Certes, l'écriture est fluide, l'intrigue bien construite et l'atmosphère est poisseuse à souhait. Très vite, j'ai pensé au célèbre "Piège nuptial" de Douglas Kennedy, que je me suis empressé de ressortir de ma bibliothèque. Même si les deux histoires ont des conclusions différentes, leur construction reste similaire : un type se retrouve coincé dans un coin perdu avec aucune porte de sortie... Et sa propre déchéance en point de mire, quitte à devenir "le chien" pour l'un et le mari d'une folle pour l'autre, soit en clair, "un animal de compagnie".
Leur seul univers : une famille de cinglés !
Je ne suis décidément pas fan de ce genre d'histoire où la claustrophobie guette à chaque page, même si l'environnement semble dégagé.
C'est comme pour tout, il existe des amateurs. Mais je n'en ferai pas mon livre de chevet.