Les Grandes Espérances ...
Seulement à la moitié du livre, ma déception est immense. Après avoir adoré de manière presque mystique "La Trilogie New Yorkaise", admiré l'écriture absolument bouleversante qui ne dit jamais, qui laisse à sentir, et finalement ouvre le texte sur une puissance d'âme tellement magnifique, m'être laissé porté par les histoires de ces marginaux qui sur le fil de la société en dresse à la fois une image inhabituelle mais des vérités justes, je trouve ici Auster qui dresse un portrait cinématographique. Auster n'est Moravia ... Loin de là ! Mieux vaut "L'homme qui regarde" (bien meilleur dans la description cinématographique) ... Mais comme je l'ai dit, je n'en suis qu'à la moitié : A Suivre ...