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L'envers du miroir.
Alcatraz est un jeune orphelin de 13 ans. Toute son enfance, il a été trimballé d'une famille d'accueil à une autre. Parce qu'il n'est pas quelqu'un de bien. Et parce qu'il casse tout ce qu'il...
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le 31 mai 2015
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SensCritique>Livres>Roman>Alcatraz contre les infâmes bibliothécaires - Alcatraz, tome 1>Critiques>Avis de M_le_maudit
Beware the evil librarian !
Alcatraz contre les infâmes bibliothécaires constitue le premier tome d'une série de roman pour la jeunesse.
Le ton est assez décalé et ironique, Brandon Sanderson jouant avec son lecteur, spoilant son propre récit (parfois en mentant), et s'évertuant à présenter son héros comme un "pas gentil" et allant même jusqu'à prétendre qu'Alcatraz (le héros), est réellement le narrateur et que Sanderson est son nom d'emprunt...
L'histoire est fantasque et agréable à lire, pleine de rebondissements et laisse entrevoir un monde riche de promesses. Certains aspects de l'histoire font penser à du Harry Potter, ce qui devient inévitable compte tenu d'une part, du succès éditorial du sorcier à lunettes, d'autre part des ficelles utilisées : des histoires d'orphelins qui se découvrent un destin extraordinaire en grandissant, on en trouve dix à la douzaine dans l'histoire de la littérature.
Pour un public jeune et moins rodé qu'un lectorat adulte, cela constitue une lecture sympa et qui a le mérite de pointer les "ennemis" : les bibliothécaires gardiens du savoir et grands prescripteurs devant l'éternel ! (je le sais, j'en suis un. bien la preuve qu'ils sont partout ^^)
Le ton est assez décalé et ironique, Brandon Sanderson jouant avec son lecteur, spoilant son propre récit (parfois en mentant), et s'évertuant à présenter son héros comme un "pas gentil" et allant même jusqu'à prétendre qu'Alcatraz (le héros), est réellement le narrateur et que Sanderson est son nom d'emprunt...
L'histoire est fantasque et agréable à lire, pleine de rebondissements et laisse entrevoir un monde riche de promesses. Certains aspects de l'histoire font penser à du Harry Potter, ce qui devient inévitable compte tenu d'une part, du succès éditorial du sorcier à lunettes, d'autre part des ficelles utilisées : des histoires d'orphelins qui se découvrent un destin extraordinaire en grandissant, on en trouve dix à la douzaine dans l'histoire de la littérature.
Pour un public jeune et moins rodé qu'un lectorat adulte, cela constitue une lecture sympa et qui a le mérite de pointer les "ennemis" : les bibliothécaires gardiens du savoir et grands prescripteurs devant l'éternel ! (je le sais, j'en suis un. bien la preuve qu'ils sont partout ^^)
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le 9 févr. 2015
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