bout d'un moment
À la fin du film, j'en ressors exalter
Le Meilleur Film sur le cyberpunk

Les Enfants loups, Ame & Yuki
7.8
22.

Les Enfants loups, Ame & Yuki (2012)

Ôkami Kodomo no Ame to Yuki

1 h 57 min. Sortie : 29 août 2012 (France). Animation, Drame, Fantastique

Long-métrage d'animation de Mamoru Hosoda

Annotation :

Le film a pour principale qualité d'être terriblement touchant.
On suit une mère qui élève des enfants mi humain mi loups dans une société humaine. C'est terriblement beau de voir cette famille évoluer dans une campagne resplendissante, on voit toutes les saisons se passer dans cet endroit paradisiaque et c'est kiffant de voir ce bonheur et ce labeur surtout pour des enfants à moitié bête. Je pense à la scène dans la neige où la mère et les 2 enfants s'amuse comme des fous sous un ciel bleu azur épousant le blanc de la neige ou même quand ame suit le renard jusqu'à une colline surplombant une magnifique vallée.
Et arrivé au 2/3 du film, ame décide de quitter à tout jamais sa famille pour devenir un loup, sachant que sa mère a tout fait pour lui, pour qu'il ait une bonne éducation, suffisamment d'amour... Et dans un même temps, Yuki est en train d'avouer qu'elle est en réalité une louve au près d'un garçon dont elle n'ose pas lui déclarer son amour. 2 scènes MAGISTRALE se déroulant en parallèle et en même temps en opposé, car Yuki choisit la vie humaine et Ame choisit la vie bestiale. La scène de Ame est terriblement triste car Ame, on l'a vue grandir et on a fini par s'identifier à lui, on ne veut pas qu'il parte et qu'il devienne un loup, car notre communication d'humain à humain avec lui serait briser à tous jamais. Et la scene de Yuki est charmante à souhait, car sous une couleur bleu nocturne aux toiles blanc, nous dévoile sa nature, c'est à dire son handicap de vie, et son confident lui révèle son drame familial qui impactera à tout jamais sa vie. Tous les 2 se sont mis à nu et ont ressorti leur bête noir qui les ronge. C'est trop émouvant.
Mais de l'intérieur le film est un peu gâché par cette musique outrageante qui fait "tire larme" et qui aseptise beaucoup de scène qui n'ont pas besoin de ça. La musique indique une direction émotionnelle spécifique et limite la possibilité de ressentir une scène différemment de celle qu'elle suggère. Et les personnages sont un peu trop niait et souriant surtout la mère. Ducoup t'as cette frustration d'avoir un grand film en face de toi qui aurait pu être mieux sans ses artifices destiner au grand publique.

Le meilleur film de Mamoru Hosoda

Les Amants électriques
7.2
23.

Les Amants électriques (2014)

Cheatin'

1 h 17 min. Sortie : 23 avril 2014 (France). Animation

Long-métrage d'animation de Bill Plympton

L'Impitoyable Lune de miel
7.3
24.

L'Impitoyable Lune de miel (1998)

I Married a Strange Person

1 h 13 min. Sortie : 18 novembre 1998 (France). Animation, Comédie, Drame

Long-métrage d'animation de Bill Plympton

Annotation :

C'est la magie de Plympton, avec 3 fois rien il te procure 5 fois plus d'émotion qu'un film d'animation surproduit (frozen, Princesse mononoké, asterix et obelix le domaine des dieux ...). Trop d'idées d'animation dans une seule une séquence de 3 image. Son style brut est unique, je vois masaaki yuasa tenter d'emprunter son style, mais ne jamais l'atteindre... ces dessins présente des ratures, des patrons mal gommés, des traits qui dépassent, mais grâce à ses idées de mise en scène qui sont des diamants purs, ses impuretés participe au charme de sa réalisation.

Le Garçon et la Bête
7.6
25.

Le Garçon et la Bête (2015)

Bakemono no Ko

1 h 59 min. Sortie : 13 janvier 2016 (France). Aventure, Fantastique, Animation

Long-métrage d'animation de Mamoru Hosoda

Annotation :

Très d'accord avec cette critique --> https://www.senscritique.com/film/le_garcon_et_la_bete/critique/80791795
Et, je rajouterai que le folklore chinois servant de support au film rend extrêmement bien tout le propos sur l'apprentissage et la quête de soi au travers des relations humaines pouvant dériver au ressentiment ou a l'indulgence.

