Un film, une blague

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Deux potes se rencontrent après s'être perdus de vu pendant quelques années.
- Alors ? Qu'est-ce que tu deviens ?
- Ben je fais un peu l'acteur…
- Quoi ? Acteur ? Mais c'est génial ! T'as tourné dans des trucs connus ?
- ben la je sors d'un téléfilm qui passera sur France 2 bientôt…
- Mais c'est génial ! Quelqu'un de connu sur le plateau ? Le réalisateur ?
- Le réal, c'était Spielberg…
- SPIELBERG ! STEVEN SPIELBERG ?? ÉNORME !
- Non, non Vincent Spielberg, un jeune qui débute.
- Ah… Quand même ! Et côté acteurs ou actrice ?
- acteur, ben t'avais Delon..
- DELON ? ALAIN DELON ?
- Non, Bertrand Delon, mais très pro, le mec ! Il donnait d'ailleurs la réplique à Deneuve.
- DENEUVE ? CATHERINE DENEUVE ?
- Presque, Fabienne Deneuve. Mais charmante aussi. Puis bon, quand même, la musique c'était Bruel.
- BRUEL ? PATRICK BRUEL ?
- Euheuhh.. Oui…oui, Patrick Bruel.

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- Chérie, regarde, j'ai trouvé en magasin une boite de préservatifs parfumés ! 30 parfums ! Fraise, framboise abricot… C'est pas le top? Non ? Si, hein ? On fait un blind-test ?
- (un poil désabusée…) ouais, super. (soupir) Bon, si tu veux… Vas-y, éteins la lumière…. (…) parmesan ?
- … Non, non, attend j'ai pas eu le temps d'enfiler la première !

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(blague marseillaise)

On est au 19ème siècle, et Marius, marseillais, décide de partir au far-ouest découvrir les terres inexplorées au delà des confins de la civilisation.
Il passe le dernier poste frontière, où les tuniques bleues locales lui disent à quel point il est fou de s'aventurer seul dans ces territoires infectés d'indiens, Marius affiche avec morgue et panache son statut de tête brûlée marseillaise: rien de lui fait peur.

Au bout de trois jours, l'inévitable survient. Il se fait capturer par une tribu de Cheyenne, est attaché au totem central du village indien et tous ses habitants commencent à chanter et danser autour de Marius, qui a compris que sa dernière heure était arrivée.
Ça dure pourtant trois heures, c'est interminable dans ce contexte, quand soudain la porte en peaux de loups du plus grand tipi du village s'écarte, et laisse passer celui qui ne peut être autre que le grand chef.
Et là, le temps se fige. Plus un geste plus un bruit de la part de toute la tribu qui semble pétrifiée, qui une jambe en l'air, qui les bras vers le ciel, les chiens, les oiseaux, les mouches, tout le monde s'est tu en une seconde.
Marius transpire.
Le grand chef, paré des plus belles plumes de la région, vient se planter en face de Marius, met sa main droite en visière au dessus de des yeux plissés, et scrute Marius avec une concentration terrifiante.
Puis fait demi-tour l'air perplexe et rejoint son tipi. A peine la porte refermée, l'activité fébrile des indiens reprend. les danses, les cris, le feu crépite de nouveau.

Ce petit manège dure trois jours (en cas de blague racontée et auditoire captivé, ne pas hésiter à reproduire la scène plusieurs fois), toutes les trois heures, le chef sort, se plante devant Marius, l'observe avec minutie, semble perplexe, et repart vers sa tente. Au cours de ces trois jours, les indiens se relayent de jour comme de nuit pour pouvoir danser sans interruption autour du malheureux.

Au bout de trois jours et plus de 20 interruptions, le dénouement semble enfin proche.
A l'issue de sa nouvelle sortie, le grand chef, après avoir encore une fois examiné Marius sous toutes les coutures, ouvre enfin la bouche. Le silence autour de lui est à couper au couteau.

- Dis-donc… Tu serais pas de Plan-de-Cuques ?

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(attention, du même niveau hardcore et douteux que le film qu'elle illustre. Âmes sensibles s'abstenir, 3ème degré nécessaire)

Deux snipers, perdus dans un immeuble en ruine en plein Sarajevo, au milieu des années 90.
- bon, moi, faut que je bouge. J'en peux plus. Ici c'est mort. Faut que je baise, faut que je baise !
- Oui, visiblement, il faut. Mais fais bien gaffe, la campagne, c'est hyper dangereux…
- rien a foutre, faut que j'y aille.

Se passent trois jours, quatre jours pendant lesquels celui qui est resté pense avoir perdu à tout jamais son compagnon… qui finit pourtant par reparaître, au bout d'une semaine, la gueule un peu en sang mais l'air ravi.
- alors ? alors ? Raconte ! C'était comment ? Hein ? Ça vaut le coup?
- La campagne mon pote ? Mais-c'est-le-pied ! Je me suis fait de tout ! Des serbes, des croates, des chrétiennes, des musulmanes, de tout !
- Et ..? Elles sont comment ? Bonnes ? Elles sucent bien ?
- Ah…! Ça je sais pas. J'ai pas trouvé les têtes.

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James part vivre une vie de trappeur au fond d'une cabane au canada, pour se prouver qu'il est capable de la faire. Le problème est qu'il manque d'expérience et, une fois sa cabane bâtie, il ne sait pas quelle quantité de bois il doit couper pour parvenir sain et sauf au printemps. Il coupe donc une bonne quantité de bois. Un soir, un indien passe par là, au travers de la forêt. James, en symbiose avec les êtres et la nature, se rue sur lui pour lui demander conseil.
- Dites-moi, ami indien ! Pensez-vous que l'hiver sera vigoureux cette année ?
L'indien regarde autour de lui, la cabane de James, la forêt, le ciel, et finit par répondre: "oui. Hiver rude. Hugh".

