Jan Guillou m'avait fort déçue avec la trilogie d'Arn le Templier. Toutefois, j'ai découvert La Fabrique de Violence et son ambiance antipathique. Ce roman, puissant, violent comme une tempête, nous tétanise néanmoins par sa réalité troublante. Le héros est malmené, les élèves impitoyables et les professeurs impuissants face à cette sorte de "petite dictature" imposée par les aînés (cf. La Vague, Todd Strasser). Le combat d'Erik pour se faire respecter est aussi une preuve considérable de la force psychique de cet adolescent qui se cherche. Impressionnant, maître Guillou !
Haraar
9
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le 26 janv. 2011

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