Princesse Mononoké
8.4
26.

Princesse Mononoké (1997)

Mononoke-hime

2 h 14 min. Sortie : 12 janvier 2000 (France). Animation, Aventure, Fantasy

Long-métrage d'animation de Hayao Miyazaki

Annotation :

En parfait accord avec cette critique --> https://www.senscritique.com/film/princesse_mononoke/critique/32107554

Je rajouterai que les idées de rendre mystique la nature et effrayante à la fois fonctionne trop bien (les petits fantômes en pierre, les loups et les sangliers géants, la nature débordante)
La vision du Dieu de la nature de miyazaki est pertinente, car en forme spectrale, il se déplace comme un humain et quand il est dans sa seconde forme, il se déplace comme un animal, ce qui montre que ce Dieu est à la fois celui des hommes et des animaux et qu'il est neutre dans cette dualité entre homme et animaux. Et j'ai bien aimé les idées reprises des myth religieux, marcher sur l'eau (Christianisme) marcher sur le sol fait pousser de la végétation (Islam). Son propos a su évoluer dans son film en évoluant de manière à être nuancé et à pas prendre parti (même si la fin prend un ptit peu parti pour la nature) contrairement à ses précédents film. Ashitaka neutre dans l'histoire, comprend les motivations des humains à s'émanciper de la nature et comprend les motivations des animaux à la préserver.
Seul défaut, je dirais que le film est un peu long pour ce qu'il raconte, on peut enlever 30 minute de film qui ne sont que des explosions et des batailles.

Magistrale

Le Jour des corneilles
7.1
27.

Le Jour des corneilles (2012)

1 h 36 min. Sortie : 24 octobre 2012. Animation

Long-métrage d'animation de Jean-Christophe Dessaint

Annotation :

En accord avec cet avis --> https://www.senscritique.com/film/le_jour_des_corneilles/critique/35589616

Et je rajouterai que la relation du père et du fils et une situation qui touche tout le monde est que beaucoup de famille vive ça. C'est un thème Universel qui dans le film est poussé à l'extrême. Le père est dépressif depuis que sa femme est morte, et par ce chagrin terrible, il rejette à son fils son sentiment d'insécurité, de peur et de solitude qu'il éprouve. Cette situation rend l'enfant déboussolé et décaler de la civilisation face aux autres enfants normaux qui n'ont pas ces problèmes là, son éducation est donc effacée pour laisser place à la terreur de son père.
Tout ça est trop touchant.

Coco
7.7
28.

Coco (2017)

1 h 45 min. Sortie : 29 novembre 2017 (France). Animation, Aventure, Comédie

Long-métrage d'animation de Lee Unkrich et Adrian Molina

Annotation :

Cette critique exprime parfaitement mon avis -->https://www.senscritique.com/film/coco/critique/146914201 et je rajouterai que le visuel et l'ambiance musicale sont exceptionnels.
Mais ce qui me dérange un peu, c'est que le film se la joue moralisateur et place la famille comme une chose capitale est indispensable qui est tout le temps bénéfique. Et le film use de procéder narratifs déja vu 1000 fois

Le Conte de la princesse Kaguya
7.9
29.

Le Conte de la princesse Kaguya (2013)

Kaguyahime no Monogatari

2 h 17 min. Sortie : 25 juin 2014 (France). Animation, Drame, Fantastique

Long-métrage d'animation de Isao Takahata

Annotation :

Tout à fait d'accord avec cette critique --> https://www.senscritique.com/film/le_conte_de_la_princesse_kaguya/critique/18578648

Bambi
6.8
30.

Bambi (1942)

1 h 10 min. Sortie : 15 juillet 1947 (France). Animation, Drame

Long-métrage d'animation de James Algar, Samuel Armstrong, David Hand, Graham Heid, Bill Roberts, Paul Satterfield et Norman Wright

Annotation :

Sérénité, Amour, Vie et beau temps sous tous leurs aspects

Sogrenu

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