James remercie l'indien qui reprend sa route, et part aussitôt couper plus de bois. Deux semaines plus rad, l'indien repasse dans l'autre sens. Même topo.
Cette fois, l'indien semble encore plus sûr de lui: "hiver très rude cette année ! Très très rude ! Hugh !"

James coupe la moitié du bois qui entourait sa cabane et entasse une quantité de troncs impressionnante. Les premiers flocons tombent, il semble rassuré. L'indien passe une dernière fois. A la même question posée encore une fois, il s'exclame "hiver un des plus rudes de souvenir d'indien ! Hiver exceptionnel !"
Alors James ne tient plus. Il doit savoir.
- Mais comment faites-vous pour savoir ce genre de chose ? Quels sont les signes ? Enseignez-moi !
- Indiens ont un dicton: "quand homme blanc coupe beaucoup de bois, hiver très rude !"

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(les blagues sexistes, c'est presque aussi pourri que les racistes)

Tu sais quel est le point commun entre une femme et une piscine ?
...
Dans les deux cas, c'est énormément d'entretien pour le peu de temps que tu passes dedans.

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C'est un Lillois qui débarque à Marseille un soir de match.
Il sait que pour le stade c'est râpé, par contre, se dégoter un petit bar de supporters autour du boulevard Michelet lui semble dans ses cordes. Il veut connaitre l'ambiance qu'on lui a si souvent vanté.
Et en effet, le bar en question est trouvé rapidement. Affiches, écharpes et fanions aux murs, tous les clients en maillots de l'OM, écran plat qui diffuse la match, une place au fond du bar disponible… le spot parfait.
Il s'assoit, commande un pastis pour faire couleur locale, se cale sur sa chaise et voilà le match qui commence.

10 mn de match. But pour l'OM !
Les mecs sautent sur les tables, se foutent torse-poil, brandissent les écharpes, hurlent !
Le lillois est heureux. Il a droit à son moment de folie légendaire. Il était venu pour ça.
Quand la clameur se calme, il entend un chien qui hurle à la mort… tourne la tête, et avise, un chien, au pied d'un petit vieux. Après quelques secondes, le chien se tait.

25 mn de match. Deuxième but pour l'OM ! Même toto. Le chien. Le vieux.
Le lillois se lève, se faufile, et rejoint le propriétaire du chien.

- dites-moi. Qu'est-ce qui lui arrive à votre chien ? A chaque but, il hurle comme ça ?
- Et ouais. Le chien, il est supporter de l'OM. Alors, à chaque fois que l'OM il marque, le chien, ben, il hurle à la mort…
- rhalala, c'est formidable ! Enfin, je veux dire, étonnant ! Mais alors, dites-moi ! Si il hurle comme ça à chaque but… Qu'est-ce qu'il doit faire quand l'OM gagne ?!!?
- Ah !… ça je sais pas. Ça fait que trois ans que je l'ai, le chien.

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Un employé se lâche devant son patron, au milieu d'une conversation
- oh, moi les brésiliens, vous savez... Ce sont soit des footballers, soit des putes.
- vous n'ignorez pas que ma femme est brésilienne ?
- Ah ? Oui ? Et euuuh..., elle joue dans quelle équipe ?

Annotation :

- Chérie, ce soir tu ne me vois pas
- Ah bon ? tu sors ?
- Non, je t'encule.

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C'est un frère qui fait l'amour avec sa sœur.
- tu fais mieux l'amour que maman !
- oui, je sais, papa me l'a déjà dit.

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On est au milieu des années 80.
Monseigneur Lustiger est appelé à Rome pour une petite réunion. Il a un nouvel adjoint, pas très expérimenté. Il lui fait bien tout réviser pour la messe du dimanche, pendant laquelle le second devra officier seul.
- Bon, la messe, OK, t'as l'habitude, c'est plus pour les confessions que je m'inquiète, tu sais, la clientèle est un peu huppée, faut pas se rater... Tu vois, je t'ai bien tout consigné dans ce cahier, les fautes, les pénitences qui vont avec, tu potasses tout ça bien, c'est classé par ordre alphabétique, devrait pas y avoir de problème.
- Bien sûr monseigneur, partez tranquille, je m'occupe de tout.

Arrive le dimanche, la messe, tout se passe bien.
Commencent les confessions. L'adjoint assure.
... Jusqu'à ce qu'arrive la dernière croyante.
- excusez-moi mon père, j'ai péché, j'ai taillé une pipe a un inconnu.
Le second panique. Pipe, ça lui dit rien. Il a du métier, il cherche à fellation. Que dalle.

Il sort du confessionnal discrètement, se rue à la sacristie et tombe sur un enfant de cœur.

- petit, petit !! Monseigneur Lustiger, pour une pipe, tu sais ce qu'il donne ?
- Ben... Un Mars et un Bounty, pourquoi ?

Annotation :

Une mère juive se promène dans un parc avec ses deux enfants.
Elle croise une vieille amie, pas croisée depuis longtemps.
- Mon dieuu !! s'exclame cette dernière, mais comme tu as deux magnifiques enfants ! Mais qu'ils sont grands ! Quels âges ont-ils ?
- Ah, ben, l'avocat a 4 ans, le médecin, 2.