Ses histoires assomment, sa plume ressuscite.
Ce roman demeure considérablement long dans la narration de la souffrance et de l'agonie. Le récit se veut lourd, tragique, oppressant, mais Chandernagor est pour mon une Diva de la description de la détresse et de la décrépitude! Ce n'est pas par masochisme qu'en arrivant à la fin de ce livre, j'ai éprouvé la frustration de l'avoir terminé... C'est que des plumes qui m'ébranlent comme celle de Françoise Chandenagor, j'en connais relativement peu...
Reka
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le 5 janv. 2011

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