De la SF Bebel compatible, avec un héros appelé Dumarest, genre french touch de l'espace qui est un rescapé de la Terre, et rebondit de planète en planète pour retrouver, la Terre (et de fille en fille, éééééévidemment). L'impression de feuilletonnage est à son paroxysme. On dirait qu'il manque des bouts d'ailleurs (traduction tronquée ?) entre chaque chapitre/action de l'invincible Dumarest, qui essaye de faire fortune en cueillant des champi (what the f...?). Derrière ça, une sorte de cabale intergalactique entrecoupée de bastons sanglantes dont il est dit très peu, et on a donc là le troisième ou quatrième volume d'une immense saga qui de loin parait ultra simpliste et répétitive. Pour les fans hardcore des histoires pulp des années 50...