Voici l'homme. Derrière un titre comme celui ci j'imaginais que le philosophe parlerai de l’humanité en général et nous démontrerai par A + B ce qu'est la nature humaine avec une verve hors du commun. Rien du tout! Nietzsche parle de lui! De son œuvre et de ce qu'il est (haie) et de ce qu'il aime. C'est le premier bouquin que je lis de ce philosophe et je le dis tout de go, il ne faut absolument pas commencer par celui la. Une grande partie est biographique, Nietzsche nous dis qu'il aimait son père, qu'il aimé Wagner mais plus maintenant, qu'il déteste les allemands et leur cultures, il dit qu'il est malin, il dit que son œuvre est un cadeau sans précédent pour l'homme. L'autre moitié est un commentaire de certaines de ses oeuvres. Peut être la partie la plus intéressante, surtout quand le philosophe daigne nous citer le texte qu'il commente car la plupart du temps, il ne le fait pas donc si vous n'avez rien lu vous l'avez dans le c**. De plus l'homme se permet d'utiliser des tournures latines absolument pas traduite dans mon édition. Je me suis senti spolier.
Il y a des bonne chose dans ce bouquin, quelques perles malheureusement enveloppé dans du narcissisme primaire et de la véhémence. En gros Nietzsche règle ses comptes avec les institutions. Moi je n'appel pas ça philosopher à coup de marteau, j'appel ça clasher pour le plaisir de clasher. Impatient de lire Zarathoustra cela dit. Je trouve l'homme un peu naze et imbus de lui même, par contre le philosophe à l'air d'en avoir sous le coude. Bref si vous vous intéressez à l’œuvre de Nietzsche, ne commençait par par ce bouquin, vous allez être refroidi.