Depuis plus de trente-cinq ans, Georges-Olivier Châteaureynaud écrit des nouvelles au fil de l’eau et au fil de ses rêves, une centaine à ce jour.
La première des nouvelles de ce recueil (publié en 2005 aux éditions Grasset, et en poche chez Zulma en 2013), «La seule mortelle» est à mon goût un chef d’œuvre du genre. Le narrateur a passé sa petite enfance dans un camp de refugiés avant d’hériter d’une immense fortune. Solitaire éternel protégé par son argent, il reste hanté par l’histoire inoubliable que lui a conté une nuit, Mathilde, une prostituée de palace au front dissimulé sous un turban, un conte magnifique sur les illusions cruelles d’une vie de mortel.
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https://charybde2.wordpress.com/2016/11/21/note-de-lecture-singe-savant-tabasse-par-deux-clowns-georges-olivier-chateaureynaud/